Dentu et cie 1887 380 pages in12. 1887. Broché. 380 pages.
Reference : 200191
Etat Passable le prix tient compte de l'état dos recollé reliure visible au dos absence 4er plat
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
Reference : 400037535
Sans date. Manuel du Candidat Concours GRANDES ADMINISTRATIONS
Bon état
2001 2001. Michel Ferlet: Journal de campagne d'un candidat chatillonnais / Pucs 2001
Très bon état
1996 1996. Santore: Piège pour Sylvia; Smith: Le candidat / 1996 . bon état
Bon état
Réunion de 20 feuilles, anti Louis Bonaparte candidat à la présidence de la République, recto et recto verso, certaines illustrée, Henri POTTIN, anti Louis Bonaparte, (1848) Chez tous les libraires. Imprimerie Lacrampe & Cie 1) les trois chapeaux dédiée à M Louis Bonaparte. Chanson avec gravures. Chez tous les libraires Imprimerie Lacrampe et fils & Cie 260x401mm (recto) 2) Le neveu de l’oncle par Louis VOITELAIN ouvrier imprimeur. Dédiée à Louis Bonaparte Chanson, gravures. Chez tous les libraires gravures. Imprimerie Lacrampe et fils & Cie 260x401mm (recto) 3) Conseils d’un vieillard donnés à M Louis Bonaparte avec figures Chanson avec gravures. Chez tous les libraires Imprimerie Lacrampe et fils & Cie 260x401mm (recto) 4) Désistement de M Louis Bonaparte à la candidature de la présidence. Ou quelle est l’opinion du père Austerlitz, ex grenadier de la vieille garde sur le Prince Louis Napoléon Bonaparte. Texte sur 3 colonnes. (En double exemplaire) Feuille recto verso avec figures 260x401mm 5) Histoire du Prince louis Napoléon racontée par l’aigle de Boulogne avant qu’il ne fut empaillé avec opinions des journaux sur la candidature du Prince Louis Napoléon Bonaparte feuille recto verso avec figures 260x401mm (en double exemplaire) 6) Histoire de M. Louis Bonaparte racontée par Athanasse Piedfort sergent à la 2ème du 3ème du 1er à Jérôme Gauvin , conscrit du Calvados, jeune homme sur lequel, on peut fonder les plus grandes espérances. Feuille recto verso, 260x401mm, (pas de figures) 7) Les grandes aventures du Prince Louis Napoléon . Complainte avec figures. Au verso opinion des journaux sur les tristes aventures de M Louis Napoléon Bonaparte 260x401mm. 8) Quelques mots sur la vie de M. Louis Bonaparte recto verso avec figures 260x401mm. 9) Grande complainte sur Louis Bonaparte avec figures, recto verso 260x401mm 10) Victoires et conquêtes de M Louis Napoléon Bonaparte racontes par l’aigle de Boulogne à l’aigle Impérial par Charles GILLE feuille recto. 260x401mm 11) Le gâteau des prétendants (gâteau des rois !) c’est la France feuille illustrée, recto verso 260x401mm 12) L’amoureux de la République ou Louis Bonaparte jugé par ses actes feuille recto verso 260x401mm 13) Simple histoire du Prince Louis Bonaparte fait Napoléon candidat à la présidence de la République française par lttle Jester. Feuille recto verso 260x401mm 14) Comme quoi Louis Bonaparte n’existe pas par Little Jester suivi de manifeste de louis caméléon Bonaparte prétendant à la présidence de la République française par Jule CHOUX 15) Louis Bonaparte jugé par les communistes et les phalanstériens. Extrait des écrit communistes et des phalanstériens feuille recto verso 260x401mm 16) Le Prince Louis apprécié par les journaux anglais sa vie à Londres- sa candidature à Paris. Feuille avec figures, 4 pages. 260x401mm 17) Boulogne et Strasbourg feuille recto verso 260x401mm 18) Aventures d’un Prince ambitieux racontées par le citoyen Chiffonneau dans une soirée chez Paul Niquet feuille recto verso avec figures 260x401mm 19) Le neveu de Napoléon à la façon de Barbari feuille 260x401mm 20) Le candidat feuille recto verso 260 x401mm. L’ensemble
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".