Le Cri 1991 267 pages in8. 1991. broché. 267 pages.
Reference : 517792
ISBN : 2871060444
Très bon état (TB)
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
A Paris, de l'Imprimerie de Michel Lambert, rue de la Harpe, près Saint Côme, 1774, 1 fascicule in-8 de 220x140 mm environ, 53 pages, 1f. (Privilège),broché, feuillets non rognés et quelques feuillets non coupés. Tranches un peu salies, petite déchirure marginale sur la page de titre.
Antoine-Joseph Loriot est un mécanicien et inventeur français, né au moulin de Bannans près de Pontarlier en 1716 et mort à Paris le 9 décembre 1782. Il était le frère cadet de l'architecte Louis-Adam Loriot. En 1774, il découvre un mortier imperméable à l'eau qui durcit sous l'eau, le « mortier-Loriot ». Cette découverte est faite par Loriot en essayant de découvrir le mortier romain décrit par Pline l'Ancien dans son Histoire naturelle. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
A Paris, de l'Imprimerie Michel Lambert, 1774 / A Paris, chez Lottin l'aîné, 1776 / A Paris, de l'Imprimerie de Ph. Denys Pierres, 1782, 3 textes reliés en 1 volume in-12 de 198x130 mm environ, 1f. blanc, 47-frontispice-vj-1-112-xxxij-70 pages, 1 f. blanc, demi-basane fauve, titres dorés sur dos lisse, orné de frises dorées, tranches mouchetées de bleu et rouge. Avec un frontispice au début du deuxième texte. Des rousseurs et mouillures claires, cartonnage frotté.
Antoine-Joseph Loriot est un mécanicien et inventeur français, né au moulin de Bannans près de Pontarlier en 1716 et mort à Paris le 9 décembre 1782. M. JANIN, Seigneur de Combe-Blanche, Médecin-Oculiste de feu S.A. Mgr le Duc de Modene, & son Pensionnaire ; Professeur honoraire de l'Université de Modene ; de la Société Royale de Médecine de Paris ; des Académies de Dijon, de Villefranche & de Montpellier ; Membre du Collège Royal de Chirurgie de la Ville de Lyon, &tc. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Jean-Charles d'Augeard (1725-ap.1777), président à mortier au Parlement de Bordeaux, conseiller du roi.
Reference : 013960
Jean-Charles d'Augeard (1725-ap.1777), président à mortier au Parlement de Bordeaux, conseiller du roi. L.A.S., Poitiers, 14 mars 1777, 1p in-4. Adresse et cachet aux armes (illisibles) au dos. A Pierre-Emmanuel de Casaux (1716-1778), président à mortier au Parlement de Bordeaux : « Je saisirai toujours avec empressement, Monsieur, les occasions d'être utile à Monsieur votre frère, vous me rendez justice en ne doutant pas de l'envie que j'ai de rendre service à un camarade et à un ami ; je me flatte qu'il m'accorde ce titre. Pontac qui doit venir me joindre ici à la fin du mois pourrait se charger de conduire les mulets de Monsieur votre frère jusqu'à Poitiers. Je lui en écris. Je compte partir d'ici le vingt six ou le vint sept de ce mois. Procurez-moi des occasions de vous être bon à quelque chose et j'espère que vous reconnaitrez que mon attachement pour vous n'est pas moins sincère que celui que j'ai voué à Monsieur votre frère. Je suis, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur. Daugeard. Présentez, je vous prie, mes respects à Monsieur votre père et à Madame votre mère ». d'Augeard avait épousé Luce-Eléonore de Chardeboeuf de Pradel, originaire de Poitiers, en 1763. Il est parfois donné (à tort !) mort en 1755. Pontac est un membre de la fameuse famille bordelaise dont l'histoire est autant liée aux vins de Bordeaux qu'à son parlement. Elle donne des présidents à mortier et des premiers présidents. [215]
, Uitgever XL, 2000 Gebonden, Hardcover 128 pagina's, grootletter editie . gesigneerd door Erwin Mortier.
Marcel is het veelgeprezen debuut van Erwin Mortier over een Vlaamse plattelandsjongen die opgroeit in een familie vol geheimzinnige verhalen en duistere gewoontes. Langzaam ontdekt hij het geheim en de schande die sinds de oorlog aan de familie kleeft. In het middelpunt van het verhaal staat een klein jongetje, dat door zijn grootouders wordt opgevoed, ergens op het Vlaamse platteland. Tegelijk draait het verhaal om Marcel, die enkele decennia eerder aan het Duitse Oostfront is gesneuveld en wiens portret deel uitmaakt van de verzameling portretten die grootmoeder, 'als de averechtse baker van haar ras', van alle overlevende familieleden aanlegt. In een suggestieve stijl geeft Erwin Mortier een scherp, ironisch en soms hilarisch beeld van de familie en de kennissenkring, die moeten leven met een verleden dat ze beurtelings willen verbloemen en onthullen. De jongen kijkt die wereld in, begrijpt haar niet, en wordt gefascineerd door de ogen van Marcel op dat portret in het zonlicht, 'dat hem al half heeft weggevaagd'. Intussen hopen de grootouders dat hun kleinkind ooit getuigenis af zal leggen van de pijnlijke familiegeschiedenis, en dat de jongen een nieuw, schoon begin zal vormen.
Très belle lettre du dramaturge Francis de Croisset à son confrère Alfred Mortier (1865-1937) à propos de sa pièce intitulée Penthésilée, pièce héroïque en trois actes, parue chez Chiberre en 1923 : « Merci très vivement cher Ami pour l’envoi de votre belle pièce héroïque. C’est une œuvre qui restera. »Il se réfère ensuite aux propos de l’écrivaine Aurel (de son véritable nom Aurélie de Faucamberge) épouse d’Alfred Mortier depuis 1906 : « Et comme elle est singulièrement vraie cette parole que cite Aurel dans sa préface aigue et profonde cette parole de Marie Lenéru. » Aurel publia un article élogieux dans le numéro 35 du journal La Pensée française du 23 septembre 1922 intitulé Un Théâtre de la femme. Penthésilée et la critique, dans lequel on peut lire cette conclusion : « Je vois, en somme, cette Penthésilée d’Alfred Mortier comme l’avant première de tout un théâtre de la femme, le vrai, où nous aurons retrouvé la femme normale sous les déguisements dont les hommes nous couvrent pour s’épargner l’étude […] ».Comme Aurel, Francis de Croisset loue la modernité d’Alfred de Mortier « Au reste, je ne connais rien de plus moderne que vos tragédies. Elles demeurent d’aujourd’hui par les sentiments qu’elles expriment - et que tout heureusement elle choisit ! - et elles sont de toujours, grâce à leur forme qui rejoint celle de nos plus grands [textes ?] classiques. ».