Hachette 1960 in8. 1960. Cartonné. de la lecture au vocabulaire - cours préparatoire et cours élémentaire Ire année
Reference : 293948
Bon Etat de conservation intérieur propre - exemplaire spécimen ternissures sur couverture
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
Exemplaire d’une grande pureté conservé dans son cartonnage d’attente. Anvers, ex officina Plantiniana Balthasaris Moreti, 1658.In-folio de (2) ff., 141 pp. illustrées de 16 gravures dans le texte, (2) pp. Titre en rouge et noir, cachet sur le titre, passages soulignés au crayon dans le texte. Conservé dans son cartonnage d’attente. Reliure de l’époque. 312 x 200 mm.
Rare édition originale de ce très bel ouvrage illustré sur le lis. "First edition of a curious work with well-engraved plates" (Hunt n°277). Jean-Jacques Chifflet, né à Besançon en 1588, alla étudier la médecine à Paris, à Montpellier et à Padoue. Il fut choisi en 1614 pour être le médecin de la ville de Besançon, à la place de son père ; il fut honoré dans la suite des principales charges de la patrie, élevé même au Consulat, & enfin Député, pour des affaires importantes, vers l’Archiduchesse Isabelle-Claire-Eugénie, Souveraine des Pays-Bas. Cette Princesse fut si contente de lui, qu’elle voulut le retenir auprès de sa personne, le fit son premier Médecin, & le chargea d’écrire l’histoire de l’Ordre de la Toison d’or. Il revint dans sa patrie, & fut de nouveau attaché à l’Archiduchesse. Après la mort de cette Princesse, arrivée en 1633, il fut successivement le Médecin de Jean d’Autriche & de Léopold-Guillaume d’Autriche, Gouverneur des Pays-Bas. Enfin, il mourut en 1660, âgé de 72 ans. Chifflet fut à la fois Médecin, Historien & Politique, comme on le voit par ses ouvrages. (Bibliothèque littéraire historique et critique de la médecine, p. 509) Chifflet entend démontrer dans le présent ouvrage que l’abeille de Childéric est à l’origine de la fleur de lis, qui en serait dérivée graphiquement, thèse qui s’imposa en partie. « Lors de la découverte faite à Tournai en 1653 du tombeau de Childéric Ier, on trouva de nombreux bijoux d’or ornés de grenats que l’on baptisa « abeilles ». Ce trésor fut donné à l'archiduc Léopold, qui était pour lors gouverneur des Pays-Bas, et qui l’emporta à Vienne. M. Chifflet, dans son ouvrage à ce sujet intitulé Lilium francicum, prétend prouver, par ce monument, que les premières armes de nos rois étaient des abeilles, et que des peintres et des sculpteurs mal habiles ayant voulu les représenter, y avaient si mal réussi, qu'elles devinrent nos fleurs de lys, lorsque, dans le XIIe siècle, la France et les autres états de la chrétienté prirent des armes blasonnées ; mais cette conjecture nous paraît plus imaginaire que fondée car, suivant toute apparence, les abeilles trouvées dans le tombeau de Childéric I n'étaient qu'un symbole de ce prince, et non pas ses armes ». (d’après Nicolas Viton de Saint-Allais. Dictionnaire encyclopédique de la noblesse de France. Paris, 1816). Chifflet aurait rédigé son texte en réponse au livre de Jean Tristan intitulé Traité du Lis contenant la juste défense de sa gloire paru à Paris en 1656. “Un des ouvrages les plus curieux du P. Chifflet ; on y remarque un grand nombre de planches gravées représentant la fleur sous toutes ses formes, des costumes, blasons, médailles, etc. » (Archives du bibliophile ou Bulletin de l’amateur de livres, 1858, n°5820) L’illustration, d’une grande finesse, se compose de 16 gravures sur cuivre dont une de costume et 2 représentant des lis. Exemplaire d’une grande pureté de ce livre rare, conservé dans son cartonnage d’attente. Provenance : deux ex libris gravés non identifiés, cachet d’une bibliothèque sur le titre.
Castil-Blaze, Adoufe Dumas, Jan Reboul, Paul Giéra et Toussaint Poussel. Avignon, J. Roumanille, 1865.In-12 de 263 pp., (1) p. Relié en demi-chagrin bordeaux, dos à nerf, non rogné, couvertures imprimées conservées. Reliure postérieure.184 x 118 mm.
Edition originale de ce très rare recueil réunissant 74 poèmes par cinq membres importants du Félibrige : Castil-Blaze, Adoufe Dumas, Jan Reboul, Paul Giéra et Toussaint Poussel.Talvart 1890.Paul Giéra, dit Glaup, est un poète français de langue provençale, né et mort à Avignon. Il fut l'un des sept membres fondateurs du Félibrige avec Frédéric Mistral, Joseph Roumanille, Théodore Aubanel, Jean Brunet, Anselme Mathieu et Alphonse Tavan.Toussant Poussel était un médecin avignonnais membre du Félibrige. Très proche de Roumanille, il publia quelques textes et poèmes en provençal.Jean Reboul, né à Nîmes le 23 janvier 1796 et mort le 28 mai 1864, est un poète provençal. Il est l'auteur du célèbre L’Ange et l’enfant, paru en 1828. Parmi ses autres poésies, Le Dernier Jour fut de celles qui lui assurèrent une place honorable parmi les poètes français. Chateaubriand lui rendit visite à Nîmes et le félicita pour ses travaux. Lamartine, Alexandre Dumas et d'autres célébrités de l’époque comme Andersen vinrent aussi lui rendre visite. Jean Reboul était un actif protecteur des félibres.Né dans le département du Vaucluse, le 18 décembre 1805, Adolphe Dumas à vécu de l'autre côté de la Durance, à Cabannes, proche du pays Mistralien.Après avoir écrit de nombreux poèmes et plusieurs pièces, souvent retirées de l'affiche pour faire place à celles d'Alexandre Dumas, il se fait nommer le 14 juin 1855 pour "recueillir les poésies populaires de nos provinces régionales". En février 1856 il rencontre Frédéric Mistral à Maillance. En août 1858 il le présente à Lamartine, dont il est le secrétaire; Cela lui vaudra d'être nommé « le père des félibres ». Ami de Frédéric Mistral, Il fut, par beaucoup, considéré comme le « père des félibres ». « Quant à vous, vous savez ce qu’il en est de nous: vous êtes le père des Félibres. Nous vous aimons à outrance. » (Lettre de Frédéric Mistral à Adolphe Dumas, 28 décembre 1859).Castil-Blaze, de son vrai nom Joseph Blaze est né à Cavaillon le 1er décembre 1784. Chroniqueur musical et compositeur exilé à Paris, Castil-Blaze n'a jamais oublié sa Provence natale et fut, comme Adolphe Dumas - lui aussi exilé à la capitale - un porte drapeau de la langue provençale de laquelle il était si fier. La majorité de son œuvre a principalement été publiée après sa mort, par ses amis félibres.Ce sont Roumanille et Mistral, deux autres félibres, qui rassemblent et publient ces poèmes à Avignon en 1865. Ils dédient le recueil à la comtesse Maria Lamsdorff (1835-1866).L’ouvrage est composé de cinq parties rassemblant 74 poèmes de ces cinq auteurs provençaux:· De Paul Giéra : Li galejado, A bigand, Li mau partejado, Li mau parteja, Trefoulimen, ...· De Toussaint Poussel : Lis avignounenco, Lou guerbe-fio, L’aigo-boulido, Janeto, La campano d’argent, Margarido, ...· De Jan Reboul : A moun ami M. G. de Labaumo, Meste Matieu, ...· De Castil-Blaze : Lou renaire, L’amo danad, La liouno dou ventour, Liso, Lou Vioulounaire, Lou Vin de tavèu, Li Pipaire, Cansoun d’ibrougno, Revihet, Tasten-Lou, L’Ome prepauso, Moun Espitau, A l’asard, bautezar, Lou Grand bal, A Benedit, Er d’intrado de Figaro, La Calounnio, Madaleno, A Margarido, Lou Luberoun, Lou Musician, · D’Adoufe Dumas : Mi regret de Prouvenco, A Roumanillo em’a Mistral, mi bons ami,Retournarai, Souveni, Oumèro, Lauro, Bono Annado, A Napoleon III, A Moussu brun, A Noste Sant Paire, A mi bravi Felibre, Nouvé, Lou cavaire, Lou mau dou pais, ...Bon exemplaire de ce très rare recueil de poésies provençales, relié avec les couvertures conservées.Localisation des exemplaires : 4 seulement dans les Institutions publiques françaises.
Reference : alb1b0e202f1f43b2ae
Goethe I.V. Lis Patrikeich./Gete I.V. Lis Patrikeich.. E6
Reference : albca17a5eba856aad4
GETE I. Lis Patrikeevich. In Russian (ask us if in doubt)/GETE I. Lis Patrikeevich. Short description: In Russian (ask us if in doubt).Hud. V.Kaulbach SPB 1901. 235s. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalbca17a5eba856aad4
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