J. De Gigord, collection la France vivante, in-8 broché de 183 pages, préface de François Piétri | Etat : bon état, couverture et premières pages tâchées (Ref.: ref95276)
Reference : 9782845221480
J. de Gigord
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Bureau de la revue. 1 avril 1940. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 195 à 215. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : La Marine Française - la marine française dans la guerre par C. Campinchi, La Marine du Grand Roi par Paul Chack, Le Cid Canadien et les Maccabées de la Nouvelle France par Ch. de la Roncière, La flotte française dans la guerre de 1914-1918 par le contre-amiral Valat Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Perrin, 1987, in-8°, 460 pp, 12 pl. de documents hors texte, une carte, index, broché, couv. illustrée, bon état
La France a presque toujours entretenu avec la mer des rapports difficiles, basés souvent sur l'ignorance, l'indifférence et l'incompréhension. L'importance des océans, leur rôle moteur dans le développement des civilisations ont été fréquemment méconnus et les Français n'ont participé que tardivement au grand mouvement des découvertes. Le retard n'est-il pas, dans bien des domaines, une constante de notre histoire ? De tous les pays riches en frontières maritimes, la France est le seul chez lequel, malgré l'action énergique et lucide de quelques hommes d'état, de Richelieu à Georges Leygues, l'existence même d'une force navale sera périodiquement remise en cause, contestée dans son principe. Et d'ailleurs l'histoire de la Marine est fort peu connue des Français en dehors de quelques grandes figures comme Suffren Jean Bart ou Surcouf. Supprimer la marine restera une idée récurrente chez les gouvernants et tous les prétextes seront bons pour tenter de la justifier. L'histoire de la marine française est donc une étrange alternance de points forts et de faiblesses. La France sut, par épisodes, se construire de grandes flottes : celle de Louis XIV et Colbert, celle de Louis XVI, celle du second Empire, à la pointe du progrès technique, celle de la IIIe République finissante. Mais entre ces sommets, survinrent bien des méthodes d'abandon aux lourdes conséquences. Ces hauts et ces bas de la marine française, Etienne Taillemite, grand spécialiste de l'histoire maritime, nous les restitue avec clarté et précision, de la guerre de Cent Ans à nos jours. De défaites en victoires, d'amiraux malheureux en marins éclatants, de commis négligents en ministres lucides, de positions perdues en marchés reconquis, on mesure en parcourant ces six siècles combien la France a toujours eu besoin des océans et combien elle a parfois cruellement souffert de ses incohérences en matière navale. — "Par la force des choses, les Capétiens demeurent longtemps des terriens. Ce n'est qu'en 1203, par la prise de possession de la Normandie, qu'ils accéderont à la mer. Se posera alors le problème d'une force navale. Mais il faudra attendre... Richelieu pour mettre en oeuvre une politique maritime globale. Que de temps, que d'occasions perdus ! Les grands moteurs de l'économie ont toujours été les ports. C'est l'avis de Colbert et, plus tard, de Louis XVI. 1790 marque probablement l'apogée de la marine royale. Puis ce sera l'effon-drement révolutionnaire. Trafalgar préfigure Waterloo. Au XIXe siècle sous l'impulsion personnelle de Napoléon III, la « Royale » connaît un renouveau inespéré. Cet effort ne s'est pas démenti depuis et, de nos jours, la marine française est devenue la pointe de diamant de la dissuasion nucléaire. Une fort bonne étude." (Lectures, 1988)
Ensemble de 6 documents manuscrits originaux, composés par plusieurs rédacteurs, datés, signés, écritures bien lisibles en langue française. 1°) Rapport officiel de la bataille de Lissa et le combat naval du 20 juillet 1866, en provenance de la Frégate Cuirassée La Provence, avec mention finale "Pour extrait des documents cités, le Président de la Commission Contre Amiral E di Brocchetti", 12 pages sur 6 feuillets non chiffrés, environ 26 lignes par page, peu de marge; composition de la flotte italienne, du déroulement des combats, des pertes humaines et matérielle avec cette conclusion "la victoire n'est pas restée à nos adversaires (...) le combat de Lissa sera toujours considéré comme un fait très honorable pour la Marine Italienne. 2°)Compte-rendu et impression personnelle sur l'état de la flotte italienne après la bataille et sur les responsabilités de l'Amiral Persano, signé du Capitaine de Frégate Vicary depuis l'aviso à vapeur L'Eclaireur, daté de Venise 14 aoüt 1866; 12 pages sur 6 feuillets non chiffrés, environ 26 lignes par page, peu de marge, auréole claire ancienne dans les fonds; intéressantes observations sur la mauvaise organisation de la Marine italienne, le manque de discipline et d'entraînement des marins, les rivalités entre officiers, le manque d'audace et de confiance en soi de l'Amiral Persano. 3°)Conclusions adressées à "M le Ministre" sur l'état des flottes italienne et Autrichienne (organisation, discipline, préparation, état d'esprit), suggestions sur le parti à tirer de ces observations pour améliorer la Marine Française, écrit depuis la frégate cuirassée La Provence, daté de Venise 18 septembre 1866, signé I de Surville; 28 pages sur 14 feuillets non chiffrés (1 vierge), environ 25 lignes par page, peu de marge. 4°)4 pages sur 2 feuillets non chiffrés solidaires contenant une lettre manuscrite et sa réponse de même datée de Venise 19 octobre 1866, signée du Général de Division aide de Camp de l'Empereur Le Beuf, annonce le départ pour Toulon de M de Surville à bord de La Provence, félicitations pour la bonne tenue et la bonne conduite des officiers et marins; réponse datée Solferino-Golfe Juan 3 novembre 1866, signée "le Vice Amiral commandant en chef l'escadre d'évolution (c'est-à-dire le Comte de Gueydon), annonce l'arrivée de M de Surville dont il fait le plus grand éloge "toutes les qualités pour faire un excellent officier général", M de Gueydon suggère aussi d'ajouter des mortiers sur les bâtiments "le vaisseau lui-même étant le plus gros projectile à lancer contre un ennemi"; petites éclaboussures d'encre anciennes sur le 1er feuillet. 5°)lettre datée de Compiègne 18 novembre 1866, rédigée et signée du Ministre de la Marine Amiral de Chasseloup-Laubat, adressée à "Mon cher Amiral" (c'est-à-dire au Comte de Gueydon); 2 feuillets dont 1 vierge (petit trou sur celui-ci), texte de 33 lignes, confirmation écrite d'un ordre donné par "dépêche télégraphique" au sujet de réparations à effectuer sur des bâtiments et annonce du désir de Dupuy de Lome de rencontrer le Commandant de La Magnanime au sujet d'améliorations techniques à apporter sur ce bâtiment. 6°) lettre rédigée et signée du Ministre de Chasseloup-Laubat, datée du 13 novembre 1866, adressée à "Mon cher Amiral" (c'est-à-dire le comte de Gueydon); 4 pages sur 2 feuillets non chiffrés, environ 15 lignes par page, marge supérieure de 5cm, les trois autres marges étant réduites, pliures angulaires en tête; arrivée à Toulon de La Magnanime, de La Savoie et de La Provence, demande que la flotte soit prête rapidement pour le retrait des troupes françaises de Rome, demande d'étudier attentivement les résultats obtenus par les nouvelles pièces d'artillerie (mortiers) installées à la demande de plusieurs officiers. Bel ensemble frais, bonne documentation sur les flottes italienne et autrichienne et les améliorations apportées à la Marine Française.
ESPAGNAC du RAVAY - Préface de l' Amiral de la Flotte F. Darlan, Commandant en chef les forces maritimes françaises
Reference : 16276
GRENOBLE, Arthaud - 1941 - 1 edition - Broché - In-8, 23 x 14 cms - 16 photos NB HT - 298 pages - Exemplaire non coupé, Bon exemplaire
" A ce propos, je veux signaler la remarquable contribution de la Marine française qui n'avait jamais été, depuis des générations, aussi puissante et aussi efficace." W. Churchill le 8 novembre 1939 - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
France-Empire, 1967, fort pt in-8°, 650 pp, 12 pl. de photos hors texte, 17 cartes, index, cart. éditeur, jaquette illustrée (déchirure avec pt manque au 1er plat de la jaquette), bon état
Sanctuaire traditionnel de la discipline, la Marine française a subi de 1939 à 1945 une très rude épreuve. Partie pour se battre en mer, elle a vu successivement tous ses ports pris par l’intérieur, ne pouvant qu’évacuer, comme à Dunkerque, ce qui pouvait l’être sans laisser à l’ennemi un seul de ses bâtiments. L’Armistice de juin 1940 lui a imposé d’autres devoirs : défendre le patrimoine et faire vivre la métropole en liaison avec l’empire dans l’espérance de temps meilleurs, tandis qu’une poignée des siens poursuivait la guerre du côté de la France Libre. Les Anglais ont-ils demandé que la flotte passât de leur côté préalablement à tout armistice ? Comment s’explique le drame de Mers El-Kébir, le sabordage de l’escadre de Toulon, la riposte au débarquement anglo-américain en Afrique du Nord et cent autres péripéties tragiques de la guerre. Ce livre vous le dira. Les deux auteurs qui l’ont écrit ont vécu intensément cette époque, l’Amiral Auphan aux postes les plus élevés de l’Amirauté française puis comme secrétaire d’Etat à la Marine, Jacques Mordal à la mer, à Dunkerque notamment, où il fut deux fois coulé et grièvement blessé. Tous les deux, depuis la guerre, se sont consacrés à l’étude de l’histoire et leurs travaux font autorité. Cet ouvrage s’appuie sur une documentation rigoureuse enrichie de multiples témoignages français et étrangers. Il a fait l’objet, il y a dix ans, d’une première édition en France, aux Etats-Unis et en Allemagne. L’édition française, aujourd’hui épuisée a obtenu en 1959 l’un des Grands Prix d’histoire de l’Académie française. Depuis lors le texte a été soigneusement revu et complété sur certains points au vu des publications étrangères les plus récentes ou des innombrables lettres reçues par les auteurs. Comme un manuel écrit sans passion mais sans cacher non plus l’aspect politique des problèmes, ce livre constitue une mise au point définitive de l’histoire trop souvent méconnue de la Marine française dans la Seconde Guerre mondiale. (2e plat de la jaquette)