Plon 2002 274 pages in8. 2002. Broché. 274 pages. Un Français moyen travaille 35 658 heures pour payer la facture des prélèvements obligatoires ! Presque 20 ans de vie professionnelle... D'abord remettre les chiffres fiscaux à l'heures en donnant une mesure à la fois aisément compréhensible et appréciable tel est le premier objectif de Jacques Marseille. Dans ce livre on apprend ainsi que les charges sociales coûtent 9 ans la fiscalité automobile 21 mois et les taxes locales 780 heures. Le poids des impôts apparaît si exorbitant que même le locataire actuel de Bercy entend rompre avec la tradition du toujours plus. Pourtant ces mêmes citoyens qu'exaspère l'abus de bien public sont les premiers à demander plus de moyens pour l'école la sécurité la santé ou la justice... Autrement dit ils veulent le beurre sans donner l'argent du beurre. En témoigne le débat surréaliste de l'an dernier sur la fameuse cagnotte fiscale de 30 milliards de francs alors que la dette de l'Etat dépasse les 230 milliards. Jacques Marseille ne perd pas son temps à dénoncer les dérives d'une bureaucratie incontrôlable ou l'arbitraire des technocrates : il s'agit de savoir si on peut faire mieux en dépensant moins donc de prélever moins. L'auteur examine un à un les grands postes de dépenses vérifie si les Français en ont pour leur argent et avance à chaque fois les propositions de bon sens. Par exemple les 400 milliards dépensés pour l'éducation ont-ils réduits la fracture scolaire ? Les milliards de la recherche placent-ils la France en tête du palmarès ? Ceux de l'emploi et de la solidarité ont-ils réduits le poids du chômage et de la pauvreté ? Et avec 243 milliards par an a-t-on une dépense efficace
Reference : 172039
ISBN : 2259190847
Très Bon Etat micro rayures
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
Librairie Académique Perrin tempus 2006 306 pages poche. 2006. broché. 306 pages. Jacques Marseille professeur d'économie à la Sorbonne s'était fait remarquer en 1993 en publiant un ouvrage qui allait à l'encontre des idées reçues. C'est beau la France exaltait l'esprit de notre pays où l'on se plaint beaucoup mais où il fait ? on s'accorde tous à le dire ? en vérité bon vivre. Une décennie s'est écoulée mais la vapeur pour Jacques Marseille s'est inversée. Au regard des chiffres tout va pour le mieux. Nos industries ont fait un boom la France a regagné quelque chose de sa grandeur passée; même le couronnement des exploits sportifs nationaux sont au rendez-vous eux qui nous ont si souvent manqué. Il y a pourtant un caillou dans la chaussure qui nous empêche de marcher droit. Un caillou qui pourrait même nous faire trébucher. Le Grand Gaspillage est une enquête sur les vrais comptes de l'État. Selon l'auteur le budget des dépenses de l'État ne cesse d'augmenter et les dysfonctionnements se multiplient. Preuve des rapports de la Cour des comptes à l'appui Jacques Marseille égrène et commente la longue liste "des dérives dépensières non contrôlées". Les grands travaux mitterrandiens sont les premiers visés Bibliothèque nationale de France et Opéra Bastille en tête. Mais le problème est que le "gaspillage" de l'État se retrouve à tous les niveaux: emploi santé enseignement entreprises. Plus de 500 milliards de francs soit 10% seulement du budget de l'État telle est l'économie que l'on pourrait aisément faire si on se montrait plus raisonnable en haut lieu. Derrière son ton mordant et accusateur Le Grand Gaspillage réclame le droit premier du citoyen de demander pour le bien de tous des comptes à l'État. --Denis Gombert
MERCI DE LIRE JUSQU'A LA FIN! Le livre présente de légères traces de stockage et d'usure mais reste en bon état d'ensemble. Expedié soigneusement dans un emballage adapté depuis la France
Librairie Académique Perrin tempus 2006 poche. 2006. broché. 306 pages. Jacques Marseille professeur d'économie à la Sorbonne s'était fait remarquer en 1993 en publiant un ouvrage qui allait à l'encontre des idées reçues. C'est beau la France exaltait l'esprit de notre pays où l'on se plaint beaucoup mais où il fait ? on s'accorde tous à le dire ? en vérité bon vivre. Une décennie s'est écoulée mais la vapeur pour Jacques Marseille s'est inversée. Au regard des chiffres tout va pour le mieux. Nos industries ont fait un boom la France a regagné quelque chose de sa grandeur passée; même le couronnement des exploits sportifs nationaux sont au rendez-vous eux qui nous ont si souvent manqué. Il y a pourtant un caillou dans la chaussure qui nous empêche de marcher droit. Un caillou qui pourrait même nous faire trébucher. Le Grand Gaspillage est une enquête sur les vrais comptes de l'État. Selon l'auteur le budget des dépenses de l'État ne cesse d'augmenter et les dysfonctionnements se multiplient. Preuve des rapports de la Cour des comptes à l'appui Jacques Marseille égrène et commente la longue liste "des dérives dépensières non contrôlées". Les grands travaux mitterrandiens sont les premiers visés Bibliothèque nationale de France et Opéra Bastille en tête. Mais le problème est que le "gaspillage" de l'État se retrouve à tous les niveaux: emploi santé enseignement entreprises. Plus de 500 milliards de francs soit 10% seulement du budget de l'État telle est l'économie que l'on pourrait aisément faire si on se montrait plus raisonnable en haut lieu. Derrière son ton mordant et accusateur Le Grand Gaspillage réclame le droit premier du citoyen de demander pour le bien de tous des comptes à l'État. --Denis Gombert Bon état intérieur propre
Plon, 2002, in-12, 306 pp, édition actualisée et augmentée, biblio, broché, bande éditeur conservée ("3 ans après, c'est pire !"), bon état (Coll. Tempus). Ouvrage épuisé, envoi a.s.
Toute la France en a parlé. Trois ans après, grâce à une édition revue, actualisée et complétée, Le Grand Gaspillage en Tempus relance le débat. "Une verve décapante et des arguments qui bousculent bien des certitudes." (Dernières Nouvelles d'Alsace) ; "Un livre événement... L'auteur épingle la gestion de l'Etat et propose des solutions." (L'Express) ; "Les paniers percés de la République passés au crible." (Le Figaro Magazine)
Plon, 2002, in-8°, 276 pp, biblio, broché, bon état
"De 600 à 700 milliards de francs, c'est l'économie que ferait le contribuable si la France était aussi attentive à ses dépenses que ses partenaires européens. De 600 à 700 milliards. soit deux fois le montant de l'impôt sur le revenu des personnes physiques ! Traquer les dépenses inutiles, demander des comptes à l'ad ministration. rompre avec la logique du "toujours plus". Voilà le premier objectif de Jacques Marseille. Savoir si les gouvernements pourraient faire mieux en dépensant moins pour réduire de manière sensible le poids des prélèvements obligatoires, tel est le principal objet de ce livre qui révèle aux citoyens ce que savent tous ceux qui connaissent et avouent l'ampleur des gaspillages. Examinant un à un les grands postes de la dépense publique, de la culture à la santé, de l'éducation à l'ad mi nistration territoriale, de la protection sociale à la défense et à la sécurité, l'auteur a voulu vérifier si les Français "en avaient pour leur argent". Les 400 milliards dépensés pour l'éducation ont-ils réduit la fracture scolaire ? Les 800 milliards consacrés à la santé ont-ils bénéficié équitablement à tous ? Les 370 milliards de Remploi et de la solidarité ont-ils allégé le poids du chômage et de la pauvreté ? Ce livre, qui n'est pas un pamphlet contre les fonctionnaires, se veut une mise au net des comptes de l'Etat et, surtout. un acte de morale civique et de solidarité à l'heure où la maîtrise des dépenses publiques est indispensable pour ne pas imposer une dette insupportable aux générations futures."