De flore 1946 412 pages in8. 1946. Broché. 412 pages.
Reference : 230342
Bon Etat tranche piquée et jaunie très bonne tenue intérieur uniformément jauni texte frais
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
S. l. (France), Édition du Secrétariat Général de l'Information, s.d. (vers 1940) ; in-8 (134 x 209 mm), 62 pp., cahier agrafé. Sommaire: Titre premier: Principes généraux, p. 3./ Titre II: Régime de délivrance des cartes d'Identité, p. 5./ Titre III: Organisation de la comptabilité et approvisionnement en cartes d'Identité, p. 12./ Titre IV: Questions diverses, p. 14./ Annexes, p. 29.
, Brepols, 2024 Hardback, 292 pages, Size:178 x 254 mm, Illustrations:48 col., Language: French. ISBN 9782503598239.
Summary Le cardinalat, depuis la fin du XIVème siècle jusqu'au début du XVIème siècle, est une entité en transformation, rythmée par les crises successives que traverse l'Eglise d'Occident. Ces crises et les transformations socio-culturelles du Quattrocento ont amené les théoriciens du cardinalat - qu'ils soient juristes, théologiens ou diplomates - à reconsidérer à la fois la place et les modes représentation des cardinaux, influençant également leur incarnation matérielle, et en nous laissant de riches témoignages sur leur réflexion. L'étude présente entend analyser le développement, les transformations, et les perceptions des représentations symboliques et matérielles de l'identité cardinalice idéale depuis le Moyen Âge tardif jusqu'à l'orée de la Réforme. Les éléments mis à jour sur la construction et les mutations de l'identité cardinalice idéale correspondent parfaitement au phénomène transitionnel associé à ce siècle. Le cardinalat apparaît, à travers l'ensemble des sources, comme un palimpseste sur lequel se réécrit constamment les empreintes de sa construction symbolique, matérielle et théorique, chaque couche laissant des traces visibles à celui qui en fait la lecture. Les formes de représentations pérennes qui définissaient le cardinalat et qui apportaient à la fois une justification sacrée et politique par la revendication d'origines prestigieuses finissent au Quattrocento par s'étioler ou se transformer pour laisser place à de nouvelles formes. Ces « couches successives » forment tout entières cette identité cardinalice, qui ne peut se concevoir que de façon multiple par la diversité et la richesse de son développement. TABLE OF CONTENTS Introduction Première Partie : Contexte général Le cardinalat au Bas Moyen Âge : essor politique d'une institution romaine Aux origines de l'ecclésiologie cardinalice au Moyen Âge : fondements canoniques et culturels Deuxième partie : constructions et mutations de la représentation symbolique du cardinalat au XVème siècle dans les sources textuelles Les théoriciens du cardinalat de la fin du Moyen Âge et de la première Renaissance Champs symboliques et métaphoriques médiévaux développés au Quattrocento L'investissement de symboliques traditionnelles et nouvelles : les métaphores du prestige cardinalice de la première Renaissance L'identité dans l'appartenance et le nombre : proportionnalité, représentation géographique et taille du Sacré-Collège Troisième partie : Evolutions de l'incarnation matérielle dans la construction de l'identité cardinalice Iconographie et application des modèles symboliques du cardinalat Transitions vestimentaires La pourpre cardinalice : la fixation progressive de la couleur rouge Quatrième partie : Saint-Jérôme et le cardinalat : construction du cardinal idéal ? Le cardinalat de Saint-Jérôme : constructions médiévales Représentations hiéronymiennes : un phénomène grandissant Le modèle cardinalice hiéronymien dans les débats ecclésiologiques du Quattrocento La postérité en demi-teinte du Saint-Jérôme cardinal Cinquième Partie : portées et résultats Mutations et continuité du cardinalat à la fin du Moyen Âge et dans la première Renaissance Conclusion générale
Librairie Félix Alcan , Bibliothèque de Philosophie Contemporaine Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1932 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur verte fort et grand In-8 1 vol. - 590 pages
4eme édition, 1932 Contents, Chapitres : Préface de la troisième édition, préface de la deuxième édition, Avant propos, xix, Texte, 571 pages - La loi et la cause - Le mécanisme - Le principe d'inertie - La conservation de la matière - La conservation de l'énergie - L'élimination du temps - L'unité de la matière - Le principe de Carnot - L'irrationnel - Les théories non mécaniques - Le sens commun - Conclusions et Appendices : Leibniz, Newton et l'action à distance - Les passages de Plutarque et de Simplicius - Les coperniciens et le principe d'inertie - Héraclite - Émile Azriel Meyerson (né le 12 février 1859 à Lublin, en Pologne, mort le 2 décembre 1933 à Paris) est un philosophe polonais, naturalisé français. Contre le courant de pensée positiviste de la fin du XIXe siècle, il développe une épistémologie réaliste fondée sur le principe d'identité. Il fut par ailleurs un sioniste convaincu, membre du comité central des Amants de Sion. - Identité et réalité est un essai d'épistémologie réaliste publié par Émile Meyerson en 1908. Le sujet de louvrage est lélucidation de la notion dexplication scientifique grâce au principe métaphysique d'identité, comme moteur de la compréhension humaine. - Les positivistes soulignent lintérêt de dégager des lois en sciences, dans loptique de soumettre la nature en prévoyant les phénomènes. Cependant la notion de cause leur est étrangère. Ils sintéressent plus au comment quau pourquoi. Ils ne pensent pas que la science explique quoi que ce soit, ni même que ce soit son rôle. Meyerson quant à lui croit à la causalité, qui se ramène selon lui à la cause formelle : en rationaliste, il identifie le monde à la pensée, sans quoi le premier serait inconnaissable. La causalité est la manifestation en physique du principe didentité, doù le titre de louvrage. Il y a une opposition paradigmatique entre cette identité des choses et pourtant la résistance du réel à la connaissance. L'explication mécaniste apparait comme la meilleure des explications (voire la seule vraiment convaincante). Dans latomisme et le matérialisme en général, tout sexplique « par forme et mouvement » (cf Descartes), c'est-à-dire par la géométrie. Seuls les formes sont connaissables car elles sont immuables. Cela renvoie à Parménide, et à nouveau au principe didentité. - Meyerson retrace lhistoire du principe d'inertie et de ses formes primitives. Il soppose en cela à Bachelard et à sa notion de rupture épistémologique. Il ny a pas selon lui de rupture entre sens commun et pensée scientifique. Lannihilation ou la création pure de matière ou dénergie sont impensables, il ne peut y avoir que déplacement dune forme à lautre. Les principes de conservations sont des postulats dont on peut dire quils sont dordre métaphysique. L'élimination une condition de satisfaction de la raison. Le temps est une notion irrationnelle par excellence et la science sévertue à lévacuer. On est bien obligé de reconnaître lexistence du temps mais on doit également admettre que cest un inconnaissable. Le deuxième principe de la thermodynamique (Principe de Carnot) : la dégradation de lénergie utilisable équivaut à une irréversibilité locale. Il constitue un obstacle au raisonnement par identité. (source : Wikipedia) couverture propre à peine jaunie sur les bords, intérieur très frais et propre, imprimé sur papier de qualité, cela reste un bel exemplaire
CNRS - UPRES. 1997. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 359 pages - quelques cartes et photos en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 940-Histoire générale de l'Europe
Sommaire : Mille ans de reconnaissance sociale et identitaire - Aristocratie et noblesse autour de l'an mil - Noblesse et élite du XVIe siècle : les problème de l'identité noble - Origines et identité des familles de la gentry de l'East Kent au milieu du XVIIIe s. - Sentiment et reconnaissance identitaires de la noblesse pauvre en France à l'époque moderne (XVIe - XVIIIe siècles) - Les anoblis du premier empire (1808-1914) une identité perdue - La noblesse d'apparence, révélateur de l'identité nobiliaire au XIXe siècle - Une noblesse provinciale confrontée à l'état : les révisions de feux au XVe siècle en Valentinois-Diois - Partage noble et droit d'aînesse dans la coutumes du royaume de France à l'époque moderne... Classification Dewey : 940-Histoire générale de l'Europe
Editions Beauchesne. Octobre 1994. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 161 pages.. . . . Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne
Sommaire : L'identité catholique dans la troisième période de l'histoire de l'église par Norbert Greinacher, Approches de l'identité catholique dans le droi ecclésiastique par James Provost, L'identité communicative de l'église locale par Johannes A. Van Der Ven Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne