‎FLEURY, Jean-Gérard; PREVERAUD DE SONNEVILLE, Yvonne‎
‎La ligne‎

‎Paris, Gallimard, 1944, in-8, 286 pp, Demi basane à coins ,dos à nefs et titre doré, Bon etat Couverture rigide‎

Reference : 96749


‎Bon 286 pp‎

€70.00 (€70.00 )
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Librairie Alain Brieux
Jean Bernard Gillot
48, rue Jacob
75006 Paris
France

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‎[MANUSCRIT - UNIFORMES] ‎

Reference : 207162

‎Uniformes successivement portés par le 32e de ligne. ancien Régt. de Bassigny, depuis sa création en 1775 jusqu'à nos jours‎

‎S.l., s.d. (vers 1890) petit in-4, titre avec signature autographe, et 12 planches aquarellées, signées G. J., en feuilles, cousu, sous chemise demi-toile fantaisie. ‎


‎Agréable petit abum, composé d'une seule main. La signature est difficilement lisible.Le 32e Régiment d'Infanterie, héritier du Régiment de Bassigny, exista de 1791 à 1950, date à laquelle il fut dissous.I. 1776-1779. Fusilier au Régiment de Bassigny. - II. 1779-1790. Capitaine au Régiment de Bassigny. - III. 1791-1793. Grenadier au 32e de ligne. - IV. 1796-1804. 32e demi-brigade de ligne. Grenadier. - V. 1804-1815. 32e de ligne. Voltigeur. - VI. 1820-1830. 32e de ligne. Colonel. - VII. 1835. 32e de ligne. Fusilier. - VIII. 1846. 32e de ligne. Caporal de grenadiers. - IX. 1855. 32e de ligne. Fusilier. - X. 1861. 32e de ligne. Sergent de voltigeurs. - XI. 32e de ligne. Sous-lieutenant. Sergent-fourrier. - XII. 32e demi-brigade de ligne. Expéditions d'Egypte et de Syrie. 1798-1801.Est joint à cet ensemble iconographique un petit texte explicatif, orné de la même signature que celle du titre des planches : Organisation des régiments d'infanterie, depuis leur création jusqu'à nos jours. 32e de ligne ([8] ff. n. ch., couverts d'une écriture moyenne et lisible). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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Phone number : 06 46 54 64 48

EUR1,200.00 (€1,200.00 )

‎[La Vie du Rail] - ‎ ‎La Vie du Rail (revue)‎

Reference : 43196

(1984)

‎La Vie du Rail [ lot de 12 numéros avec des articles relatifs aux chemins de fer en Suisse - Chemins de Fer Fédéraux (C. F. F) ] : n° 826 la ligne suisse du Bodensee-Toggenburg (décembre 1961) ; n° 839 la ligne de Brüning (mars 1962) ; n° 1039 mise à double voie de la ligne du Sud-Argovien (mars 1966) ; n° 1241 Saint-Gothard et Tessin (avril 1970) ; n° 1331 la ligne du sud-Argovien (février 1972) ; n° 1346 le nouveau "Lemano" (juin 1972) ; n° 1369 la quinzaine de Genève (décembre 1972) ; n° 1475 du Cisalpin à l'Edelweiss et l'Iris (janvier 1975) ; n° 1519 les Re 6/6 à l'assaut du Gothard (novembre 1975) ; n° 1568 automatismes à Bâle Muttenz II (novembre 1976) ; n° 1735 Bâle, plaque tournante ferroviaire (mars 1980) ; n° 1930 de la Seine .. au Léman (ligne Paris-Lausanne, Février 1984).‎

‎12 vol. in-4 br., couv. ill. couleurs, ill. noir et blanc ou couleur, La Vie du Rail, Paris, 1961 à 1984 , env. 600 pp. au total.‎


‎Etat très satisfaisant (couv. lég. frottées sur les anciens numéros, bon état par ailleurs). Prix pour l'ensemble. Au sommaire notamment : 826 la ligne suisse du Bodensee-Toggenburg (décembre 1961) ; n° 839 la ligne de Brüning (mars 1962) ; n° 1039 mise à double voie de la ligne du Sud-Argovien (mars 1966) ; n° 1241 Saint-Gothard et Tessin (avril 1970) ; n° 1331 la ligne du sud-Argovien (février 1972) ; n° 1346 le nouveau "Lemano" (juin 1972) ; n° 1369 la quinzaine de Genève (décembre 1972) ; n° 1475 du Cisalpin à l'Edelweiss et l'Iris (janvier 1975) ; n° 1519 les Re 6/6 à l'assaut du Gothard (novembre 1975) ; n° 1568 automatismes à Bâle Muttenz II (novembre 1976) ; n° 1735 Bâle, plaque tournante ferroviaire (mars 1980) ; n° 1930 de la Seine .. au Léman (ligne Paris-Lausanne).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR89.00 (€89.00 )

‎JOUFFROY (Louis-Maurice).‎

Reference : 122660

(1932)

‎Une étape de la construction des grandes lignes de chemins de fer en France. La ligne de Paris à la frontière d'Allemagne (1825-1852). (Thèse).‎

‎ P., J. Barreau, 1932, 3 vol. gr. in-8°, 263, 256 et 291 pp, 81 cartes, graphiques et illustrations dans le texte et à pleine page, 17 planches hors texte (certaines dépliantes), brochés, dos lég. abîmés, bon état‎


‎L'étude monumentale et indispensable sur les origines du réseau de l'Est et la politique ferroviaire du Second Empire. — Ces trois volumes sont normalement accompagnés d'un quatrième, indépendant, un travail bibliographique intitulé : “Recherches sur les sources de la création d'une grande ligne de chemin de fer au XIXe siècle” (218 pp., 6 figures), qui était la thèse complémentaire de l'auteur. — "Dans l'atmosphère brûlante d'activité économique de la période 1830-1848, la question ferroviaire est primordiale. Nul ne sait quelle sera la force d'expansion d'un vaste réseau ferré. Mais des personnalités, dont l'attention est délibérément tournée vers l'avenir, voient dans l'accouplement de ces deux lignes d'acier sur lesquelles se déplacent, à une vitesse jusque-là inconnue, des engins à vapeur, tout un monde de possibilités. Mirage économique, qui déborde le cadre des frontières politiques ; mais aussi vision nette d'une utilisation stratégique et proprement nationale. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle les partisans du nouveau mode de transport ont énergiquement poussé à l'établissement d'une ligne qui relierait Paris à Strasbourg. A raconter les étapes de sa construction, M. L.-M. Jouffroy a consacré ses thèses pour le doctorat ès lettres. Il s'est efforcé d'étudier les aspects les plus divers d'un sujet aussi large et a réussi à en faire ressortir la complexité. C'est que, alors même que la ligne paraissait excellente, elle se heurtait à des difficultés que certains auraient souhaitées insurmontables. Puis, à côté de ceux qui optaient pour une ligne directe, il en était d'autres qui rêvaient d'un tracé circulaire, desservant sans doute plus de points, mais enlevant de ce fait même au projet de sa force et de sa valeur. M. Jouffroy a consacré une bonne partie de son premier volume à présenter un tableau de « la situation économique de la région de l'Est sous l'empire des anciennes voies de communication ». Tableau profitable et neuf, eclairé encore de paragraphes pittoresques bien venus. Abordant le problème même de la ligne, l'auteur précise le rôle des saint-simoniens. Très attachés à la réalisation du tracé Le Havre-Marseille, la ligne de l'Orient, qui répondait davantage à leurs aspirations romantiques, ils avaient par ailleurs, trop le sens des réalités pour ne pas reconnaître la nécessité de la construction d'une ligne Nantes-Mayence, par Paris et Strasbourg. Nous suivons, ensuite, comme pas à pas, le développement du projet: études administratives, discussions des Chambres; nous saisissons sur le vif l'attitude des populations, les oppositions d'intérêts entre départements. Minutieusement, l'auteur étudie les travaux qui furent exécutés entre Hommarting et Strasbourg de 1842 à 1845. Ii entre dans le détail des discussions confuses sur le tracé définitif, jusqu'au moment où la ligne directe, par Epernay, Châlons, Bar-le-Duc, Toul, Nancy, avec des embranchements sur Metz et sur Reims, l'emporte grâce à la loi du 2 août 1844. Le 25 novembre 1845, la ligne était enfin concédée. L'Etat prenait à son compte les terrassements, les ouvrages d'art, les ateliers, les stations. A la Compagnie incombaient la pose des rails et des clôtures, la fourniture du matériel roulant et des engins de manutention. Les débuts furent difficiles. Ii fallait organiser la compagnie administrativement et matériellement. La révolution de février arrêta temporairement son essor. La politique étatiste du moment tendait au rachat. Cependant à partir de 1849, la situation se normalise, Les progrès s'accusent, tandis que le crédit de la Société grandit dans le public. Tel est, en gros, le développement que nous offre le travail solide et remarquablement illustré de M. Jouffroy. Ce n'est pas un des moindres mérites de ce livre que d'être attrayant, grâce à l'abondance des cartes, plans et reproductions de gravures." (Félix Ponteil, Revue d'histoire moderne, 1935) ‎

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Phone number : 01 43 54 43 61

EUR120.00 (€120.00 )

‎[GUERRE D'INDEPENDANCE AMERICAINE / AMERICAN WAR OF INDEPENDENCE] LE BRETON, OFFICIER.‎

Reference : 4672

(1779)

‎« Ligne de Bataille de larmée combinée de France et dEspagne sous le commandement de Mr le Cte dOrvilliers. Chassent larmée Angloisse dans la Manche le 26 Aoust 1779. »‎

‎s.l.n.d. [1779]. 1779 Panorama sur papier contrecollé sur toile (605 x 2000 mm), constitué de 2 larges feuilles juxtaposées et d'une découpe de papier portant le titre, dessin à l'encre et à l'aquarelle (craquelures, jaunissement, restaurations anciennes). Toile montée sur cadre de bois, baguette d'encadrement de bois moulé.‎


‎Remarquable vue panoramique, exécutée à lencre et à laquarelle par lofficier de marine le Breton, représentant le face à face de la flotte britannique et de la flotte franco-espagnole devant Plymouth, le 26 août 1779, alors engagée aux côtés des américains. Exceptionnel document original resté inconnu des historiens. La France s'engage d'abord dans la guerre d'indépendance américaine par la fourniture de matériel et d'aides en faveur des insurgés, puis officiellement en 1778. L'aide française navale et terrestre et le soutien de ses alliés contribue de façon décisive à la victoire américaine, notamment par ses victoires sur mer et à la bataille de Yorktown, et se conclut par le traité de Paris de 1783 qui reconnaît l'indépendance des États-Unis d'Amérique. Louis Guillouet, comte d'Orvilliers (1710-1792) est nommé lieutenant général des armées navales le 6 février 1777. Il est chargé du commandement de l'armée navale, forte de 32 vaisseaux de ligne et divisée en trois escadres, qui était réunie au port de Brest pour engager la Marine royale dans l'océan Atlantique. Lors de la bataille d'Ouessant, en juillet 1778, il défait la flotte britannique de l'amiral Keppel. Au mois de mai 1779, d'Orvilliers sort à nouveau du port de Brest avec 30 vaisseaux de ligne, et se rend à la hauteur de La Corogne où la flotte espagnole doit se rallier à son pavillon. Mais trois mois dattente sécoulent et la moitié des équipages français est décimée par le scorbut, dont le fils unique de lamiral. Forte de 65 vaisseaux, la flotte franco-espagnole rassemblée remonte alors dans la Manche avec l'intention de débarquer en Angleterre près des ports de Portsmouth et Plymouth. Cependant, le déficit déquipages et des vents contraires ne permettent pas ce débarquement. Laffrontement des flotte se réduit donc à quelques combats individuels (dont la prise de l« Ardent » par 2 frégates Françaises le 17 août) et au face à face du 26 août 1779, représenté par notre panorama, qui aboutit au décrochage de la flotte britannique mais ne permet pas un débarquement. Exécuté sur papier à lencre et à laquarelle, notre gigantesque panneau figurant ce face à face, long de deux mètres, est luvre dun officier français présent sur les lieux : En haut à gauche, on peut lire en partie linscription « fait par Le Breton, officier sur le vaisseau le » Le titre, exécuté sur une pièce contrecollée placée en haut au centre de la scène, est Intitulé « Ligne de Bataille de larmée combinée de France et dEspagne sous le commandement de Mr le Cte dOrvilliers. Chassent larmée Angloisse dans la Manche le 26 Aoust 1779». Il est surmonté des armes de France (blason polychrome portant 3 fleurs de lys, entouré dun feuillage, coiffé de la couronne royale et flanqué de 6 pavillons, dune ancre de marine et dun canon). Les panoramas représentant des batailles navales sont peu communs. Gravés ou dessinés à la main, ils représentent rarement plus dune quarantaine de navires, sur une largeur nexcédant pas un 1,20 mètre de largeur. Lambition de lofficier Le Breton était ici de représenter ici la totalité des 2 flottes. Ainsi, près de 150 vaisseaux de toute taille sont représentés. Il a en outre inscrit la plupart des noms des navires de la flotte coalisée et indiqué le nombre des canons quils portaient. Pour la plupart de ces navires engagés dans la guerre dindépendance américaine, cette représentation est la seule iconographie subsistante. Ainsi, ce document sans équivalent pour ses détails, sa dimension et limportance historique de son contenu iconographique est dun intérêt majeur pour lhistoire maritime de la France, de lEspagne, de lAngleterre et de la jeune Amérique dont le sort est alors lié aux engagements maritimes. Le panorama a malheureusement subit les outrages du temps, avec des parties devenues illisibles et un jaunissement du papier. Cependant, voici ce que nous avons pu observer et déchiffrer : Sur la partie centrale et à gauche est représentée la Flotte franco-Espagnole, avec une centaine de bateaux, dont : LEscadre légère commandée par Latouche Tréville (a gauche) comprenant : Le St Michel de 64 canons, LExpania de 64 canons, La Couronne de 80 canons, Le Mignon de 64 canons, Le Triton de 64 canons, La Magiciene de 44 canons, La Catarina de 18 canons, Le Delocermel de 36 canons, Le Mutin de 18 canons, Le Senegal de 18 canons, Le navire hopital le Santa Vita, La Diane de 40 canons. Une autre petite escadre, au milieu, légèrement sur la gauche) : LEmerada, Le Jupiter, La Santa Rosa, Le London, Le Daswood, Le Menage, LEtourdy de 22 canons, La Concorde de 40 canons, La Junon de 40 canons, La Tartante de 40 canons, LEspiegle de 8 canons, La Curieuse de 42 canons, Le Chabbeau de 40 canons, Le Pluvieu, Le Saumon, LHorizon de 40 canons, La Grana de 18 canons. Sur une seule ligne, plus bas, sont représentés 45 navires Français reconnaissables à leurs pavillons et flammes mais dont les noms apparaissent en négatif ou sont illisibles. Au centre, on distingue le vaisseau Amiral, à côté dun vaisseau surmonté dune étoile rouge. A lextrémité à droite, une vingtaine de navires, la plupart espagnols, sont rangés sur une ligne oblique remontant vers la côte : Le St Nicolas de 74 canons, Le Monarque de 74 canons, Le St Pascal, Le Eugenie de 74 canons, Le Prince de 74 canons, LAtlante de 64 canons, Le Gertrudia de 40 canons, Le St Eusina de 40 canons, La Ste Trinidade de 110 canons, Le Velasco de 64 canons, Le St Depaula, La Galice de 74 canons, LYsidao de 64 canons, LEgalle de 52 canons, Le Sybilosa de 74 canons, LAsilto de 74 canons. Sur la droite est représentée La flotte anglaise denviron 45 navires semble fuir devant la flotte franco-espagnole. La légende et les noms des bateaux nest pas inscrite mais on peut voir les pavillons et flammes britanniques. Au-dessus, La ligne dhorizon est marquée sur toute la longueur gauche par la cote anglaise sur laquelle est représentée un port fortifié avec le drapeau britannique (Portsmouth). Un autre port fortifié est visible sur la partie droite ainsi quune cité sur les hauteurs des falaises. Panorama on paper laminated on canvas (605 x 2000 mm) consisting of 2 large juxtaposed sheets and a cutout of paper bearing the title, drawing in ink and watercolor (cracks, yellowing, old restorations). Remarkable panoramic view, executed in ink and watercolor by the naval officer Le Breton, representing the face to face between the British and the Franco-Spanish fleet working alongside the Americans in front of Plymouth, August 26, 1779. Exceptional original document remaining unknown to historians. France first engaged in the American War of Independence by supplying equipment and aid to the insurgents, then officially in 1778. The French naval and land aid as well as the support of its allies contributed significantly to the American victory, in particular by its victories at sea and at the battle of Yorktown. The war ends with the Treaty of Paris of 1783 which recognizes the independence of the United States of America. Louis Guillouet, count of Orvilliers (1710-1792) was appointed lieutenant general of the naval armies on February 6, 1777. He was in charge of the command of the naval army, made up of 32 ships and divided into 3 squadrons, which was based at the port of Brest to engage the Royal Navy in the Atlantic Ocean. At the Battle of Ouessant in July 1778, he defeated Admiral Keppel's British fleet. In May 1779, d'Orvilliers left the port of Brest with 30 ships, and went to La Coruña where the Spanish fleet had to rally to its flag. Three months passed by and half of the French crews were decimated by scurvy, including the admiral's only son. With 65 vessels, the assembled Franco-Spanish fleet went back to the English Channels with the intention of landing in England near the ports of Portsmouth and Plymouth. However, the shortage of crews and headwinds did not allow this landing. The confrontation of the fleets is, therefore, reduced to a few individual fights (including the capture of the "Ardent" by 2 French frigates on August 17) and the face-to-face meeting of August 26, 1779, represented by our panorama, which results in the stalling of the British fleet but does not allow for a landing. Executed on paper in ink and watercolor, our gigantic panel of two meters long is the work of a French officer present on the scene: At the top left, we can read in part the inscription "fait par Le Breton, officier sur le vaisseau le " The title, executed on a laminated piece of paper placed at the top center of the scene, is Entitled "Ligne de Bataille de larmée combinée de France et dEspagne sous le commandement de Mr le Cte dOrvilliers. Chassent larmée Angloisse dans la Manche le 26 Aoust 1779". It is surmounted by the arms of France (polychrome coat of arms bearing 3 fleurs-de-lys, surrounded by foliage, wearing the royal crown and flanked by 6 flags, a naval anchor and a cannon). Panoramas depicting naval battles are unusual. Engraved or drawn by hand, they rarely represent more than forty ships, with a width not exceeding four feet in width. Officer Le Breton's ambition was to represent all of the two fleets here. Thus, nearly 150 vessels of all sizes are represented. He also recorded most of the names of the ships of the coalition and indicated the number of guns they carried. For most of these ships engaged in the American War of Independence, this depiction is the only iconography remaining. Thus, this unparalleled document for its details, size and the historical importance of its iconographic content is of major interest for the maritime history of France, Spain, England and America whose fate is then linked to maritime engagements. The panorama has unfortunately suffered the ravages of time, with parts becoming illegible and the light-induced yellowing of paper. However, we were able to observe and decipher: On the central part and on the left is represented the Franco-Spanish Fleet, with a hundred boats, including: The Light Squadron commanded by Latouche Tréville (on the left) comprising: The St Michel with 64 cannons, L'Expania with 64 cannons, La Couronne with 80 cannons, Le Mignon with 64 cannons, Le Triton with 64 cannons, La Magiciene with 44 cannons, La Catarina with 18 cannons, Le Delocermel with 36 cannons, Mutineer with 18 guns, Senegal with 18 guns, the hospital ship the Santa Vita, La Diane with 40 guns. Another small squadron (in the middle, slightly to the left): L'Emerada, Le Jupiter, La Santa Rosa, Le London, Le Daswood, Le Menage, L'Etourdy de 22 cannons, La Concorde de 40 cannons, La Junon de 40 guns, La Tartante of 40 guns, L'Espiegle of 8 guns, La Curieuse of 42 guns, Le Chabbeau of 40 guns, Le Pluvieu, Le Saumon, L'Horizon of 40 guns, La Grana of 18 guns. On a single line, below, are represented 45 French ships recognizable by their flags and flames but whose names appear in negative or are illegible.‎

J-F Letenneur Livres Rares - Saint Briac sur Mer
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EUR7,500.00 (€7,500.00 )

‎BRUGE (Roger).‎

Reference : 38415

(1977)

‎Histoire de la Ligne Maginot. 1. Faites sauter la Ligne Maginot. Non, le soldat français de 40 n'a pas démérité ! 2. On a livré la Ligne Maginot ..Et 25 000 hommes invaincus partent en captivité. 3. Offensive sur le Rhin. La grande opération amphibie de juin 1940.‎

‎ Fayard, 1977-1978, 3 forts vol. gr. in-8°, 459, 379 et 427 pp, préface du général d'Esclaibes, 72 pl. de photos hors texte, cartes, sources, brochés, couv. illustrées, bon état‎


‎Un ouvrage très détaillé, informé et vivant, mais consacré exclusivement à l’activité de la ligne Maginot en 1939-1940 sur le front nord-est. Prise à revers dans le courant du mois de juin à l’issue de l’offensive allemande sur l’Aisne et de la rupture du front français, elle a été contrainte à la reddition. —"Le 27 juin 1940, le colonel Marion, les lieutenants-colonels Simon et du Souzy partent de Montauban pour aller donner l'ordre de se rendre « aux quelques ouvrages de la ligne Maginot qui résistent encore ». C'est la mission la plus secrète de 1939-1940 ! Marion est mort en 1944 mais Roger Bruge a retrouvé Simon, aujourd'hui décédé, et du Souzy. La surprise des trois colonels fut totale. Ils découvrirent en effet que le jour de l'armistice, ce n'étaient pas « quelques ouvrages » qui se battaient encore mais l'ensemble de la ligne Maginot. Bien qu'ayant livré combat dans des conditions désespérées, la forteresse n'a pas failli à sa réputation. Aucun gros ouvrage n'a cédé. Aucune tourelle d'artillerie n'a pu être réduite au silence." — A l'origine, l'auteur comptait intégrer le tome III dans le premier volume de sa monumentale Histoire de la Ligne Maginot à laquelle il consacra dix ans de sa vie. Finalement, l’accès à des sources supplémentaires le décida à en faire ouvrage indépendant. Le tome III est consacré aux opérations de franchissement et d’assaut du Rhin par les divisions d’infanterie de la VIIe Armée allemande. L’opposition était présentée pour l’essentiel par la 104e DIF (division d’infanterie de forteresse) dans ses casemates de la Ligne Maginot. Un ouvrage extrêmement détaillé, d'excellente facture, fruit d'un travail rigoureux sur les archives. ‎

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