Arthaud 1949 in8. 1949. Broché.
Reference : 192645
Bon Etat dos réparé jauni légèrement
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
Reference : bd-a56b9d9264057b18
"Gverazzi F.D. Siege of Florence. Historical novel by Per S. V. Guerrier; edited and edited by A.K. Jivelegova; note by D.E. Mikhalci, G.O. Gordon; artwork by G. Pastukhov. In 2 Vol. Vol. 1-2./Gveratstsi F.D. Osada Florentsii. Istoricheskiy roman Per. S.V. Gere; red. i st. A.K. Dzhivelegova; primech. D.E. Mikhalchi, G.O. Gordona; khudozh. oform. G. Pastukhova. V 2 t. T. 1-2. Gverazzi F.D. Siege of Florence. Historical novel by Per S.V. Herier; edited and edited by A.K. Jivelegova; note by D.E. Mikhalci, G.O. Gordon; designed by G. Pastukhov. In 2 Vol.Vol. Vol. 1-2. M.; L.: Academia, 1934-1935. Vol. 1: 628, 4 We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUbd-a56b9d9264057b18."
Hazan, 1994, pt in-4°, 320 pp, traduit de l’anglais, préface de Georges Didi-Huberman, 175 illustrations dont 17 en couleurs, appendices, notes, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
La peste de 1348, qui décima des millions de Toscans, fut dans l’histoire un événement majeur. Les historiens d’art, eux, négligèrent de s’en préoccuper, à l’instar de Vasari, prenant prétexte de la rareté des descriptions littéraires et picturales. La peste noire, pourtant, fut, sur la voie de la Renaissance, un événement essentiel qui suscita une crise fondamentale de l’humanisme. Millard Meiss fut le premier, en 1951, à s’intéresser de près à ce point aveugle de l’histoire de l’art. Étudiant d’abord quelques caractéristiques essentielles des évolutions du style à la fin du XVIe siècle, ce collègue de Panofsky tente d’en découvrir les raisons dans les profondeurs des sociétés florentine et siennoise, sans pour autant forcer les liens de cause à effet. L’érudition, la probité et le tact de Millard Meiss font ce ce livre un maître ouvrage. — Un classique de l’histoire de l’art qui a mis l’accent sur les tensions entre histoire et histoire de l’art en prenant en défaut l’historiographie instaurée par les premiers historiens de l’art à la Renaissance, au premier rang desquels Vasari. 1348 : La peste anéantit la moitié de la population de Sienne et de Florence. Un événement si considérable et si traumatisant ne pouvait rester sans conséquences sur l’histoire de la représentation. Occultée par la tradition qu’inaugure Vasari et qui s’efforce de décrire la montée de l’idéal renaissant comme un chemin lisse et pratiquement sans accrocs, la peste de 1348 vient pourtant briser net un élan de confiance en soi-même et semer, avec de violents tourbillons, le doute dans les esprits. C’est cette césure qui fait l’objet du livre aujourd’hui classique de Millard Meiss, lequel vient éclairer d’un jour inoubliable cet art du Trecento où, comme l’a écrit Émile Mâle, « la mort se montre soudain dans toute son horreur ». Mais la relation de la peinture à l’événement n’est ni un simple lien de cause à effet, ni celui d’une illustration directe. Avec la peste, l’image d’un monde ordonné et stable – d’un monde qui commençait à ordonner et à espacer ses images – bascule. Mais les chemins sont lents et complexes, qui vont du traumatisme de l’événement au dérèglement qui se voit dans les peintures. Ils passent notamment par le « désordre de l’imagination » dont la peste est le foyer et par toute l’agitation intellectuelle et mystique qui cherche à lire des signes dans ce désordre. Aussi les figures de sainte Catherine de Sienne ou de Boccace ou encore les courants de prophétie fanatique qui se répandent alors en Toscane sont ils évoqués dans ce livre avec autant de ferveur que les images elles mêmes. De telle sorte qu’entre histoire de l’art et histoire tout court un pont, prudent mais solide, est ici tendu.— "Plus de la moitié de la population européenne périt de la peste noire de 1348, qui fit 43 millions de victimes, selon le pape Clément VI. Cette catastrophe démographique l'emporte de fort loin sur les guerres de Religion, les massacres révolutionnaires, la sanglante épopée napoléonienne, et dispute même leur sinistre record aux guerres mondiales et techniques de notre siècle. De juin à septembre 1348, la population de Florence passa de 90.000 à 45.000 habitants et celle de Sienne, de 42.000 à 15.000. On conçoit ce qu'une telle hécatombe a pu avoir de traumatisant pour les esprits. Ainsi, le chroniqueur siennois Agnolo di Tura rapporte qu'il enterra cinq de ses enfants de ses propres mains et ajoute: « Personne ne pleurait les morts, car chacun songeait que sa propre fin était proche.» Curieusement, l'histoire de l'art a longtemps négligé un séisme qui venait ébranler la peinture en pleine révolution giottesque, car Giotto était mort en 1337 et la génération de ses élèves était à l'œuvre..." (Jacques Bonnet, L'Express)
PUF, 1964, gr. in-12, viii-300 pp, traduit de l'italien par Maurice Vaussard, 16 pl. de photos hors texte, 21 cartes et plans, 2 index, cart. illustré de l'éditeur (lég. frotté), bon état (Coll. Nous partons pour...)
"A Florence, avec simplicité, mais aussi avec une conscience aiguë, on a donné à l'art, comme à toute autre activité humaine, une fin immédiate et directement pratique : fins religieuses, fins politiques, fins sociales, fins économiques aussi, voire fins partisanes... Les œuvres et les monuments, à Florence, « vivent » à côté des hommes, compagnons de leurs fatigues et de leurs joies. Pour s'en convaincre, le visiteur est invité à faire dix promenades florentines, dont l'itinéraire, calculé chaque fois sur un thème, sur une idée, ou autour d'un ensemble majeur, est décrit ici sobrement, clairement. Deux excursions complémentaires sont prévues, l'une vers San Miniato et vers la Chartreuse, l'autre vers les Villas médicéennes et vers Vallombreuse. L'antiquité n'est pas oubliée ; les vestiges de la cité romaine (fondation césarienne, devenue au IIIe siècle le siège du Corrector Italiae) ont droit à quelques pages, ainsi que les ruines de Fiesole, la ville étrusque transformée en municipe romain." (J. Marcadé, Revue des Études Anciennes, 1965)
Payot, 1931, in-8°, 326 pp, traduit de l'allemand, 8 gravures hors texte, index, broché, bon état (Coll. Bibliothèque historique)
"L'auteur a le sentiment profond que « la Toscane est l'une des rares contrées qui, au delà de leurs propres limites, ont incalculablement enrichi l'humanité ». L'importance de la culture, de la « spiritualité », est donc tout à fait primordiale dans le sujet traité par le nouvel historien de Florence. Une moitié de l'ouvrage est donc une histoire de l'art et de l'humanisme en Toscane. L'histoire politique, toujours assez sombre et disconnexe, car elle est l'exposé des rivalités sanglantes des villes toscanes, Pise, Lucques, Sienne, Florence, alterne avec l'histoire des idées et des oeuvres." (Edmond Barthèlemy, Mercure de France, 1933)
Malabar (Florida), Krieger Publishing Company, 1975, in-8°, xiv-308 pp, biblio, index, reliure cartonnée de l'éditeur, bon état. Texte en anglais
Aux XIVe et XVe siècles, la ville de Florence a connu la période la plus créative de toute son histoire. Ce livre est une analyse approfondie de cette communauté dynamique, qui se concentre principalement sur les années 1380-1450 en examinant le caractère physique de la ville, sa structure et ses développements économiques et sociaux, sa vie politique et religieuse, et ses réalisations culturelles.