Lausanne, La Guilde du Livre, Clairefontaine, 1957, in-4, 90 pp, Cartonnage original de l'éditeur sous jaquette, couverture imprimée en couleurs, Edition originale. Méditerranée est un livre de photographies en noir reproduites en héliogravure de Henriette Grindat et de textes de Mimica Cranaki, sur les différents pays autour de la Méditerranée, tels que la Grèce, l'Egypte... S'y trouvent aussi des textes de Paul Valéry, de Nietzsche, de Lord Byron, de Homère, de Villehardouin, de Strabon et de Henri Bassis. La table des photographies en dernière pas est dépliante. Exemplaire numéroté 655 sur 10 000. Bon état malgré de légers frottements aux coins. Couverture rigide
Reference : 93962
Bon 90 pp
Librairie Alain Brieux
Jean Bernard Gillot
48, rue Jacob
75006 Paris
France
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État : Très bon état - Année : 1962 - Format : in 8° - Pages : 373pp - Editeur : La Table Ronde - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Divers : Un léger pli de lecture au dos. - Collection : L'Ordre du Jour - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/amiral-paul-auphan/9793-histoire-de-la-mediterranee?lrb
Après avoir été façonnée par les Phéniciens, les Grecs et les Romains, la Méditerranée est devenu le berceau de la civilisation chrétienne formant un ensemble harmonieux jusqu'au début du VIIe siècle. Puis l'Islam, civilisation extra-méditerranéenne avec les Arabes et puis les Turcs, y a porté un coup dont les conséquences ne sont pas épuisées. Les événements d'aujourd'hui, ˮles printemps arabesˮ, nous confirment l'importance stratégique de la Méditerranée. Connaître son histoire peut aider à préparer les bonnes décisions de demain. Or, ce livre constitue une synthèse survolant les siècles, de Ramsès II à Ferhat Abbas, replaçant ainsi dans leur perspective les événements du passé jusqu'à ceux de la fin de l'Algérie française.
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État : Etat de neuf - Année : 1974 - Format : in 8° - Pages : 352pp - Editeur : Presses de la Cité - Lieu d'édition : Paris - Type : Cartonnage toile éditeur, jaquette illustrée - Collection : Coup d'Oeil - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/georges-blond/4023-la-mediterranee-ou-se-joue-notre-destin-?lrb
La méditerranée a été le berdeau des civilisations. Cette mer a vu Rome devenir la maîtresse du monde, et Byzance supplanter Rome. Le mouvement énorme des croisades l'a traversée et les Normands l'on un temps colonisé. Aucun océan n'a été aussi infesté de pirates que cette mer civilisée, des origines à la conquête de l'Algérie. Elle est aujourd'hui encore un enjeu stratégique important. Tome 3 de La grande aventure des Océans. Toute l'histoire de la Méditerranée, des origines à nos jours, est ici exposée avec la rigueur de l'historien. Cet ouvrage est une synthèse historique d'une intense actualité, où le mouvement ne cesse jamais et où s'afirme une fois de plus le talent de conteur de Georges Blond.
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État : Parfait état. - Année : 1970 - Format : in 8° - Pages : 399pp - Editeur : Robert Laffont - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/michel-salomon/764-mediterranee-rouge-un-nouvel-empire-sovietique?lrb
La Russie a-t-elle renoncée à accèder aux mers chaudes? Voilà une question qui va se poser dans les années à venir. Ainsi, cette étude peut apparaître comme totalement obsolète pourtant les analyses de l'auteur sont toujours pertinentes même si les conclusions qu'il faut en tirer, qui appartiennent d'ailleurs à chacun des lecteurs, sont différentes. La méditerranée reste un enjeu stratégique pour l'occident auquel la Russie, si elle veut s'imposer comme puissance mondiale, ne peut se désintéresser.
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Armand Colin, 1990 2 vol. in-8°, 588 et 628 pp, 40 illustrations hors texte, 68 cartes et tableaux, notes bibliographiques, index, brochés, couv. illustrées, bon état
Le chef d'oeuvre de Fernand Braudel. — "J'ai passionnément aimé la Méditerranée" : c'est par ces mots que F. Braudel ouvre son premier ouvrage sur le monde méditerranéen qui, traduit dans le monde entier, y a été salué comme "la plus grande œuvre historique de notre temps". Selon la conception originale de l'auteur, il se déroule sur des rythmes temporels différents. De volume en volume, il passe de la "longue durée", du temps presque immobile de la géographie et des civilisations, au temps lent des grands cycles économiques et sociaux, et enfin au temps très vif et bref des événements au quotidien... — La première partie : La part du milieu suit pas à pas les genres de vie qu'imposent aux hommes de Méditerranée la nature elle-même et les héritages de civilisation. Grands propriétaires des plaines et leurs paysans asservis, montagnards pauvres mais libres, peuples des marins, des pêcheurs et des corsaires, nomades du désert que suivent leurs tentes et leurs chameaux, immenses troupeaux des transhumances entre plaine et montagne, bête de somme et chariots si lents à assurer les transports, mers animées à la belle saison et désertées chaque hiver quand les vents mettent en péril voiliers et galères – telle nous apparaît la Méditerranée du XVIe siècle, toujours au bord de la disette, misérable et cependant richissime, à la croisée des routes du grand commerce mondial. – La deuxième partie : Destins collectifs et mouvements d'ensemble, consacré aux économies et aux sociétés, pose une question essentielle : quand la Méditerranée a-t-elle perdu son antique royauté au profit de l'Atlantique ? Certainement pas dès le lendemain des grandes découvertes, affirme l'auteur, contre toutes les idées reçues jusqu'alors. Tout au long du XVIe siècle, la Méditerranée, bien qu'envahie par les bateaux du Nord, reste la puissance économique qui se réserve l'essentiel du grand commerce mondial, plus la suprématie financière : l'or et l'argent que déversent en Espagne les mines d'Amérique aboutissent dans les mains des banquiers italiens, maîtres du crédit à travers toute l'Europe. Cependant, la Méditerranée partage les difficultés, alors générales, de sociétés en crise dans une montée à la fois d'inflation, de richesse, de misère, de banditisme, de guerres civiles et religieuses – un destin commun aux deux civilisations qui la divisent : Islam et Chrétienté. – La troisième partie : Les événements, la politique et les hommes, est celle de l'histoire vive des évènements, durant le demi-siècle que dure le règne de Philippe II. En Méditerranée le conflit est permanent entre les deux grands champions de l'Islam et de la Chrétienté, l'Espagnol et le Turc. Mais la guerre se ranime ou s'apaise selon que les adversaires ont ou non les mains libres. La paix avec la France, en 1559, marque ainsi le début d'un âpre duel, jusqu'au triomphe de la flotte chétienne à Lépante, en 1571. Paradoxalement, celui-ci inaugure une longue période de paix. C'est que les deux adversaires, chacun aux prises avec ses propres drames, l'un sur le front atlantique, l'autre en Perse et en Hongrie, se tournent alors le dos et les flottes d'Etat désertent la Méditerranée pour le grand bonheur des corsaires turcs et chrétiens, dont la petite guerre va remplacer la grande.
Armand Colin, 1987, 2 vol. gr. in-8°, 588 et 628 pp, 40 illustrations hors texte, 68 cartes et tableaux, index, brochés, bon état
Première partie : La part du milieu ; II : Destins collectifs et mouvements d'ensemble ; III : Les événements, la politique et les hommes. — "J'ai passionnément aimé la Méditerranée" : c'est par ces mots que Fernand Braudel ouvre son premier ouvrage sur le monde méditerranéen qui, traduit dans le monde entier, y a été salué comme "la plus grande œuvre historique de notre temps". Selon la conception originale de l'auteur, il se déroule sur des rythmes temporels différents. De volume en volume, il passe de la "longue durée", du temps presque immobile de la géographie et des civilisations, au temps lent des grands cycles économiques et sociaux, et enfin au temps très vif et bref des événements au quotidien. La première partie suit pas à pas les genres de vie qu'imposent aux hommes de Méditerranée la nature elle-même et les héritages de civilisation. Grands propriétaires des plaines et leurs paysans asservis, montagnards pauvres mais libres, peuples des marins, des pêcheurs et des corsaires, nomades du désert que suivent leurs tentes et leurs chameaux, immenses troupeaux des transhumances entre plaine et montagne, bête de somme et chariots si lents à assurer les transports, mers animées à la belle saison et désertées chaque hiver quand les vents mettent en péril voiliers et galères – telle nous apparaît la Méditerranée du XVIe siècle, toujours au bord de la disette, misérable et cependant richissime, à la croisée des routes du grand commerce mondial. La deuxième partie, consacrée aux économies et aux sociétés, pose une question essentielle : quand la Méditerranée a-t-elle perdu son antique royauté au profit de l'Atlantique ? Certainement pas dès le lendemain des grandes découvertes, affirme l'auteur, contre toutes les idées reçues jusqu'alors. Tout au long du XVIe siècle, la Méditerranée, bien qu'envahie par les bateaux du Nord, reste la puissance économique qui se réserve l'essentiel du grand commerce mondial, plus la suprématie financière : l'or et l'argent que déversent en Espagne les mines d'Amérique aboutissent dans les mains des banquiers italiens, maîtres du crédit à travers toute l'Europe. Cependant, la Méditerranée partage les difficultés, alors générales, de sociétés en crise dans une montée à la fois d'inflation, de richesse, de misère, de banditisme, de guerres civiles et religieuses - un destin commun aux deux civilisations qui la divisent : Islam et Chrétienté. La troisième partie est celle de l'histoire vive des évènements, durant le demi-siècle que dure le règne de Philippe II. En Méditerranée le conflit est permanent entre les deux grands champions de l'Islam et de la Chrétienté, l'Espagnol et le Turc. Mais la guerre se ranime ou s'apaise selon que les adversaires ont ou non les mains libres. La paix avec la France, en 1559, marque ainsi le début d'un âpre duel, jusqu'au triomphe de la flotte chétienne à Lépante, en 1571. Paradoxalement, celui-ci inaugure une longue période de paix. C'est que les deux adversaires, chacun aux prises avec ses propres drames, l'un sur le front atlantique, l'autre en Perse et en Hongrie, se tournent alors le dos et les flottes d'Etat désertent la Méditerranée pour le grand bonheur des corsaires turcs et chrétiens, dont la petite guerre va remplacer la grande.