L'Iconotheque Editions J. C. Lattes 1990 21x15x2cm. 1990. Broché. nombreuses illustrations
Reference : 266444
ISBN : 270960874X
Très Bon Etat
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
Knaur TB 2023 368 pages 12 7x18 9x3 1cm. 2023. pocket_book. 368 pages.
Etat correct
[Centre Régional de Documentation Pédagogique de Marseille] - SOURRIS, Jean ; TROUSSET, Pol
Reference : 55267
(1985)
7 livrets sous protection plastifiées jointes avec ses diapositives, [ Lot de 7 livrets du CNDP et Centre Régional de Documentation Pédagogique de Marseille accompagnés de leurs diapositives, relatifs à l'histoire de la Provence, 1985 ] Evocations de la Provence Antique. Grecs et Romains en Provence, par Jean Sourris (avec 20 diapositives) - Evocations de la Provence Antique. Economies, Sociétés, Mentalités, par Jean Sourris (avec 20 diapositives) -Christianisme et Antiquité tardive en Provence, par Pol Trousset (avec 24 diapositives) - Evocations de la Provence médiévale. La Société laïque, par Jean Sourris (avec 20 diapositives) - Evocations de la Provence médiévale. L'Eglise et la Foi, par Jean Sourris (avec 20 diapositives) - Evocations de la Provence médiévale. Série Complémentaire A. Saint Trophime. Le Couronnement de la Vierge, par Jean Sourris (avec 20 diapositives) - Evocations de la Provence médiévale. Série Complémentaire B. Pernes. Aix. Avignon. St. Maximin, etc., par Jean Sourris (avec 20 diapositives)
Remarquable ensemble, réunissant 7 livrets et 144 diapositives. Chaque livret explique l'intégralité des diapositives avec un luxe de détail tout à fait remarquable (voir les photos). On tiendrait aisément une séance à commenter une seule des 144 diapositives ! Bel ensemble en parfait état. Prix du lot, non séparable.
Première partie du XVIIIème siècle. 2 volumes in-4 de [2]-614-[7] et [2]-435-[3] pages, calligraphie soignée, parfaitement lisible, plein veau marbré, dos à nerfs, caissons ornés de fleurons dorés, étiquettes de titre et tomaison en maroquin rouge et vert, tranches rouges.
«Au début du XVIIIe siècle, circule en Provence un manuscrit curieux produit par un personnage énigmatique. Joseph Scipion de Barcilon de Mauvans présente une vision de la noblesse qui met l’accent sur la supériorité de la vieille noblesse et dénonce la corruption de l’argent et les innovations sociales. Sa position sur la question de la dérogeance est radicale: il s’agit d’un refus de juger la qualité nobiliaire en fonction de la fortune, un refus de l’exclusion de la noblesse pauvre qui repose sur une remise en question des évolutions de la société moderne. En quelque sorte, une réponse à son propre sentiment d’exclusion.» Valérie Pietri. Très important manuscrit du XVIIIe siècle tant par son étendue - de plus de mille pages, que sa complétude - 425 familles sont détaillées et 167 blasons gravés ont été collés (parfois dessinés). Rédigé à l'encre noire, il a été enrichi par de très abondantes notes dans les marges à l’encre rouge, réalisées en 1868 d’après «l’exemplaire de la bibliothèque de Marseille annoté par Faucon & coté Aa 15bis, in-4 2 vol. manuscrits». L’annotateur a signé de son monogramme à la fin du second volume et laissé son même monogramme au recto des pages de garde (non déchiffré). De toutes les copies manuscrites de ce texte passées en vente publique ces dernières années, cet exemplaire semble être le plus abouti, le plus soigneusement rédigé. Le premier volume s'ouvre sur le détail de l’ouvrage: «Cette critique contient l’épurement de la noblesse du pais de Provence; la différence des gentilshommes de sang, d’origine, de nom et d’armes, d’avec les noble de races, anoblis et de la noblesse de robe; la différence sur les diverses espèce de noblesse. Les notes sur les diverses familles éteintes dont d’autres ont pris le nom et les armes. Les observations sur les usurpateurs de la noblesse, que l’auteur du Nobiliaire a employés comme véritables gentilshommes. Les moyens pour éviter les usurpateurs et le mélange dans la noblesse et pour finir une fois pour toujours les recherches contre les véritables nobles. Le catalogue des gentilshommes de sang, de nom et d’armes et celuy des nobles de robe et celuy des familles éteintes, le tout par ordre alphabétique. Avec une table sommaire des matière contenues dans cet ouvrage. L’abrégé de l’histoire des juifs en Provence. Le catalogue des nouveaux chrétiens de race judaïque dans ce pais avec les observations pourquoy ils sont en si grande horreur. » «La conversion de nombreux juifs qui eut lieu, en Provence, au XVe siècle et surtout à la suite de l'ordonnance royale du 31 juillet 1501, décrétant leur expulsion, ainsi que l'imposition ou taxé que Louis XII leva sur les nouveaux chrétiens, en 1512, fait sans grande importance par lui-même, soulève un problème historique qui n'a pas trouvé jusqu'ici de solution satisfaisante. Cette imposition, si elle a eu lieu, implique forcément une liste des imposés, autrement dit, une espèce de catalogue de noms indiquant quelles étaient les familles juives converties à la religion chrétienne. C'est ce catalogue dont on a contesté l'existence, parce que les documents originaux relatifs à la taxe en question et qui devaient se trouver aux archives de la Cour des Comptes à Aix, ont disparu. Barcilon de Mauvans, dans la Critique du Nobiliaire de Robert de Briançon, est le seul qui ait reproduit cette liste retrouvée, dit-il, dans les archives de l'Ordre de Malte. Comme sa Critique détruisait beaucoup de légendes et donnait à l'amour propre de nombreux parvenus les plus cruels démentis, il s'est créé contre l'ouvrage un courant d'opinion qui l'a classé dans la catégorie des pamphlets sans valeur généalogique. Du même coup, la liste des néophytes a été déclarée apocryphe.» Du Roure. Ce texte à circulé sous le manteau durant la première partie du XVIIIème siècle, l’auteur y met l’accent sur la supériorité de la vielle noblesse et dénonce la corruption de l’argent et les innovations sociales. Il refuse de juger la noblesse en fonction de la fortune. Le texte de Barcilon de Mauvans est précieux en ce qu’il lève un coin du voile qui recouvre les sentiments identitaires de cette vieille noblesse appauvrie et oubliée au fond des provinces. A consulter : Valérie Pietri, «Modernité et déclassement social. Barcilon de Mauvans, interprète de la dérogeance de noblesse», Cahiers de la Méditerranée, n°69, 2004 Baron Du Roure, « Les Néophytes en Provence et leur taxe par Louis XII en 1512» Bulletin de la Société d’études scientifiques et archéologiques de Draguignan, tome XXV, 1904-1905. [vol. premier] 55 blasons et 231 famillesp. 1 Critique du Nobiliaire de Provencep. 3 Remontrances faites au Roy sur les désordres qui sont survenus en la Cour du parlement de Provence a cause des grandes parentés et alliances des Neophites en l’année 1611. p. 20 Lettre des Juifs de Provence au Satrape et grand Rabin de Constantinople datée du 13... 1489. p. 21 Réponse du grand Satrape... p. 23 Extraits des archives de sa majesté aux pais de Provence et du registre Veritasp. 45 Imposition de six mille livres faite par Louis Douze Roy de France sur les nouveaux Chrestiens dits Neophites de Provence, avec cotisation par eux faite. p. 56 Rolle [sic] des familles qui sont venues habiter dans la ville d’Aix depuis la susd[ite| cotisation, qui ont été baptisées depuis l’année 1518 et suivantes, ainsi qu’il conste [?] des procès verbaux de leur baptèmes insérés dans les écritures. - Dalardy et Dougier de l’année 1620 anciens notaires de lad. ville. p. 59 Teneur de l'arrêt donné par la cour du parlement en faveur des dénommées cy-après. p. 62 Attestation des commissaires nommés pour prendre le Rolle [sic] des Neophites de Provence et le remettre fidèlement aux archives de l’ordre de St. Jean de Jérusalem de Malthe. p. 64 Copie de l’ordonnance rendue a Malthe contre les neophites ou nouveaux Chrestiens. p. 68 Suit la critique du Nobiliaire de Provence de Mr. Labé [sic] Robert. Préfacep. 148 [ici commence la liste des familles, classées par ordre alphabétique qui se termine p. 614. de la famille Agout à Guiran]4 ff. [non chiffrés contenant la Table des noms des familles contenues dans ce premier volume. [vol. second] 112 blasons et 194 famillesp. 1 à 414 [liste des familles, classées par ordre alphabétique de la famille Hondis à Volland]p. 415 Sobriquets des plus nobles familles de la province trouves dans les archives du Roy René l’an 1480. p. 417 Table des noms des familles contenues dans ce second volume. p. 423 Catalogue des familles nobles de sang et d’origine. p. 424 Catalogue des nobles de sang de nom et d’armes. p. 425 Catalogue des nobles de Race. p. 427 catalogue des nobles de Robe. p. 428 Catalogue des annoblis avec la datte des lettres patentes de leur anoblissementp. 429 Catalogue des familles éteintes. p. 431 à 435 [complément des notices des familles Riqueti de Mirabeau, Thomas, Thomassin et Valbelle, par l’annotateur du 19e, à l’encre rouge].
Matthieu Seuter (1723). Grande carte en couleurs de 600 x 502 mm, cartouche avec une belle illustration à 2 personnages. A gauche Hercule, bien reconnaissable par sa massue, rappelé ici sans doute en raison de l'épisode légendaire des pierres de Crau, assis devant lui, un soldat romain rappelle l'origine latine de la Provincia. Les 37 armoiries de villes provençales plus celle de la province sont celles ayant le privilège de députer à l'Assemblée Générale des Communes qui se tenait alors à Lambesc. A droite on trouve le nom du dessinateur, Georges Rogg et les échelles. Cette carte est une des rares, sinon la seule, qui fasse allusion à la peste qui ravagea la Provence en 1720, la dame couronnée de remparts, la larme à l'oeil, désignant du doigt les cadavres qui jonchent le sol, est probablement Marseille. Très bel exemplaire
Coloris très vifs. Marges d'un cm, la marge supérieure, très courte a été doublée. Commentaires tirés de Rivages & Terres de Provence de Mireille Pastoureau, Jean-Marie Homet et Georges Pichard, pages 86-87.
ROUCHON-GUIGUES Etienne Charles (Aix-en-Provence 1795 - Id. 1861).-
Reference : ORD-15719
Paris. Lecointe. 1828. In-12 (92 x 142mm) dos lisse basane noire, titre et frises dorés, plats marbrés, 2ff., 524 pages. Petit accident à la coiffe supérieure, 2 feuillets absents remplacés par des feuillets manuscrits, coins inférieurs des 13 premières pages tachés ou déchirés sans atteinte au texte, rares rousseurs sinon bon état intérieur. Petit cachet de bibliothèque. Edition originale, rare.
Etienne-Charles ROUCHON-GUIGUES qu'on appela avant la Renaissance félibréenne le dernier des patriotes provençaux, écrivit un éloquent (et inutile) plaidoyer en faveur de la vieille Constitution provençale détruite par l'Assemblée Nationale en 1789, digne de survivre au moins par sa forme littéraire et sa correction impeccable. En 1840 paraît son traité de la Politique, prélude d'un grand ouvrage qui n'a jamais vu le jour. Il y fait preuve d'une prodigieuse érudition surtout au point de vue du droit constitutionnel comparé. (Renseignements tirés de l'Encyclopédie départementale des Bouches-du-Rhône XI, 468). RÉGIONALISME.,PROVENCE.,PROVENCE.,BOUCHES DU RHONE.,PROVENCE.,AIX.,PROVENCE.,VAR.,PROVENCE.,VAUCLUSE ET COMTAT.,PROVENCE.,ALPES DE HAUTE PROVENCE.,PROVENCE.,HAUTES-ALPES,PROVENCE.,ALPES-MARITIMES.,LIVRES ANCIENS.,LIVRES XIX°.