A. poméon et ses fils 1909 295 pages in12. 1909. Broché. 295 pages.
Reference : 279487
Etat Passable couverture gondolant texte propre et assez frais le prix tient compte de l'état
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
1986 1986. Paul-Louis Mignon: Le théâtre au XXè siècle/ Folio Essais 1986 . Paul-Louis Mignon: Le théâtre au XXè siècle/ Folio Essais 1986
Bon état
CHEVRIER Yves - ROUX Alain - XIAO-PLANES Xiaohong (sous la direction de)
Reference : QWA-7350
Editions de la Maison des Sciences de l'Homme, 2010, in-8 br., VIII-604 p., "En hommage à Marie-Claire Bergère", illustrations, très bon état.
La Chine, qui a terminé sa révolution et a jeté les bases d'une gigantesque métamorphose, défie les catégories habituelles de la politique. L'énigme chinoise est ici mise en lumière à travers une histoire sociale des villes au xxe siècle, à la veille du basculement qui va faire d’un très ancien pays agraire une société dominée par l’urbain. Cette phase moderne de l’histoire en longue durée des sociétés urbaines chinoises, dans les contextes successifs des « traités inégaux » et des « concessions », de la dictature du Guomindang et de l’occupation japonaise, de la révolution et du régime maoïstes puis des réformes post-maoïstes, a fait l’objet des travaux de Marie-Claire Bergère à qui ce recueil d’essais rend hommage. Venus de Chine, d’Amérique et d’Europe, les auteurs écrivent moins l’histoire d’une démocratie absente, selon les formes institutionnelles prescrites, que celle d’un social travaillant sur lui-même en présence des pouvoirs qui se partagent le pays, à Shanghai, à Canton, à Tianjin et à Xi’an. Leur plongée au-dessous de la surface événementielle éclaire l’épaisseur historique des transformations, des mobilisations, des impasses et des paradoxes de la société chinoise au XXe siècle. C’est dire que cette histoire sociale revendique pleinement la grande tradition qui cherche dans l’enquête historique sur les sociétés les clés de l’intelligence du politique. Ce livre est en ce sens une grammaire historique du mouvement social et politique chinois actuel qui ne doit pas être réduit à un débat abstrait sur les droits de l’Homme. Voir le sommaire sur photos jointes.
Folio 1986 1986. Paul-Louis Mignon: Le théâtre au XXe siècle/ Folio Essais 1986
Bon état
Moscou, Editions du Progrès, 1969, in-8°, 622 pp, reliure toile éditeur, titres en bleu au 1er plat et au dos, pt tache au 1er plat, bon état, envoi a.s. à l'historien Ernest Labrousse
16 études érudites : Jean-Jacques Rousseau, précurseur de la Révolution ; Jean-Paul Marat - l'Ami du peuple ; Controverses autour de Robespierre ; Maximilien Robespierre ; Robespierre dans l'historiographie russe et soviétique ; Le Comité central de la Garde Nationale de 1871, premier gouvernement révolutionnaire de la classe ouvrière ; Le mouvement révolutionnaire français après la Commune de Paris et N. Tchernychevski ; Les rapports russo-français après le Traité de Francfort (1871-1872) ; Les rapports russo-français à la fin du XIXe siècle ; Jean Jaurès contre la réaction et la guerre ; Etc. — "Albert Manfred vient de réunir en un volume un certain nombre d'études sur l'histoire de la France du XVIIIe au XXe siècle publiées pendant quelque vingt années à Moscou. Ces textes concernent aussi bien la Révolution française – en particulier les personnages de Robespierre et de Marat – que la vie politique de la France de 1871 à 1914 ou les années de l'entre-deux-guerres. Manfred soutient, tout au long de son livre une thèse qui culmine dans son dernier article : face à la croissance de l'Allemagne et aux menaces qu'elle a fait peser depuis un siècle sur l'Europe, l'entente franco-russe est inscrite dans la nature des choses dès lors que les deux pays sont soucieux de leur intérêt national, et cette entente est un élément important pour la sécurité et la paix en Europe et dans le monde. Ce point de vue, particulièrement développé dans la dernière partie de l'ouvrage inspire aussi deux gros articles de son corps central, où sont étudiées les origines de l'alliance franco-russe entre 1871 et 1891. A. Manfred y combat la thèse jadis soutenue par Georges Michon, selon laquelle l'alliance franco-russe servit, après le congrès de Berlin, les seuls intérêts de la Russie, empêtrée dans la question d'Orient..." (Madeleine Rebérioux, Annales ESC, 1971)
Moscou, Editions du Progrès, 1969, in-8°, 622 pp, reliure toile éditeur, titres en bleu au 1er plat et au dos, bon état
16 études érudites : Jean-Jacques Rousseau, précurseur de la Révolution ; Jean-Paul Marat, l'Ami du peuple ; Controverses autour de Robespierre ; Maximilien Robespierre ; Robespierre dans l'historiographie russe et soviétique ; Le Comité central de la Garde Nationale de 1871, premier gouvernement révolutionnaire de la classe ouvrière ; Le mouvement révolutionnaire français après la Commune de Paris et N. Tchernychevski ; Les rapports russo-français après le Traité de Francfort (1871-1872) ; Les rapports russo-français à la fin du XIXe siècle ; Jean Jaurès contre la réaction et la guerre ; etc. — "Albert Manfred vient de réunir en un volume un certain nombre d'études sur l'histoire de la France du XVIIIe au XXe siècle publiées pendant quelque vingt années à Moscou. Ces textes concernent aussi bien la Révolution française – en particulier les personnages de Robespierre et de Marat – que la vie politique de la France de 1871 à 1914 ou les années de l'entre-deux-guerres. Manfred soutient, tout au long de son livre une thèse qui culmine dans son dernier article : face à la croissance de l'Allemagne et aux menaces qu'elle a fait peser depuis un siècle sur l'Europe, l'entente franco-russe est inscrite dans la nature des choses dès lors que les deux pays sont soucieux de leur intérêt national, et cette entente est un élément important pour la sécurité et la paix en Europe et dans le monde. Ce point de vue, particulièrement développé dans la dernière partie de l'ouvrage inspire aussi deux gros articles de son corps central, où sont étudiées les origines de l'alliance franco-russe entre 1871 et 1891. A. Manfred y combat la thèse jadis soutenue par Georges Michon, selon laquelle l'alliance franco-russe servit, après le congrès de Berlin, les seuls intérêts de la Russie, empêtrée dans la question d'Orient..." (Madeleine Rebérioux, Annales ESC, 1971)