Masquillier et Lamir Mons 288 pages en format 9.5 - 14.5 cm - reliure rigide en cuir au dos avec titres en dorure et plats en percaline
Reference : 022323
Librairie Internet Antoine
Henry Charlier
0032476413494
accepte paiement par : PAYPAL Virements Européens Envois : Poste et MONDIAL RELAY
1829-1833 En tout 5 vols in-12, maroquin marine, filets dorés en encadrement sur les plats, dos à nerfs ornés de caissons de fleurons dorés, coupes et bordures décorées, tranches dorées (Pouillet).
Edition originale collective des chansons de Béranger, bien complète du volume de chansons politiques et érotiques paru à l'étranger. Exemplaire réunissant, en premier tirage, les deux suites de gravures destinées à l'illustrer : 103 vignettes hors texte d'après les compositions des frères Johannot, Charlet et Grandville. Elles sont gravées au burin et tirées sur papier vélin. 53 vignettes hors texte des mêmes mais tirées dans des encadrement typographiques. Très bel exemplaire bien relié et sans rousseurs.
Phone number : + 33 (0)1 42 89 51 59
SANGNIER Marc - COLAS Henri. 2 ouvrages réunis sous une seule reliure :
Reference : VBA-249
(1905)
PAR LA MORT - Drame en deux actes par Marc SANGNIER. Paris, Perrin et Cie, 1905. 92 pages + 2 pages d'errata. AUBES NOUVELLES - Chansons et poésies par Henri COLAS. Préface de Marc Sangnier, illustrations de Pierre FARAUT. Paris, Demets, 1909. XV + 144 pages. Table des matières d'Aubes nouvelles : voir photo de l'annonce. L'ensemble en une seule reliure demi basane, dos à 4 nerfs. 19 x 12 x 2 cm. Poids 400 g. Il est joint un article de presse par L. Winnaert sur la parution et la représentation de Par la mort.
Dos de la reliure frotté. La couverture illustrée d'Aubes nouvelles est absente de cette reliure. Aubes nouvelles n'est pas mentionné en titre au dos de la reliure. Signature manuscrite sur la page de titre.
Paris, Jules Tardieu, 1863. 2 ouvrages en 1 vol. in-12, demi-chagrin rouge, dos à nerfs orné de petits fleurons dorés entourés d'un double filet doré, filet à froid sur les plats, tête dorée. Reliure de l'époque. (4) ff., 244 pp.; (2) ff., 154 pp., (1) p. Quelques rousseurs. Ex-libris héraldique au contreplat.[D46]
Editions originales de ces deux recueils de poésie. Ariel est la première oeuvre publiée par l'auteur. Envoi autographe signé de l'auteur "à l'auteur des heures de Poésie", certainement Amédée Renée, qui avait publié son premier recueil en 1841 sous ce titre. Le second recueil comprend trois parties : Gazette en vers, du nom générique donné aux chroniques en vers publiées par l'auteur dans la revue l'Artiste, Julien l'Apostat, qui donne son titre au livre, et Poésies nouvelles. Bel envoi autographe signé de l'auteur "au grand relieur contemporain" Capé.
Phone number : 02 47 97 01 40
1901 Paris, Chez Labbé, Editeur, 1901; In-8° de XII - 320pp. - (1)f. Vignette sur bois au titre, bandeaux et culs-de-lampe, portrait photographique de l'auteur en frontispice et 4 vignettes hors texte, tirées sur papier crème, d'après Célestin Nanteuil, Donjean et Meyer. Reliure de demi-basane marbrée , dos lisse orné en long de petits fers et filets pointillés dorés inscrit dans un rectangle doré, titre et auteur doré sur étiquette de maroquin vert, tête dorée. Envoi autographe signé de l'auteur.
Cette édition contient notamment la chason " La religieuse"Eugène Baillet, pseudonyme de Joseph Sébastien Baillet, était chansonnier. "Fils d’un artisan parisien, il fréquente l’école jusqu’à l’âge de 10 ans et devient apprenti à 12 ans chez un bijoutier. Très tôt il participe aux goguettes, notamment les Enfants du temple que préside Victor Rabineau où il se lie avec les principaux chansonniers de la monarchie de Juillet… Tout de suite après les journées de février il affirme son identité de chansonnier engagé en écrivant Le Cri des Français, Au citoyen Guizot, Ventôse et en fondant à Ménilmontant la goguette les « Ménestrels républicains ». En mars il devient délégué central aux ateliers nationaux. Lors des journées de juin, surpris en train d’apporter du pain aux combattants des barricades, il manque d’être fusillé…On retrouve aussi sa signature dans le Républicain lyrique où il écrit notamment des chansons à la gloire des héros de la gauche républicaine et socialiste : « Raspail », « Proudhon », « Au Serge nt Boichot » (numéros de mai, juin et juillet 1849). A cette date, la plupart de ses chansons témoignent d’une très grande déception vis-à-vis de l’évolution de la situation depuis la chute de Louis-Philippe. Dans Le Vrai républicain, tout en rejetant le communisme, il appelle le peuple parisien à se préparer à de nouveaux affrontements avec « la réaction », et dans Veillons il s’inquiète : « Le sang versé sur le pavé des rues/ Menace encor d’être du sang perdu ». Vers 1850 il fréquente l’arrière-salle de la librairie d’Henri Piaud où de nombreux goguettiers se retrouvent pour chanter… En 1853 il entre à la Lice chansonnière dont il devient président cinq ans plus tard. C’est là qu’il se lie d’amitié avec Eugène Pottier. L’auteur de l’Internationale lui dédie, en 1857, son chant La Guerre…" ( Cf. le long article que lui consacre Philippe Darriulat dans Le Maitron). Rares rousseurs, bon exemplaire. (Reu-CH1)
P., Garnier Fr., 1862; in-12, broché de 463 pp.;
légeres rousseurs