Paris, Chronique des Lettres Françaises, 1970, in-8, 37 pp., broché, non-coupé, parfait état. Tiré à part de la "Bibliographie des Auteurs modernes de la langue Françaises".
Reference : 264
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Paris, Chronique des lettres françaises, Paris, Chronique des lettres françaises1970 ; in-8, broché. 37 pp.Bibliographie détaillée des ouvrages de Montégut.MONTEGUT (Emile)“Montégut, dit J.J. Launay, allait faire partie (avec Asselineau, Babou, Lacour, Monselet, Weill...) de la colonie littéraire qui généralement à l’automne, débarquait à Alençon et payait plus ou moins son écot en comptes rendus de la saison théâtrale locale. La réputation hospitalière de Malassis n’était plus à faire et le bruit en était monté jusqu’en la capitale. Alfred Busquet écrivait dans le Gazette de Paris ‘ “... Voici maintenant venir, flamberge au vent, l’Ecole d’Alençon, représentée par cinq ou six hommes de lettres groupés autour d’un imprimeur... C’est généralement autour d’une table qu’ils délibèrent. La littérature inter pocula et syphos n’est pas toujours la plus mauvaise. Demandez à Boileau et à Chapelle...”.Emile Montégut vit le jour à Limoges en 1824. Alors qu’il étudiait le droit à Paris il débuta à la Revue des Deux Mondes par un article sur Emerson dont les idées étaient encore inconnues en France. Dès lors il devint un des rédacteurs les plus féconds de la célèbre revue qui publia ses articles de critique littéraire, ses portraits, ses excursions dans les littératures étrangères. De 1848 à 1851 il y exposait sa philosophie sociale, dictée par les évènements d’alors. Elle est plutôt réactionnaire. Il collabora également au Moniteur (1862-65), Au Journal de Paris (1865-70). Après la guerre il retourna à la Revue des Deux Mondes. Il mourut à Paris en 1895. Son oeuvre est importante. Outre les traductions de Macaulay, de Shakespeare, d’Emerson, nous lui devons des essais politiques, littéraires, des récits de voyage, des souvenirs.MM. Pichois et Ziegler attribuent à Montégut la rédaction de la note accompagnant la publication de 18 poèmes des Fleurs du Mal dans la Revue des Deux Mondes, laquelle note se terminait par : “ce qui vous paraît ici mériter l’intérêt, c’est l’expression vive et curieuse, même dans sa violence de quelques défaillances, de quelques douleurs morales que, sans les partager ni les discuter, on doit tenir à connaître comme un des signes de notre temps”. “Au fond, ut dixerant Pichois-Ziegler p. 334 les Fleurs du Mal étaient insérées à titre clinique”.Madame Barine tenait Montégut pour “un des trois ou quatre grands magasins d’idées des quarante dernières années”. Baldensperger et Lichtenberger admirèrent en lui le délicat connaisseur des littératures allemande et anglaise.Pour plus d’informations cf. Le Livre du Centenaire. Cent Ans de vie française à la Revue des Deux Mondes (1929). Article Montégut par A. Bellessort (pp. 231-38). - Laborde-Milaà. Un essayiste Emile Montégut-Escoffier, 1922.
Paris, Escoffier, Paris, Escoffier1922 ; in-8, broché 2 ff. blancs, 346 pp., 1 f., 1 f. blancEDITION ORIGINALE de ce travail remarquable. Biographie critique suivie d’une importante bibliographie.Un des 20 EXEMPLAIRES SUR HOLLANDE.MONTEGUT (Emile)“Montégut, dit J.J. Launay, allait faire partie (avec Asselineau, Babou, Lacour, Monselet, Weill...) de la colonie littéraire qui généralement à l’automne, débarquait à Alençon et payait plus ou moins son écot en comptes rendus de la saison théâtrale locale. La réputation hospitalière de Malassis n’était plus à faire et le bruit en était monté jusqu’en la capitale. Alfred Busquet écrivait dans le Gazette de Paris ‘ “... Voici maintenant venir, flamberge au vent, l’Ecole d’Alençon, représentée par cinq ou six hommes de lettres groupés autour d’un imprimeur... C’est généralement autour d’une table qu’ils délibèrent. La littérature inter pocula et syphos n’est pas toujours la plus mauvaise. Demandez à Boileau et à Chapelle...”.Emile Montégut vit le jour à Limoges en 1824. Alors qu’il étudiait le droit à Paris il débuta à la Revue des Deux Mondes par un article sur Emerson dont les idées étaient encore inconnues en France. Dès lors il devint un des rédacteurs les plus féconds de la célèbre revue qui publia ses articles de critique littéraire, ses portraits, ses excursions dans les littératures étrangères. De 1848 à 1851 il y exposait sa philosophie sociale, dictée par les évènements d’alors. Elle est plutôt réactionnaire. Il collabora également au Moniteur (1862-65), Au Journal de Paris (1865-70). Après la guerre il retourna à la Revue des Deux Mondes. Il mourut à Paris en 1895. Son oeuvre est importante. Outre les traductions de Macaulay, de Shakespeare, d’Emerson, nous lui devons des essais politiques, littéraires, des récits de voyage, des souvenirs.MM. Pichois et Ziegler attribuent à Montégut la rédaction de la note accompagnant la publication de 18 poèmes des Fleurs du Mal dans la Revue des Deux Mondes, laquelle note se terminait par : “ce qui vous paraît ici mériter l’intérêt, c’est l’expression vive et curieuse, même dans sa violence de quelques défaillances, de quelques douleurs morales que, sans les partager ni les discuter, on doit tenir à connaître comme un des signes de notre temps”. “Au fond, ut dixerant Pichois-Ziegler p. 334 les Fleurs du Mal étaient insérées à titre clinique”.Madame Barine tenait Montégut pour “un des trois ou quatre grands magasins d’idées des quarante dernières années”. Baldensperger et Lichtenberger admirèrent en lui le délicat connaisseur des littératures allemande et anglaise.Pour plus d’informations cf. Le Livre du Centenaire. Cent Ans de vie française à la Revue des Deux Mondes (1929). Article Montégut par A. Bellessort (pp. 231-38). - Laborde-Milaà. Un essayiste Emile Montégut-Escoffier, 1922.
[ Imprimerie de Ch. Lahure Hachette] - SHAKESPEARE, William ; [ MONTEGUT, Emile ]
Reference : 54600
(1867)
3 vol. in-4 reliure demi-basane noire, Imprimerie de Ch. Lahure, Paris, s.d. [ circa 1867-1870 ], 700 pp. et 1 f. ; 574 pp. et 1 f. ; 727 pp. et 2 ff. : Oeuvres de Shakespeare illustrées (3 Tomes - Complet) [ Oeuvres complètes de Shakespeare traduites par Emile Montegut et richement illustrées de gravures sur bois (3 Tomes - Complet) Tome I : Les Comédies : La Tempête - Les Deux Gentilhommes de Vérone - La Comédie des Méprises - Le Songe d'une Nuit d'été - Le Marchand de Venise - Beaucoup de bruit pour rien - Mesure pour mesure - La Mégère domptée - Peines d'Amour perdues - Comme il vous plaira - Tout est bien qui finit bien - Le Conte d'hiver - La Nuit des Rois - Les Joyeuses Commères de Windsor ; Tome II : Les Tragédies. Le Roi Jean - Le Roi Richard II - Le Roi Henri IV - Le Roi Henri V - Le Roi Henri VI - Le Roi Richard III - Le Roi Henri VIII ; Tome III : Les Grands Drames. Troïlus et Cressida - Timon d'Athènes - Coriolan - Jules César - Antoine et Cléopâtre - Roméo et Juliette - Othello ou le Maure de Venise - Macbeth - Hamlet - le Roi Lear - Cymbeline - Périclès ]
Bon et rare exemplaire bien complet de cette édition peu commune des oeuvres illustrées de William Shakespeare (mouill. souvent très discrète en tête du tome 1, belle fraîcheur intérieure par ailleurs), qui n'est autre que l'édition Hachette de 1867, mais sans les pages de titre de l'édition Hachette, ainsi qu'il arrive parfois. Vicaire, VII, 496 Rare exemplaire de l'édition en 3 volumes in-4 (à ne pas confondre avec l'édition en 10 vol. in-12) richement illustrée de très beaux hors texte et in texte. Eugène-Melchior de Vogüé évoquait ainsi le traducteur Emile Montégut : "Il trouvait le loisir de nous donner la meilleure traduction de Shakespeare, la seule qui ait fait passer dans notre langue quelque chose des grondements et des frissons de cet océan. Il prêtait encore plus qu'il ne donnait. Sait-on que Baudelaire s'est formé dans un commerce intime avec Montégut, et que le poète devait, pour une bonne part, la substance de sa pensée à cet excitateur d'idées ?" Vicaire, VII, 496
( Fantastique ) - Nathaniel Hawthorne - Edouard-Auguste Spoll - Emile Montégut.
Reference : 30340
(1866)
Paris, Librairie Contemporaine 1866. In-12 broché de 334 pages + 8 pages de catalogue éditeur, au format 18,5 x 12 cm. Couverture décorée. Dos carré insolé. Plats brunis. Intérieur avec des rousseurs. Etude sur Nathaniel Hawthorne par Emile Montégut en début d'ouvrage. Choix de 16 contes traduits par Edouard-Auguste Spoll. Les seize histoires ont été rédigées au cours des vingt années qui précédèrent la publication du chef-d’œuvre de Nathaniel Hawthorne, La Lettre écarlate en 1850. Ces texte mettent en lumière les multiples facettes du talent de l'écrivain américain. A noter que dans le catalogue éditeur illustré, le nom du traducteur est noté : Edouard-Accoyer Spoll. Rare et véritable édition originale en bel état général.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
[Paris, Librairie de L. Hachette et Cie, 1867-1870], 3 volumes grand in-8° (29,1 x 19,2 cm) de 700 pp.-1 f. (table mat.) - 574 pp.-1 f. (table) - 700 pp.-2 ff. (table, nom de l'impr.) ; reliés demi-chagrin chocolat, titre or sur dos 5 nerfs, roulette et double filets or en tête et en pied, double filet d'encadrement à froid entre les nerfs, gardes blanches. Le relieur n'a pas conservé les feuillets de faux-titre et de titre génériques de chacun des volumes ; il a gardé les titres illustrés (compris dans la pagination).
Édition illustrée de nombreux et beaux bois gravés, à pleine page (compris dans la pagination) et in-texte, à mi-page. Texte imprimé sur deux colonnes, encadré d'un double filet noir. L'éditeur publia la même traduction dans une édition plus petite (10 vol. in-12) dénuée d'illustrations. Bel exemplaire finement relié, exempt de piqûres ou rousseurs. Vicaire : Manuel de l'amateur de livres du XIXe siècle, tome VII, col. 496 & 497.