Paris, NRF Gallimard, 1921, in-12, 517 pp, Reliure cartonnée originale de l'éditeur, d'après la maquette de Paul Bonet, Jean Barois est le troisième roman publié par l'écrivain, romancier, dramaturge, novelliste, diariste et épistolier français Roger Martin du Gard, en 1913, qui est lauréat du prix Nobel de littérature de 1937. Ce roman est emblématique de la perte de la foi dans le monde moderne. Exemplaire sur verger d'Arches numéroté 101 sur 960 Bon état Couverture rigide
Reference : 93431
Bon 517 pp
Librairie Alain Brieux
Jean Bernard Gillot
48, rue Jacob
75006 Paris
France
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Gallimard Nrf 1963 1963. Roger Martin du Gard: Jean Barois/ Gallimard-NRF 1963 . Roger Martin du Gard: Jean Barois/ Gallimard-NRF 1963
Bon état
EUROPE. Septembre 1963. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 190 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Cinquantenaire de Jean Barois - Correspondance (1909-1946) de Jean Richard Bloch et Roger Martin du Gard - Sur le réalisme de Jean Barois par André Daspre, Chronologie de Roger Martin du Gard par André Daspre, Notes pour une vie (V) par Marie Anne Comnène, William Styron par Cyrille Arnavon, Les temps romanesques, roman par Gabrielle Gras, Christophe le passeur par Charles Baudouin, Maupassant, héritier de Balzac par André Vial Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Paris, Nouvelle Revue Française, 1913. In-4 (215 x 163 mm), 514 pp., 1 f. n. ch. Maroquin noir, dos à nerfs, auteur et titre dorés, coupes filetées, doublure de maroquin citron, gardes de soie moirée noire, tranches dorées sur témoins, couvertures et dos conservés, étui bordé (P. L. Martin).
Édition originale. Elle est ornée en frontispice d’une photographie de L’Esclave enchaîné de Michel-Ange, symbolisant pour l'auteur "la vie de Barois, l’homme prisonnier des mythes et qui ne parvient pas à s’évader de ses liens". Un des 30 exemplaires sur vergé d’Arches, seul tirage de tête. Dans un projet de préface, Roger Martin du Gard décrivait ainsi son troisième roman: "L’auteur s’est efforcé de présenter, sous un jour impartial, la courbe psychologique d’une âme qui, façonnée par les croyances de son enfance, s’étant librement développée et dégagée de toute croyance, revient à la fin de sa vie aux espérances consolantes de sa jeunesse." C’est dans la forme que réside une grande part de l’originalité de Jean Barois: l’ouvrage est presque entièrement composé de scènes dialoguées, à la manière du découpage cinématographique. La mise en scène du procès de Zola – une des premières apparitions littéraires de l’affaire Dreyfus – enthousiasma André Gide et Jean Schlumberger. Présenté dans la Nouvelle Revue française en juillet 1913 et publié en décembre, le roman rencontra le succès et fit de Roger Martin du Gard un auteur de premier plan dans la galaxie Gallimard. Pierre-Lucien Martin (1913-1985) fut l’un des artisans les plus remarquables du XXe siècle. Formé à l’école Estienne, il a d’abord travaillé comme ouvrier dans plusieurs ateliers avant de s’installer à son compte après guerre. Ses pleines reliures furent vite remarquées pour leur qualité d’exécution et, encouragé par les bibliophiles, il se lança dans les décors modernes où s’exerça pleinement son talent. Il reçut en 1948 le Prix de la reliure originale. Deux ans après sa mort, la Bibliotheca Wittockiana lui consacra une grande exposition. Ex-libris de Marcel de Merre, un des grands noms de la bibliophilie belge (vente, 2007, n°381). Parfait exemplaire en maroquin doublé de Pierre-Lucien Martin. Talvart & Place, Bibliographie des auteurs modernes…, XIII, p. 196. «Histoire d’un livre : Jean Barois de Roger Martin du Gard» [en ligne sur: www.gallimard.fr]]. Laffont-Bompiani, Dictionnaire des œuvres, III, p. 779. Jean Toulet, «Pierre-Lucien Martin», Encyclopedia Universalis.
Roger Martin du Gard. Jean Barois Jean Barois a passionné des générations de lecteurs : Martin du Gard y aborde de manière directe les problèmes généraux concernant la libre pensée, l'avenir de la science, la Vérité et la justice. Ses personnages illustrent quelques-unes des positions vitales entre lesquelles il faut choisir. Mais ce sont des personnages de chair et de sang; Martin du Gard peint aussi le vieillissement tragique de l'homme, dans son corps, son coeur et son intelligence, l'angoisse devant la maladie et la mort. Le livre est fortement situé historiquement : on y voit les rebondissements de l'Affaire Dreyfus, clairement exposée. Enfin, d'un point de vue purement littéraire. Martin du Gard, à une époque où le cinéma en était à ses balbutiements. inventait le découpage cinématographique. volume in-8, demi cuir, 20x15, joliment relié, en excellent état, couvertures conservées avec dos, 518pp. Paris Gallimard 1921. ref/264
BUREAU DU JOURNAL. 23 juin 1934. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses photographies monochromes dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Grande parade diplomatique par Pertinax, Plus ça change par Louis Cheronnet, Hommes a louer par Jean Barois, Le parapluie sanglant par Odette Pannetier, Amour indien par le marquis de Wavrin, Navires suspects par Jean Marestan, Charlie Chaplin intime par May Reeves Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues