Les Editions De Minuit broché Bristol 1985 87 pages en format 13 - 18 cm 2-7073-0296-1
Reference : 017236
ISBN : 2707302961
Très Bon État
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Henry Charlier
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, , 1763. 2 parties en 1 vol. in-4 de 230-161-(1) pp. suivi de : Pièces justificatives des faits contenus au mémoire. Relié à la suite :Réponse du Sr Dupleix, à la lettre du sieur Godeheu. Paris, Cellot, 1763. In-4 de 330 pp.2 pièces reliées en 1 vol. in-4, cartonnage vert, dos lisse orné, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition originale des deux pièces. Réponse signée Godeheu, David, Michel, Gilly, Magon, J. Cottin, Roffay, directeurs de la Compagnie des Indes au Mémoire pour le Sr Dupleix publié en 1759 dans le procès qui opposa la Compagnie à son ancien gouverneur depuis son retour en France. Dupleix (1697-1763) s'engagea au service de la Compagnie des Indes, non pour y faire du commerce avec les comptoirs (étoffes, épices) mais pour créer en Orient de véritables possessions territoriales servant de base à la conquête d'une grande zone d'influence qui fournira des matières premières à la métropole et lui servira de débouché pour ses propres productions. Faisant alliance avec les uns et soumettant les autres militairement, il se tailla un empire en Inde. En 1741, il est nommé gouverneur de la Compagnie. En 1748, avec la signature du traité de Londres qui met fin à la rivalité entre français et anglais dans la péninsule indienne, le soutien du roi de France s'estompe.En 1754, Joseph Dupleix est destitué de sa charge de gouverneur des Indes par Godeheu de Zaimont, l'un des directeurs de la Compagnie ; il est rappelé en France. La meme année, le traité Godeheu est signé entre la France et l'Angleterre qui interdit toute activité politique dans le sous-continent indien. Robert Clive reprendra néanmoins pour l'Angleterre, la stratégie d'alliances avec les princes locaux qui avait si bien réussi à Dupleix. À la signature du traité de Paris, en 1763, la France ne conserve plus aux Indes que 6 comptoirs (Surat, Chandernagor, Pondichéry, Mahé, Yanaon et Karikal). Dupleix, rappelé en France, plaida sa cause et une indemnité pour sa fortune perdue.Goldsmiths'-Kress, 09859A ; Higgs, 2944, 2946. Bel exemplaire.
A Bordeaux, chez Louis Faye ainé, [1814]. In-4 de (2)-166 pp. Délibéré à Bordeaux le vingt janvier 1814.Mémoire pour les sieurs Bethman et Comp. liquidateurs des maisons de commerce Bethman et fils, Bethman et fils et Compagnie, contre les sieurs Weltner et Compagnie, et en présence du Sieur Gramont, liquidateur de la maison Feger, Gramont et Comp. A Bordeaux, Chez Pinard, sans date. In-4 de (2)-148 pp. Par procuration de Bethman et Compagnie, Basse, Geigenbach. Monsieur le Baron de Brezets, Premier Président. Monsieur Malleret, Conseiller, Rapporteur. Émérigon, Avocat. Dupré, Avoué.Réfutation pour les sieurs Weltner et Comp., négociants à Bordeaux, du mémoire des Sieurs Bethman et Comp., aussi négociants à Bordeaux ; en présence du sieur Jques. Bmi. Gramont, liquidateur de la ci-devant société Féger, Gramont et Compagnie. A Bordeaux, chez André Racle, 1813. In-4 de (2)-107 pp.3 pièces reliées en 1 vol. in-4, demi-toile noire, pièce de titre (reliure moderne).
Recueil procédural sur la liquidation de puissantes maisons de commerce et d'armement bordelaises établies à Saint-Domingue. « Faits. La maison Henry-Romberg-Bapst et compagnie, établie à Bordeaux depuis1783, avait projeté la plus grand entreprise de commerce qui ait jamais été faite. Cette entreprise consistait à traiter avec un grand nombre de colons de Saint-Domingue, à leur faire des avances suffisantes pour réparer et cultiver leurs habitations, à leur assurer des pensions proportionnées à leur fortune. Une maison succursale était établie à Saint-Marc ; elle devait recevoir de la chef-maison, établie à Bordeaux, tous les ustensiles, comestibles, effets et marchandises nécessaires à l'exploitation et réparation des propriétés de St. Domingue ; elle devait recevoir tous les produits de ces mêmes propriétés. Ces produits devaient être envoyés à Bordeaux dans les navires appartenant à la chef-maison, et vendus par elle… » [Négociants bordelais et colons de Saint-Domingue, Françoise Thésée, 1972].
CNM Marseille 1914 - 1917 Registre manuscrit in-8 de la Compagnie de Navigation Mixte comprenant 49 pages manuscrites et un nombre indéfini de feuillets vierges ( environ 200 ), recensant les attaques subies par les navires de la compagnie par les sous-marins allemand durant la première guerre mondiale. Document de première importance décrivant avec précision les évènements situés et datés, les protagonistes avec leurs noms et grades, les différents rapports et récompenses. Très beau manuscrit d'une belle écriture à la plume très lisible.Sont concernés:Les Vapeurs: "OMARA" "ALGERIEN" "TAFNA" "MASCARA" "Félix TOUACHE" "MEDJERDA" "MANSOURA" "La MARSA" "MOULOUNYA".
Paris, Compagnie d'Orléans, 1895. In-plano (63 x 47 cm) de 2 ff., 18 planches doubles lithographiées et 12 planches en phototypie montées sur onglets, demi-toile à coins, dos orné de doubles filets dorés, premier plat titré (reliure de l'éditeur).
Édition originale seule publiée. Ouvrage consacré à la ligne souterraine entre les stations Denfert-Rochereau, Port-Royal et Luxembourg (actuelle ligne B du RER), avec plans, détails et photographies des quais, stations, tunnels et travaux par Albert Fernique et Fils.« La décision fut prise en 1888 de prolonger la ligne de Sceaux depuis la gare de Denfert-Rochereau jusqu’au Luxembourg. Cette décision peut apparaître comme paradoxale dans le contexte de l’époque. En effet le conseil municipal de Paris était opposé au développement des transports urbains parisiens vers la banlieue. Il parvint à imposer en 1896 sa vision d’un métropolitain s’arrêtant aux portes de Paris (...) La compagnie présenta son projet en 1889 et le réalisa entre 1892 et 1894. La municipalité ne s’y opposa pas, comme on aurait pu le craindre. La solution souterraine était rendue possible par la voierie et justifiée par « l’éventualité d’un raccordement, c’est-à-dire d’un prolongement vers la Seine ». La possibilité d’ouvrir une gare à Saint-Michel fut donc envisagée dès cette époque. Le chantier comprenait la construction de l’embranchement et des gares de Port-Royal et du Luxembourg ainsi que la rénovation de la gare de Denfert-Rochereau (...) L’architecture de la gare de Port-Royal était assez sommaire mais raffinée. L’État refusa l’établissement de la gare du Luxembourg en bordure du jardin. La compagnie acheta un immeuble de rapport au croisement du boulevard Saint-Michel et de la rue Gay-Lussac dont le rez-de-chaussée servit de vestibule et dans la cour duquel fut installée la cheminée d’évacuation des gaz. L’intérieur de la gare forme un espace parfaitement rationalisé : son ordonnancement rigoureux facilite la circulation des voyageurs grâce à de larges escaliers et à des ascenseurs. Les architectes et les ingénieurs du Paris-Orléans ont ainsi révélé sur l’ensemble du chantier un esprit modernisateur. La gare du Luxembourg constitue une étape majeure vers une conception nouvelle de l’exploitation ferroviaire et de la gare (François Caron, La ligne de Sceaux, laboratoire de la « science ferroviaire » in Revue d’histoire des chemins de fer, n°38). Atlas dont nous n'avons trouvé trace qu'à la BHVP (Bibliothèque Historique de la Ville de Paris).Bel exemplaire malgré quelques défauts à la reliure et quelques piqûres.
Paris, Société d'éditions géographiques, maritimes et coloniales, impr. Keller, Maître-Imprimeur 1952 In-4 28,5 x 22,5 cm. Cartonnage éditeur remplié, dos muet, premier plat gaufré d’un blason polychrome, 170 pp., illustrations en noir & blanc dans le texte, 2 fac-similés hors texte, armoiries polychromes de la Ville de La Rochelle in fine. Bel exemplaire.
Ouvrage offert par la Compagnie de navigation d'Orbigny, retraçant l'histoire des navires et de la société maritime dont le siège social était à La Rochelle. Très bon état d’occasion