, 1905-1934, in-8, 7 plaquettes, Brochées, Ensemble de plaquettes publiées par Auguste Marie (1865-1934) : - "Quelques photographies d'arabes syphilitiques et paralytiques généraux". 3 pp, 2 pl. Couverture de l'éditeur. Tiré à part, extrait de la Nouvelle iconographie de la Salpêtrière, t. 19, 1906. Les deux planches (numérotées 82 et 83) présentent des portraits de patients de l'asile d'Abbassieh au Caire. Le texte s'accompagne d'un tableau statistique des cas de paralysie générale chez les aliénés hommes et femmes admis en 1905. - Marie et Meunier, "Quelques enregistrements graphiques dans la maladie de Parkinson". 6 pp. Couverture de l'éditeur. Tiré à part, extrait du Journal de psychologie normale et pathologique, n° 6 (novembre-décembre), 1907. Une reproduction photographique et graphiques dans le texte. - "Nano-infantilisme et folie". paginé 101 à 113. Sans couverture. Extrait des Bulletins et mémoires de la Société d'anthropologie de Paris, t. 10, 5e série, 1909. Reproductions photographiques dans le texte (nains, idiots-nains, homme-tronc, déments à infantilisme pottique). - "Sur l'évolution des constructions d'asile". Extrait du Dritte internationaler Kongress für Irrenfürsorge de Vienne, octobre 1909. 17 pp. Couverture éditeur. - Marie, Calmels, Besson, Lobligeois et Thévenin, "Proposition tendant à ramener à une seule direction administrative le service Henri-Rousselle et l'asile clinique". 13 pp. Sans couverture. Extrait, épreuve corrigée, du Conseil général de la Seine 1931, n° 94. - Marie, Besson et Lobligeois, "Proposition relative à l'encombrement des asiles d'aliénés". 4 pp. Sans couverture. Extrait du Conseil général de la Seine 1931, n° 102. - Marie, Godin, "À propos de l'assistance aux psychopathes étrangers. Le problème des malades musulmans à Paris". Paginé 33 à 44. Extrait de la Revue de l'hygiène mentale, Journal de psychiatrie appliquée, n° 2, 1934. Couverture éditeur. On joint : un billet autographe signé, daté du 14 novembre 1900, rédigé par le professeur Marie, autorisant la sortie d'un patient, Antoine Gaitte. Auguste Marie, né à Vairon dans l'Isère, étudia la médecine à Grenoble et devint docteur à Paris en 1890. Il se tourna vers la psychiatrie et occupa la fonction de médecin chef dans les asiles de Villejuif et de Sainte-Anne à Paris. Il dirigea la Colonisation des vieillards de la Seine et fonda la première première colonie familiale d'aliénés en France. Il est l'auteur d'un très grand nombre de publications sur la folie. Il fut éditeur des Archives de neurologie de 1914 à sa mort. Il était à l'origine de l'exposition du Petit musée de la folie à Paris en 1905, dans laquelle il présentait des oeuvres d'aliénés issues de sa propre collection. Fischer II, p. 992. Couverture rigide
Reference : 93281
Bon 7 plaquettes
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[divers imprimeurs] In-4 demi-basane rouge titrée Oeuvres Complètes E. Van Drival. Exemplaire de l'auteur qui s'était fait relier l'ensemble de ses publications sous ce type de reliure. Le plus souvent les couvertures de brochage sont conservées. 1°Discours prononcés sur la tombe de M. Harbaville. Arras, A. Courtin, 1866, 11pp. / 2°Paroles prononcées sur la tombe de M. Alexandre Grigny 3pp. / 3°L'exposition d'Arras, Arras, Auguste Tierny, 1868, 77pp. / 4°Discours prononcés dans la séance de cloture de l'exposition des Beaux-Arts de la ville d'Arras, 1868. Arras, Typo. d'Alphonse Brissy, 1869. liste des acquisitions faites par la ville d'Arras in fine. / 5°concours pour la construction d'une église. 4pp. et un plan / 6° La nouvelle église de Notre Dame des Ardents. 7pp. Le recueil comprend égaleemnt de nombreux articles de Van Drival publiés dans divers journaux. // Le chanoine Van Drival (1815-1887), érudit, amateur d'art religieux, historien et philologue fut directeur du grand séminaire d'Arras, secrétaire général de l'Académie des sciences, lettres et arts d'Arras. Membre titulaire de la Société des antiquaires de la Morinie etc.
[divers imprimeurs] Petit in-4 demi-basane rouge titrée Oeuvres Complètes E. Van Drival. Plats de couverture de brochage conservés. Editions originales. Exemplaire de l'auteur qui s'était fait relier l'ensemble de ses publications sous ce type de reliure. 1°L'œuvre d'Arras ou l'opus Atrebaticum, Imprimerie Impériale (1863 / 1864) 13pp. / 2°Les tapisseries d'Arras (Extrait du bulletin monumental), Paris chez Derache et Caen, chez A. Hardel, 1863, 12pp. in-8 / 3° Les tapisseries d'Arras. Etude artistique et historique. Arras, 1864, A. Courtin, imprimeur de l'Académie. VII-193pp.-1f. / 4° Des tapisseries d'Arras. Conférence faite à la salle des cours publics d'enseignement supérieur. Extrait de la revue d'Art Chrétien. Arras, 1867, Rousseau-Leroy, éditeur. 31pp. Ensemble en parfait état. Les quatre textes portent la signature manuscrite de l'auteur. Le chanoine Van Drival (1815-1887), érudit, amateur d'art religieux, historien et philologue fut directeur du grand séminaire d'Arras, secrétaire général de l'Académie des sciences, lettres et arts d'Arras. Membre titulaire de la Société des antiquaires de la Morinie etc.
Montauban imp. et lith. Forestié. 1 vol. in-8 reliure demi basane, dos à nerfs, motif doré sur les entre-nerfs, environ 300 pp.
La librairie fermera ses portes en 2025. Des remises de 25 à 50 % peuvent s'appliquer au cas par cas.
Paris, Guillaumin, 1881 - 1882 8 parties en un vol. in-8, 516 pp. [parties I-VII], 86 pp. [partie VIII], demi-chagrin havane, dos à nerfs orné de filets à froid, tranches mouchetées (reliure de l'époque).
Unique édition de cette importante série de documents sur une négociation avortée.L'avocat Léon Chotteau (1838-1895) avait quitté le barreau pour se lancer dans les affaires. Choisi comme délégué auprès du gouvernement américain en vue de la conclusion d'un traité de commerce franco-américain, il fit six voyages aux États-Unis afin de réaliser une alliance économique. Pour ce faire, il multiplia les conférences entre 1877 et 1885, mais son action n'aboutit pas en raison des tendances protectionnistes du Parlement français qui devait se manifester par plusieurs décisions : en 1882, la France refusa de reconduire le traité de libre-échange avec la Grande-Bretagne (traité Cobden-Chevalier) ; en 1892, le Parlement dénoncera même les accords douaniers antérieurs et vota le tarif Méline qui augmentait les droits de douane de 40 %. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
LUCAS (Charles) - Recueil provenant de la bibliothèque personnelle de Charles Lucas
Reference : 37107
Ensemble de 62 pièces reliées en 4 volumes in-8°, 3 de demi-chagrin vert, dos à nerfs et un de demi-maroquin vert, dos lisse orné d'un décor romantique doré (reliures de lépoque).
Précieux recueil de 62 pièces (dont 15 en double), composé en partie de ses propres uvres, constitué par Charles Lucas pour sa bibliothèque personnelle. Chaque volume est précédé d'un index de sa main.Charles Lucas (1803-1899) est l'homme "qui, sans conteste, pendant le XIXe siècle, a le mieux incarné les ambitions et les ambiguïtés de la réforme pénitentiaire (...) et a fondé la Science des prisons" (J.G. Petit).Il personnifia le libéralisme pénal de la Restauration, jetant les bases d'un système pénitentiaire qui récusait l'emprisonnement perpétuel. Guizot le nomma inspecteur des prisons dès le changement de régime, en 1830. Il demeura trente-cinq ans à ce poste.À partir de 1830, l'engouement pour l'amélioration du système pénitentiaire suscita des centaines d'ouvrages. Charles Lucas se constitua une très riche bibliothèque spécialisée, augmentée des nombreuses brochures que l'inspecteur général des prisons recevait. On trouve ici une importante réunion de 21 plaquettes traitant de la colonie agricole du Val d'Yèvre qu'il avait fondée, en 1841, pour recevoir des jeunes délinquants. Après avoir acheté 140 ha de marais au Val dYèvre près de Bourges, Charles Lucas soumit son projet au ministère de lIntérieur qui ne le retint pas. En 1846, il décida de se lancer personnellement dans "laventure". La construction coûta 450.000 francs et lEtat alloua 80 centimes par jour et par colon qui furent transférés de la prison de Fontevraud dès 1847 : 100 en 1850 puis 400 en 1860. En 1865, Charles Lucas devenu aveugle fut remplacé par son fils docteur en droit. En 1872, la colonie fut louée, puis acquise par lEtat et "nationalisée". La loi de 1912 sur les tribunaux pour enfants entraîna une réduction progressive des effectifs jusquen 1924 pour le Val dYèvre ferma définitivement.
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