Paris, Gauthier-Villars, 1870, in-8, 2 volumes : I. frontispice, XII, 322 pages et 36 planches hors-texte ; II. (6), 327 pages et 1 planche, demi-chagrin vert de l'époque, titres et tomaisons dorés, Première édition. Durant trente ans, la France connut une baisse très importante dans sa production de tissus de soie, due à une maladie inconnue touchant la chenille du bombyx du mûrier. En 1865, le Ministre de l'agriculture chargea Louis Pasteur d'étudier ce phénomène. Celui-ce se rendit dans le sud de la France, lieu d'élevage des vers, et effectua des recherches sur la maladie pendant 5 ans. Dans cet ouvrage, Pasteur fait un compte-rendu des différentes recherches et expériences menées sur les maladies des vers à soie. Il explique que la mort des spécimens est due à deux maladies différentes qu'il appelle pébrine et flacherie. L'une est causée par un parasite et l'autre est due à l'environnement. Les deux affections sont héréditaires et contagieuses. Il indique enfin les moyens pour éradiquer la maladie notamment en enlevant les oeufs et les larves contaminées et en faisant attention aux conditions environnementales dans lesquelles sont placées les spécimens. C'est au travers de cette étude et de celle du charbon que Pasteur démontre, le premier, qu'une maladie est liée à un agent pathogène déterminé. Bel exemplaire à noter cependant quelques rousseurs au tome 1 et une auréole marginale au tome 2. Quelques planches ont tendance à se détacher. Couverture rigide
Reference : 74506
Bon 2 volumes : I. frontispice,
Librairie Alain Brieux
Jean Bernard Gillot
48, rue Jacob
75006 Paris
France
331 42 60 21 98
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Paris, Jean-Albert Gauthier-Villars, 1870, , 2 volumes in 8 de I. frontispice, XII, 322 pages et 36 planches hors-texte ; et de II. (6), 327 pages et 1 planche, demi-basane verte de l'époque, dos lisse orné (coins, coiffes et coupes frottés), Première édition. Durant trente ans, la France connut une baisse très importante dans sa production de tissus de soie, due à une maladie inconnue touchant la chenille du bombyx du mûrier. En 1865, le Ministre de l'agriculture chargea Louis Pasteur d'étudier ce phénomène. Celui-ce se rendit dans le sud de la France, lieu d'élevage des vers, et effectua des recherches sur la maladie pendant 5 ans. Dans cet ouvrage, Pasteur fait un compte-rendu des différentes recherches et expériences menées sur les maladies des vers à soie. Il explique que la mort des spécimens est due à deux maladies différentes qu'il appelle pébrine et flacherie. L'une est causée par un parasite et l'autre est due à l'environnement. Les deux affections sont héréditaires et contagieuses. Il indique enfin les moyens pour éradiquer la maladie notamment en enlevant les oeufs et les larves contaminées et en faisant attention aux conditions environnementales dans lesquelles sont placées les spécimens. C'est au travers de cette étude et de celle du charbon que Pasteur démontre le premier qu'une maladie est liée à un agent pathogène déterminé. Norman 1657 ; En français dans le texte, 272 ; et Garrisson & Morton, 2481. 2 volumes in 8 de I.
Paris, Jean-Albert Gauthier-Villars, 1870, , 2 volumes in 8 de I. frontispice, XII, 322 pages et 36 planches hors-texte ; et de II. (6), 327 pages et 1 planche, demi-basane verte de l'époque, dos lisse orné (coins, coiffes et coupes frottés), Première édition. Durant trente ans, la France connut une baisse très importante dans sa production de tissus de soie, due à une maladie inconnue touchant la chenille du bombyx du mûrier. En 1865, le Ministre de l'agriculture chargea Louis Pasteur d'étudier ce phénomène. Celui-ce se rendit dans le sud de la France, lieu d'élevage des vers, et effectua des recherches sur la maladie pendant 5 ans. Dans cet ouvrage, Pasteur fait un compte-rendu des différentes recherches et expériences menées sur les maladies des vers à soie. Il explique que la mort des spécimens est due à deux maladies différentes qu'il appelle pébrine et flacherie. L'une est causée par un parasite et l'autre est due à l'environnement. Les deux affections sont héréditaires et contagieuses. Il indique enfin les moyens pour éradiquer la maladie notamment en enlevant les oeufs et les larves contaminées et en faisant attention aux conditions environnementales dans lesquelles sont placées les spécimens. C'est au travers de cette étude et de celle du charbon que Pasteur démontre le premier qu'une maladie est liée à un agent pathogène déterminé. Norman 1657 ; En français dans le texte, 272 ; et Garrisson & Morton, 2481. Couverture rigide
Bon 2 volumes in 8 de I.
Paris.Gauthier-Villars.1870.2 vols.in-8,demi-reliures d'époques.Tome I: La Pébrine et la Flacherie,322 pages. Tome II: Notes et Documents, 327 pages. Très importante illustration pleine page en noir et couleurs.Parfait état.
Paris, Gauthier-Villars, 1870. 2 vol. in-8°, demi-chagrin La Vallière, dos à nerfs orné de roulettes et de filets dorés, tranches jaspées. Reliure de l'époque. XI-322 pp., nombreuses vignettes gravées dans le texte et 37 planches hors-texte; (3) ff., 327 pp. et 1 planche hors-texte. Rousseurs éparses.
Edition originale peu commune de cette brillante étude menée à la demande de l'Empereur, la pébrine décimant en 1865 les élevages de vers à soie dans le midi. Pasteur découvrit l'origine de la maladie et établit une méthode pour sélectionner les oeufs sains. D'après Duveen, "this work (...) whitch marked the entry of Pasteur into the realm of animal pathology and could well be called the "vestibule of modern medicine"". Bon exemplaire. Garrisson & Morton, 2481; D.S.B. X, 393; Duveen, 460.
Phone number : 02 47 97 01 40
Paris, Jean-Albert Gauthier-Villars, 1870. 2 vol. in-8 de XII-322 pp., et (6), 327 pp., demi-chagrin maroquiné bordeaux, dos à nerfs, titre frappé or, tranches mouchetées (Lobstein-Laurenchet).
Édition originale. En 1865, Louis Pasteur fut dépêché par le Ministre de l'agriculture dans le sud de la France afin d'éradiquer l'épidémie qui affecte la culture de la soie. A Pont-Gisquet près d'Alès, pendant cinq ans, il va mener un combat acharné et va être le premier à démontrer qu'une maladie est liée à un agent pathogène déterminé. Pasteur fait ici le compte-rendu des différentes recherches et expériences menées ; l'ouvrage est illustré d'un frontispice : photogravure de l'habitation de Pont-Gisquet, près d'Alais où ont été faites les expériences et de 37 planches hors texte dont 9 en couleurs ; l'une d'entre elles est gravée par Lackerbauer d'après un dessin de Pasteur. Nombreuses illustrations et tableaux techniques dans le texte.Bel exemplaire très frais et à grandes marges.Garrison & Morton, 2481