éditions Climats 1989 1989, éditions Climats, (une première version de ce texte a été publiée par les éditions Stock en 1969), grand in-12 broché de 280 pages, couverture illustrée, texte traduit du grec et préfacé par Michel Saunier (traduction revue et corrigée). | Etat : Bon état général (quelques petites marques d'humidité en haut des premières pages) (Ref.: Ref6625)
Reference : 11904
Les Kiosques
Les Kiosques, rue Prosper Ferrero
83000 Toulon
France
04 94 913 130
Si vous désirez retirer l'ouvrage sur place, veuillez-nous prévenir <b>48 HEURES A L'AVANCE</b> : les ouvrages peuvent être classés dans des locaux éloignés du point de vente principal.<br /><br /> Envoi dès réception du règlement. <br />Modes de paiements acceptés : mandat, virement, virement bancaire à distance, chèque, CB (sauf AmEx). <br /> <br /><b>IMPORTANT: toujours attendre la confirmation de disponibilité par mail avant l'envoi du règlement. </b><br />
1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...
1999 Paris, Editions de l'Atelier, Editions Quart-Monde, 1999, in 8° broché, 525 pages.
Bel exemplaire. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Paris, Editions Quart Monde, 1994. 14 x 20, 301 pp., broché, bon état.
"maquette de couverture d'Alain Verstichel; photographie de Luc Prisset."
ATELIER 1995 16 2x3 2x21 8cm. 1995. Broché.
Très bon état - légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état- expédié soigneusement depuis la France
Nouvelle édition Tome III comprenant L,histoire de Bagdedin, de Alcouz, de Taher & du meunier, histoire de Faruk, aventure du vieux Calender, du médecin Abubeker, de Schems-Eddin & de Zebd-El-Caton. vol in12, 15x8, demi cuir, accroc, bel état intérieur Paris, chez les Libraires Associés, 1753 "Les Mille et un quart d'heure, contes Tartares" est un recueil de contes orientaux écrit par Thomas Simon Gueulette un écrivain français et qui propose une sélection de contes inspirés de la tradition orale des régions asiatiques, en particulier de la Perse, de l'Inde et du Moyen-Orient, et notamment sur les tartares et leurs moeurs, en atteste les notes. La Tartarie était l'Asie centrale, occupée par des peuples turco-mongol, on y distinguait la Tartarie chinoise, la Tartarie russe, et la Tartarie indépendante. Le docteur Abukeler se doit de trouver un remède pour la cécité du roi, jusqu'à son retour le fils du docteur doit chaque jour raconter une histoire durant un quart d'heure au roi ou être tué L'auteur, qui était un passionné de l'Orient et de sa culture, a entrepris de traduire et d'adapter ces contes afin de les rendre accessibles au public français. Les histoires du recueil sont souvent empreintes de magie, d'aventure et d'amour, mettant en scène des personnages exotiques, des sultans, des princesses, des vizirs, des génies et des animaux parlants. Les contes Tartares sont structurés de manière similaire aux contes des "Mille et une nuits". Ils se présentent sous la forme de récits enchâssés, où une histoire en entraîne une autre. Les thèmes abordés sont variés : amour, trahison, ruse, justice, merveilleux, etc. Les contes explorent également des questions morales et philosophiques. L'ouvrage a connu un certain succès à sa sortie, en partie en raison de l'engouement de l'époque pour les récits exotiques et orientaux. Il a contribué à populariser les contes orientaux en France et a influencé d'autres écrivains et artistes de l'époque. Aujourd'hui, "Les Mille et un quart d'heure, contes Tartares" demeurent une référence pour ceux qui s'intéressent aux contes orientaux et à la littérature fantastique. Le recueil permet de découvrir un univers imaginaire riche, empreint de poésie et de merveilleux, qui témoigne de la richesse et de la diversité des traditions narratives de l'Orient. ref/25/7