2016, éditions unicité, in-8 broché de 245 pages, roman | Etat : bon état (Ref.: ref91613)
Reference : 9782845218777
éditions unicité
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Paris, Imprimerie nationale, 1789 - 1790 5 vol. in-8, cartonnage d'attente rigide de papier bleu, dos lisses, pièces de titre et de tomaison blondes, tranches mouchetées de rouge (reliure de l'époque). Coiffes frottées, coins abîmés, mouillures claires encadrantes au vol. V.
Édition in-8, en quatre volumes (l'originale in-4 en comprend 5). Cette publication officielle répartit les pensions en sept classes différentes en fonction des retenues graduelles auxquelles les arrêts du Conseil des 29 janvier 1770 et 13 octobre 1787 les avaient assujetties. Comme dans la plupart des cas, la collection que nous présentons n'est pas complète : manque la classe VII, mais les six premières y figurent.Ce document, qui était publié en livraisons à usage administratif, est de la plus extrême rareté.I. [Trois premières classes :] iv pp., pp. 5-568, un f. n. ch. de note. - II. Quatrième [- cinquième] classe : 184 pp., manquent les pp. 33-48 ; puis pp. 189-474 (sans manque), un f. n. ch. - III. Sixième classe : 508 pp. [Manque la VIIe classe]. - IV. État nominatif des pensions, traitemens conservés, dons, gratifications, qui se payent sur d'autres caisses que celle du Trésor royal : [503] pp. mal chiffrées 505. Avec, à la suite : Addition au premier rapport du Comité des pensions à l'Assemblée nationale. Faits et abus dans cette partie (Ibid., 111 pp.).Tourneux 13456*. Martin & Walter, Anonymes, 6394Le volume V, lui, est dans la même ligne générale, mais il comprend les différentes livraisons du Supplément historique et essentiel à l'état nominatif des pensions sur le Trésor royal, imprimé par ordre de l'Assemblée nationale. [Paris], Dennée, 1789-. À la différence des quatre premiers volumes, il ne s'agit pas du tout d'une publication officielle, mais d'un complément rédigé à titre privé par un écrivain bien renseigné, et qui ne manque pas de talent. Il fourmille de renseignements sur de nombreux bénéficiaires des pensions royales.On a donc ici 10 livraisons (sur 16 - manquent les VIII, XII, XIII, XIV, XV et XVI) : 1. Supplément historique et essentiel à l'état nominatif des pensions sur le trésor royal, imprimé par ordre de l'Assemblée nationale. S.l. [Paris], 1789, [2] ff. n. ch., 4 pp., 62 pp. - 2. Second supplément historique et essentiel à la seconde partie de la liste des pensions, jusqu'à la page 104. Paris, Lefebvre, 1790, 75 pp. - 3. Supplément historique, essentiel à la troisième livraison de l'état nominatif des pensions, depuis 20 jusqu'à 8 mille livres. Au Palais royal, 1790, x pp., pp. 11-80. - 4. Quatrième supplément historique et essentiel à la quatrième suite des pensions sur le Trésor royal, de 2400 livres inclusivement jusqu'à 8000 livres inclusivement. Au Palais royal, chez tous les libraires, 1790, 63 pp. - 5. Cinquième supplément historique à la cinquième & sixième suite des pensions ; enrichi d'anecdotes curieuses. Paris, Denné, 1790, 64 pp. - 6. Sixième supplément historique, pour servir à la septième et à la huitième livraison de la liste des pensions sur le Trésor royal. Paris, Denné, 1790, 64 pp. - 7. Septième supplément historique, pour servir à la neuvième distribution de l'état des pensions, & contenant un appendix des noms oubliés dans les huit premières livraisons. Paris, Denné, 1790, 64 pp. - 8. Neuvième supplément historique, à l'état nominatif des pensions, traitemens conservés, dons, gratifications, qui se payent sur d'autres caisses que le Trésor royal. Paris, Denné, 1790, 64 pp. - 9. Dixième supplément historique et essentiel à la liste des pensions, pour servir aux numéros XIII, XIV, XV, des pensions sur le Trésor royal, et des traitemens divers sur d'autres caisses. Paris, Denné, 1790, [2] ff. n. ch., 60 pp. - 10. Onzième supplément historique et essentiel à la liste des pensions, pour servir aux n°s XVI, XVII et XVIII des pensions sur le Trésor royal, et des traitemens divers sur d'autres caisses. Paris, Denné, 1790, x pp., pp. 11-62 pp., un f. n. ch. Tourneux 13457.Enfin, ont été reliées à la fin de ce volume deux pièces complémentaires sur le même objet :11. Réponse au Supplément historique et essentiel à l'état nominatif des pensions sur le Trésor royal. Avec le caractère des ministres qui ont dirigé les finances depuis la dernière guerre de l'Amérique. Necker, Fleury, d'Ormesson, Calonne, Brienne, suivis des observations sur la révolution qui s'est faite dans l'autorité suprême. S.l., 1790, 88 pp. Tourneux 13458. - 12. Examen anecdotique des pensions des deux premières classes, dédié à Messieurs du Comité nommé par l'Assemblée nationale, pour l'examen des pensions. S.l., 1790, 32 pp. Tourneux 13460. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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ATN Publications. 1999. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos frotté, Intérieur acceptable. 95 pages. Nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs, in texte. Texte sur 2 colonnes. Papier légèrement jauni.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire: Le trésor des Templiers: mythe ou réalité- Le trésor de l'Abbé Saunière- Le trésor des Cathares: Trésor matériel ou spirituel?- L'or des Templiers enfin trouvé: une révélation de Dossier Brulant- Capitaine Kidd- Chasseur des Météorites- nigme Dossier Brulant: Testez votre patience- etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
INSTITUT DES FINANCES. 1946. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Coiffe en pied abîmée, Intérieur acceptable. 126 pages - quelques surlignements au crayon à papier dans l'ouvrage. . . . Classification Dewey : 340-Droit
Programmes : concours d'inspecteur du trésor / concours de sous-chef de service du trésor / concours de stagiaire du trésor / agents de poursuites Classification Dewey : 340-Droit
P., Imprimerie Nationale, 1899, fort in-4°, lxxiv-1026 pp, index, cartonnage éditeur, dos bruni et lég. abîmé, imprimé sur vergé, à pleines marges, non rogné, bon état (Collection des documents inédits sur l'histoire de France). Avec un catalogue volant de 8 pages de la Collection des documents inédits sur l'histoire de France (103 titres parus et 16 sous presse)
"Notre confrère M. Viard, qui a spécialement étudié le règne de Philippe, de Valois, a été amené tout naturellement à parcourir une série de registres financiers presque inconnus, il y a quelques années encore : les journaux du Trésor, et s'est décidé courageusement à publier ceux que nous possédons pour l'époque de Philippe VI. (...) Mais M. Viard n'a pas jugé que sa besogne consistât uniquement à copier et à faire imprimer, avec tout le soin dont il est capable, les textes qu'il avait sous les yeux, à identifier ceux des noms de personnes qu'il pouvait reconnaître et les noms de lieux. Il a fait précéder son édition d'une substantielle introduction où il a voulu montrer le fonctionnement du Trésor, « son personnel, sa comptabilité et expliquer assez clairement la terminologie usitée dans ses livres. » (...) Des registres du changeur du Trésor il a tiré le meilleur parti, en relevant les recettes qui y sont portées pour les années 1335 à 1343, et il en a dressé un tableau récapitulatif, dont l'examen est bien intéressant. Enfin, l'un des registres du Trésor, dont le type était inconnu jusqu'ici, a été joint par M. Viard à sa publication : c'est un Ordinarium Thesauri. (...) Un relevé des noms des fonctionnaires du Trésor sous Philippe de Valois complète l'avant-propos de M. Viard. Du texte même de la publication, il n'y a rien à dire, sinon qu'édité avec l'attention que M. Viard apporte à ses productions, il est une source très précieuse de renseignements pour l'histoire de Philippe VI." (Henri Moranvillé, Bibliothèque de l'École des chartes, 1900)
Rochecorbon, Editions Charles Gay, 1959, in-4°, xxiii-(1)-423-(2) pp, avant-propos de Bertrand Gille, un portrait en couleurs en frontispice, 3 planches (dont 2 portraits) et 3 plans sur 2 ff. doubles hors texte, broché, jaquette illustrée, bon état
Edition critique de cette correspondance (du 16 mars 1803 au 9 juin 1815) conservée au Département des Manuscrits du Museo Julio Lobo de La Havane à Cuba. Ces lettres proviennent de la collection Julio Lobo ; elles avaient précédemment appartenu à André de Coppet. Magnifique publication tirée à petit nombre sur papier couché. — "Dans la publication de M. Arnna, 533 lettres envoyées par Napoléon du 16 mars 1803 au 9 juin 1815 à Mollien, son ministre du Trésor, sont réunies et commentées de manière excellente. Malgré la brièveté de certains billets, leur intérêt est capital. Non qu'ils nous éclairent davantage sur la personnalité du comte Mollien, déjà connue par ses Mémoires et sa correspondance privée, mais ils nous révèlent un côté méconnu du génie napoléonien : le financier. M. Bertrand Gille, dans un remarquable avant-propos, rappelle que l'empereur, « plus préoccupé de gloire militaire et politique, n'a guère fait allusion dans ses conversations de l'exil à cet aspect de son activité. » Gaudin, Mollien et Chaptal ont prétendu dans leurs mémoires avoir enseigné à l'empereur les rudiments de la finance et de l'économie. Napoléon a en tout cas très vite assimilé ces difficiles questions. La correspondance échangée avec Mollien confirme cette impression. Y sont abordés les problèmes les plus importants : rapports entre l'État et la Banque de France, krach des Négociants Réunis, trafic des licences, né du Blocus, crise de 1810 et politique de prêts aux manufactures et au commerce, détresse du Trésor en 1813 que laisse entrevoir ce billet du 6 mars : « On manque d'argent à la Grande Armée, ce qui fait beaucoup de tort à mes affaires. » La lecture de ces lettres fait surtout apparaître l'étonnante atmosphère de spéculation qui accompagna le règne de Napoléon. Le Consulat s'ouvre sur une opération boursière fondée sur la réussite du coup d'État de Brumaire, et les débuts financiers de l'Empire sont compromis par les entreprises d'Ouvrard imaginant, à partir du recouvrement des créances françaises en Espagne, un gigantesque projet d'exploitation de l'Amérique du Sud qui, ébranlant le Trésor et la Banque de France, provoqua la disgrâce de Barbé-Marbois et son remplacement par Mollien au ministère du Trésor. Les réactions que révèle la correspondance qu'il échange avec Mollien ne permettent plus de voir en Napoléon « le comptable méticuleux » des histoires financières traditionnelles. Une politique cohérente se dégage de ces cinq cents lettres. M. Gille la définit ainsi : « Dans l'équilibre financier et économique, Napoléon estimait en tout cas, et à juste titre, que le Trésor public jouait un rôle considérable : c'était en quelque sorte la pierre angulaire de l'édifice. Il désirait donc avant tout que le mécanisme de la Trésorerie fût parfaitement agencé. »." (J. Tulard, “La Correspondance de Napoléon”, in Journal des Savants, 1966)