Presses universitaires de france 1968 in12. 1968. Broché.
Reference : 175959
Bon Etat très légèrement jauni inscriptions crayon papier
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
A Amsterdam et Leipzig, chez Arkstee & Merkus, 1769. 17 x 10,5 cm, c-311 pp. et deux cartes dépliantes, xij-375 pp., xij-368 pp., iv-375 pp., 390 pp. et 344 pp. Six volumes reliés plein veau moucheté, dos à nerfs, caissons ornés, pièces de titre. Reliures d'époque. Manque des pièces de titre à deux volumes, des traces de frottements et des épidemures, coins émoussés, quelques mouillures marginales et quelques trous de vers marginaux de même, sinon bon exemplaire, bien complet des deux cartes en bon état. Les Remarques d'un anonyme sont d'Elie Luzac, Noordwijk, 19 octobre 1721 - Leyde, 11 mai 179 un jurisconsulte, écrivain, philosophe, éditeur, imprimeur et libraire néerlandais.
Arkstée & Merkus Relié 1758 In-12 (10,5 x 17 cm), reliure plein veau, dos à 5 nerfs orné de caissons dorés, xxiv-362 pages ; cuir un peu craquelé au dos, petit manque de cuir à la coiffe supérieure, mouillure dans le coin supérieur du corps d'ouvrage jusqu'à la page 2, par ailleurs bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Sans lieu, MDCC LXI (1761).Relié avec :Considérations sur la cause et la grandeur des romains... Nouvelle édition à laquelle on a joint Un dialogue de Sylla, Le temple de Gnide, Cephise et l'Amour. A Copenhague et à Genève , chez les frères Philibert, 1761.Un volume relié (11 x 16 cm) de xxviij-460 pages et 6-335 pages.Reliure demi veau d'époque, dos à nerfs orné, pièce de titre rouge. Reliure très usée mais encore solide. Intérieur en bon état.
Favre Reliure "In-16 (8,5 x 13,5 cm.), relié plein veau, fleurons dorés et pièces de titre et de tomaison au dos, 140 pages, papier à la cuve aux gardes, an IV, tome isolé, contient ""Arsace et Isménie - Le temple de Gnide - Dialogue de Sylla"" nouvelle édition ; manques aux coiffes, coins usés, dos incurvé, mors fendus, intérieur relativement frais, état très correct. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
MONTESQUIEU. Charles Louis de Secondat, baron de La Brède et de.
Reference : LCS-18566
Charmant exemplaire conservé dans sa reliure de l’époque. S.l., 1767. In-12 de 236 pp., pp. 259 à 285, (1) f. d’Avis au Lecteur. Veau granité, double filet doré encadrant les plats, dos à nerfs orné de filets dorés, pièce de titre de maroquin rouge, tranches mouchetées. Reliure de l’époque. 164 x 94 mm.
Rare édition parue l’année de l’originale de l’œuvre littéraire «la plus vivante» de Montesquieu. « L’abbé de Guasco, qui avait eu avec Montesquieu une correspondance suivie, fit imprimer [l’édition originale de] ce volume à Florence en 1767. Il y publia trois lettres contre Mme Geoffrin (pp. 222-241), que celle-ci supprima d’une réimpression qu’elle fit exécuter elle-même sous la rubrique de Florence et Paris, Vincent Durant neveu, 1767, in-18. Cette partie de la correspondance ne se retrouve même pas dans une contrefaçon exécutée à Paris, la même année. Le soin que Mme Geoffrin mit à rechercher, pour les détruire, les exemplaires de la vraie édition florentine explique qu’ils soient devenus fort rares.» (Picot, Cat. James de Rothschild, n° 1897). « La correspondance de Montesquieu, la partie la plus vivante de son œuvre, est demeurée inédite de son vivant». (Roger Caillois). La première édition, l’un des seuls livres qualifiés de «fort rare» par Émile Picot, dans le catalogue de la bibliothèque Rothschild, contient les Lettres de Montesquieu adressées à ses amis italiens du 21 décembre 1729 au mois de février 1755, quelques jours avant sa mort. La partie la plus piquante concerne les pages 222 à 241, véritable réquisitoire contre la dictature parisienne de Madame Geoffrin (1699-1777). Son salon fut l’un des plus fréquentés de ce siècle où les bureaux d’esprit eurent tant d’influence sur le mouvement littéraire et philosophique. La présente édition, parue l’année de l’originale, contient 56 lettres dont 55 de Montesquieu couvrant la période 1729-1755. Les trois lettres dans lesquelles Montesquieu attaque Mme de Geoffrin (pp. 237-258) ont été, sans doute à l’initiative de la salonnière, supprimées de cette édition et la pagination saute ainsi de la p. 236 à la p. 259. La correspondance de Montesquieu nous livre un tableau sans complaisance et d’une extrême sincérité sur la personnalité de l’auteur, ses pensées, ses valeurs et certains évènements importants du Siècle des Lumières. Bel exemplaire grand de marges de l’œuvre littéraire la plus vivante de Montesquieu, conservé dans sa reliure de l’époque. Provenance: Jean Siegler avec ex libris, «Ex-libris du Cabinet d’un Vieux Bibliophile».