‎Gilbert Marion‎
‎La maison du doute‎

‎Les Portiques 1930 250 pages in12. 1930. Broché. 250 pages.‎

Reference : 228368


‎Très Bon Etat text jauni‎

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Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz

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‎GILBERT Marion‎

Reference : RO40197926

(1930)

‎LA MAISON DU DOUTE‎

‎Les Portiques. 1930. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 249 pages. Papier collé sur le dos, le consolidant.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎


‎13e édition. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

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EUR10.95 (€10.95 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10079409

(1870)

‎L'ILLUSTRATION JOURNAL UNIVERSEL N° 1409-Texte : Revue politique de la semaine. — La maison de George Sand, à Nohant. — Courrier de Paris. — Le Varech. - Le doute en justice, nouvelle, par M. S. de liaubar (suite). — Les théâtres. — Le mouvement .........‎

‎Au bureau du journal. 26 février 1870. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 150 à 164. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎


‎SOMMAIRE : Texte : Revue politique de la semaine. — La maison de George Sand, à Nohant. — Courrier de Paris. — Le Varech. - Le doute en justice, nouvelle, par M. S. de liaubar (suite). — Les théâtres. — Le mouvement litté-raire. — La Chambre de 1870 : la gauche. — La .haute-cour de justice. — L’architecture indienne. — La Caisse de dépôts et comptes-courants. — Revue de la Bonrse.— Les Merveilles de l'art et de l’industrie.Gravures : La maison de Ceorge Sand, à Nohant. — Paris : le bal ¡de l’Hôtel-de-Ville. — La récolte du va-rech. — L’hiver de 1870 : Une glissade. — La Chambrt de 1870 : la gauche. — L’architecture indienne : Beûgalo Européen à Negapatam; — Forteresse de Trichinopoly. — Le nouveau Paris: Place du nouvel Opéra : Hôtel de la Société de Dépôts et Comptes-courants; — Vue intérieure des Bureaux. — Groupe en bronze; gravure extraite des Merveilles de l art et de l’industrie. — Rébus. Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO10086384

(1973)

‎PARIS MATCH N° 1252 - Nudistes grand standing, Ou sont les Mirages de khadafi par Jean Mezerette, Bruay : l'ombre d'un doute par François Caviglioli, La bombe Mitchell secoue la Maison Blanche par Jean Pierre Farkas, Bernadette Devlin, sa haine‎

‎PARIS MATCH. 5 mai 1973. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 126 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Nudistes grand standing, Ou sont les Mirages de khadafi par Jean Mezerette, Bruay : l'ombre d'un doute par François Caviglioli, La bombe Mitchell secoue la Maison Blanche par Jean Pierre Farkas, Bernadette Devlin, sa haine et son amour, Noir contre rouge, l'Italie saigne par Gilbert Graziani, Arpaillange ou la réforme au pied du mur de la justice par Michel Gonod Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎Collectif‎

Reference : R320122049

(1972)

‎La tribune des agents de l'éducation nationale n°114 2e année décembre 1972 - Au nom de l'unité sans doute ! - le pouvoir d'achat - les labos ne veulent pas être sous tutelle - la maison de l'amitié - frais de changement de résidence etc.‎

‎L'Emancipatrice. 1972. In-4. En feuillets. Etat d'usage, Tâchée, Dos satisfaisant, Mouillures. 16 pages - mouillures sans réelle conséquence sur la lecture.. . . . Classification Dewey : 70.1-Journaux‎


‎Sommaire : Au nom de l'unité sans doute ! - le pouvoir d'achat - les labos ne veulent pas être sous tutelle - la maison de l'amitié - frais de changement de résidence - traitements à compter du 1-10-72 - compte rendu Congrès national. Classification Dewey : 70.1-Journaux‎

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