Editions Rombaldi broché Couverture Illustrée Ed. originale 1942 330 pages en format petit -8
Reference : 003154
État Moyen
Librairie Internet Antoine
Henry Charlier
0032476413494
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Paris, Editions Diane de Selliers, 2000, 2 volumes grands in-4°, 324 et 350 pages, pleine toile bleue de l'éditeur, coffret illustré en couleurs.
"Dans son introduction, Teodor de Wyzewa (également traducteur du texte) présente Jacques de Voragine, sa personnalité pieuse et exemplaire, ainsi que La Légende dorée et son contexte historique. Il apporte un éclairage savant sur l’intention de Jacques de Voragine, qui a écrit La Légende dorée dans un souci de vulgarisation de la pensée et du savoir chrétien, en s’adressant directement aux laïcs avec simplicité et clarté." Postface de Franco Cardini, professeur d’Histoire médiévale à l’Université de Florence, directeur d’études à l’École d’histoire ancienne sociale à Paris, membre de l’Université Harvard, qui analyse la genèse de La Légende dorée et étudie ses différentes éditions à travers les siècles. "400 œuvres de plus de 120 peintres des XIVe et XVe siècles italiens ont été sélectionnées parmi près de six mille identifiées. Des peintures universellement connues de Duccio, Giotto, Simone Martini, Fra Angelico, Masaccio... sont ainsi réunies aux côtés d’œuvres totalement inédites mais néanmoins d’une beauté bouleversante : fresques cachées au fond des couvents, retables découverts dans des églises." Bel exemplaire de cet ouvrage paru dans la Grande collection aux Editions Diane de Selliers en 2000. Attention : l'ouvrage est lourd (6 kg) !
Paris, Edouard Rouveyre, Editeur, 1901, 3 volumes in-8 de 230x145 mm environ, tome 1 : xxviii-493 pages, tome 2 : 573 pages, tome 3 : 149 pages, reliure postérieure, plein chagrin caramel, dos à nerfs portant titres et tomaisons dorés, ornés de caissons à fleurons et motifs dorés, gardes marbrées, coupes et chasses dorées, couvertures conservées. Avec une reproduction en fac simile du prologue illustré en rouge et noir avec bois gravé de la légende de Saint Gengoul (tome 1). Légères et rares rousseurs, quelques notes manuscrites p. 263 (tome 1) et sur la page adjacente à celle de titre du tome 1, page de titre du tome 1 roussie, de petites rayures et légers frottements sur le cuir, sinon bon état.
La Légende dorée (Legenda aurea en latin) est un ouvrage rédigé en latin entre 1261 et 1266 par Jacques de Voragine, dominicain et archevêque de Gênes, qui raconte la vie d'environ 150 saints ou groupes de saints, saintes et martyrs chrétiens, et, suivant les dates de l'année liturgique, certains événements de la vie du Christ et de la Vierge Marie. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Société Nouvelle des Editions G.P., 1965, fort in-8°, 447 pp, 110 illustrations en noir et en couleurs (iconographie réunie et commentée par l'auteur), reliure toile écrue de l'éditeur, une gravure estampée au 1er plat, bon état
La Légende dorée (Legenda aurea en latin) est un ouvrage rédigé en latin entre 1261 et 1266 par Jacques de Voragine, dominicain et archevêque de Gênes, qui raconte la vie d'environ 150 saints ou groupes de saints, saintes et martyrs chrétiens, et, suivant les dates de l'année liturgique, certains événements de la vie du Christ et de la Vierge Marie. Pour le médiéviste Philippe Walter, une mythologie chrétienne s'est ainsi constituée, « construite sur les croyances païennes que le christianisme dut assimiler dans le but de les contrôler ». — "... Le titre même de “Légende dorée” peut faire illusion, laisser croire à quelque chose d'artificiel, de sentimental, de faussement mystique, à un conte de fée religieux... Certes, le merveilleux y est souvent féerique, mais l'inspiration de la foi est forte, voire violente. Voilà pourquoi certaines pages nous étonnent, choquent par l'outrance des scènes, la dureté du langage... ou leur naïveté. Les tableaux de la “Légende des Saints” ne sont pas une confiserie pour gourmets, mais la nourriture d'une société chevaleresque. Toucher les coeurs, fortifier les âmes, convaincre l'incrédule de sa folie, semer et enraciner la confiance en Dieu, voilà leur objet premier, que le titre ne laisse pas soupçonner..." (Introduction)
Lyon, Claude Davost, Étienne Gueynard, 1504. In-4 gothique à deux colonnes de (12)-217 ff. mal chiffré 215 (sign. aa bb a-z π-ƒ A9), index, veau marbré, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges (reliure XVIIIe).
Édition latine post-incunable lyonnaise et première édition de Gueynard de la Légende dorée de Jacques de Voragine. Colophon: "Finit aurea Legenda sanctoru[m] que Lombardica historia nominatur: co[m]pilata per fratrem Iacobu[m] de Voragine ... Impressa Lugduni per Magistru[m] Claudium dauost al's de Troys. Anno D[omi]ni M.ccccciiij.". Texte fondateur de la mythologie chrétienne rédigé entre 1261 et 1266 par le dominicain et archevêque de Gênes Jacques de Voragine, la Légende dorée dont le récit de la vie des saints et martyrs avait pour vocation d’exalter la foi, connut un succès prodigieux au XVe siècle et fut imprimée plus de cinquante fois entre 1474 et 1500. À Lyon, Mathieu Husz l'imprima en français en 1488 ; en 1502 Jacques Sacon publia de nouveau la version latine pour Jacques I Huguetan. Impression gothique à deux colonnes exécutées par Claude Davost, alias de Troyes, pour Estienne Guyenard, dit Pinet : titre imprimé en rouge et noir orné d'un bois gravé à fond noir non signé (75 x 101 mm) représentant le Christ entouré de petites vignettes et nombreuses lettrines ornées sur fond noir, historiées ou à motifs végétaux. Provenance : Joseph-Antoine Crozat, marquis de Tugny, 1699-1750 (ex-libris manuscrit Ex bibliotheca D. Crozat sur le titre), Catalogue des livres de monsieur le président Crozat de Tugny, Paris, 1751, n° 3368. Justin Godart 1871-1956 (cachet sur le titre Jvstin Godart Lvcvdvni et 2 ex-libris en regard, l'un gravé représentant Godart en train de lire face à sa bibliothèque, le second imprimé à ses armes, portant l'inscription De la Bibliothèque de Justin Godart lyonnais). Radical-socialiste lyonnais, résistant, Justin Godart fut député de 1906 à 1927, sénateur de 1927 à 1956, ministre du travail en 1924, ministre de la santé en 1932., enfin maire de Lyon en 1944-1945. Bibliothèque Justin Godart, lyonnais, n°179. Écriture ancienne au verso du titre, contemporaine de l'imprimé. L'ultime feuillet blanc non chiffré manque. Pâles mouillures passim, mors supérieur partiellement fendu, coins émoussés.Baudrier XI, p. 199 ; Pettegree, Walsby, French Books III, n°75022.
1 tapuscrit de 127 pp., avec très nombreuses corrections autographes de l'auteur, s.d. (circa 1944) On joint une Lettre signée de Georges Leconte, Président de la Société des gens de Lettres : ] "15 décembre 1944. Monsieur et Cher Confrère. Votre roman "la Fille aux diables" a deux originalités : celle du sujet, celle de la forme. Sujet émouvant : car nos coeurs battent toujours un peu plus vite dès qu'il s'agit des Vosgiens, de leurs calamités, des ressources de leur endurance, de leur fidélité. Vous avez traité votre sujet, je dirais presque, en vitrail, à cause des couleurs chatoyantes et profondes de votre style. Mais il serait plus juste de dire que vous l'avez traité en légende, car nous croyons pénétrer dans une légende dorée"... Avec : ] Prospectus NRF pour "La Fille aux diables" : "On sait que, dès les premières heures des hostilités, des villages entiers de la zone frontière furent vidés de leurs habitants, ceux-ci étant envoyés vers les départements de l'intérieur. On put, à ce sujet, parler "d'exil", car, encore qu'ils n'aient pas quitté le sol de France, ces Lorrains et ces Alsaciens brusquement transplantés dans le midi durent s'adapter [ ... ] Pierre de La Batut a symbolisé cetteétrange aventure dans l'attachante histoire de cette Elsa Schwartz et de sa mère Catherine, du bourg de Lokenheim, que le hasard a conduites dans un petit village de la Doirdogne"
Rare exemplaire de ce tapuscrit abondamment corrigé par le romancier bergeracois Pierre de La Batut. "La Fille aux diables" romance l'épreuve des alsaciens de 1939-1940 réfugiés dans le Périgord. Il s'agit d'un des tous meilleurs romans de l'auteur , et l'on songe à ce courrier de Jean Paulhan adressé à l'auteur : "La Fille aux diables m'a intéressé, et j'attendrai impatiemment la deuxième version promise". L'ouvrage fut publié chez Gallimard en 1944.