Plon 252 pages in12. Sans date. Cartonné jaquette. 252 pages.
Reference : 211782
Bon Etat tranche jaunie
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
P., Magazine littéraire, n° 174, juin 1981, in-4, agrafé, 86 pp., illustrations et photos en noir. (CN1)
- Jean Genet par lui-même, entretien et chronologie. 30 pp., photos. Autres articles.
Editions d'Art de la "Revue du Vrai et du Beau", Paris, 1928. In-4, broché sous couverture rempliée, 94 pp. - pl. Préface - Avis important - Analyse psychologique d'après lesœuvres de Rembrandt - Sa vie artistique ignorée. - Une phase de son existence intime révélée par lui-même. - Un dessin curieux. - Difficultés financières. Comment le Maître les a traduites. Uneœuvre ...
Avec 34 planches en noir et blanc en hors texte.Un des 1040 exemplaires numérotés [ex. n° 869] sur Alfa, après 10 exemplaires sur Japon impérial et 30 exemplaires sur Hollande.Peu courant. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
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Galerie Charpentier, Paris, 1950 & 1951. Deux volumes brochés in-4, le second sous couverture illustrée en couleurs, non paginés. I. Vente du jeudi 7 décembre 1950 : Préface - Deux portraits de Rembrandt par lui-même. - Hobbema. - Aelbert Cuyp. - Van de Velde le Jeune. - Jan Steen. - A. van Ostade. - S. Ruysdael. - P. de ...
Avec 46 et 55 planches en noir en hors texte.On joint la notice sommaire de la deuxième vente [agrafé, 8 pp.], qui comporte la liste desœuvres vendues et le montant manuscrit de leur adjudication, document précieux pour l'histoire du goût et l'histoire des collections. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
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Editions Scala, Paris, 1992. In-8, broché sous couverture illustrée, viii-391 pp. La vie de Benvenuto Cellini, fils de maître Giovanni florentin écrite par lui-même à Florence (1500-1571) : Présentation par André Chastel - Traduction et notes par Nadine Blamoutier - Annexe - Chronologie - Index
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Belle correspondance amicale et professionnelle, notamment relative à sa nomination à l’Institut. Louis Béroud, précisera qu’il est l’auteur de la grande étude du salon Carré au Louvre en 1883, Fernand Cormon, l’informera qu’il a fait tout son possible pour le tableau du peintre Dufeu, « même une gaffe qui a soulevé des tempêtes ». Edouard Dufeu, qui fut l’élève de Vollon, le félicitera de sa nomination. Louis Edouard Fournier lui indiquera qu’il termine en ce moment une grande toile destinée à la Préfecture de Lyon, représentant toutes les célébrités lyonnaises depuis l’antiquité jusqu'à nos jours. Vollon étant natif de Lyon, il lui demande de lui accorder une séance afin de pouvoir le faire figurer sur sa toile. Les 2 lettres d’Armand-Auguste Fréret font référence à sa nomination à l’Institut et à lui rappeler le petit tableau qu’il lui a promis. Pour Julien-Gustave Gagliardini et pour Ferdinand Humbert, des félicitations pour son élection à « l’Académie, dont le choix cette fois est un honneur pour elle autant que pour toi… On a enfin rendu pleine justice en dehors de toute intrigue, à un illustre peintre… ». Albert Maignan lui recommandera l’architecte Lucien Magne pour une candidature au poste de professeur d’art appliqué à l’école des arts et métiers. « Mr Magne l’architecte auquel Charles Gadala a confié la réfection du portail de l’église de St Prix, auteur de l’église de Clermont et de la façade de l’église de Montmorency… ». Poste qu’il obtiendra en 1899 jusqu’en 1916. Jules-Alexis Muenier qui fut l’élève de Gérôme, lui confiera son tableau pour une exposition en 1896 à Monte-Carlo. « J’espère que vous voudrez bien vous occuper de me le faire vendre… ». L’architecte Louis-Henri-Georges Scellier de Gisors lui demande de bien vouloir « agréer un souvenir du monument élevé à l’Isle-Adam, à la mémoire de mon cher beau-père Julien Dupré… ». Jean-Georges Vibert, lui souligne qu’il a vu « Larroumet », lequel est disposé à lui apporter son concours pour figurer sur la liste de sa candidature à l’Institut. Il demande également à Vollon de l’appuyer, « non pas pour être nommé, mais seulement pour être sur la liste des cinq premiers…». La marquise de Landolfo-Carcano permettra à son fils Alexis de venir voir sa collection de tableaux « comme il l’avait désiré », et lui fera part de l’envoi d’une caisse de 25 bouteilles de vin, « digne d’un palais Princier et à peine digne d’un homme de votre valeur…Avezvous bien travaillé ? Etes-vous bien en train de peindre pour votre grande admiratrice et amie ? Quand lui permettrez-vous d’aller vous saluer ? J’ai passé dix jours à faire un classement de mes dessins que j’ai placés dans une pièce que j’aime beaucoup arrangée ainsi… ». Emile Bergerat lui demande de venir signer un dessin qui ne porte pas de signature, ce qui sera l’occasion pour lui de le voir, « puisqu’il n’y a pas moyen de vous décider d’autre façon ». Il voudrait bien connaître ce qu’il prépare pour son salon, « le temps me dévore… On m’a dit un portrait. Mais est-ce quelque chose comme l’Espagnol, ou un vrai portrait portrait ? Enfin puis-je vous en demander un dessin à reproduire sans indiscrétion ?... ». Etc.