France loisirs 1974 in8. 1974. Cartonné sous rhodoïd.
Reference : 171332
Bon Etat légèrement jauni
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
Paris, 1821-1825. Paris, Lefèvre, 1821-1825. 30 volumes in-8. Un portrait de Cicéron en frontispice. Maroquin rouge à long grain de Simier, trois volumes (1-2 et 30) signés « Simier. R. du roi », plats ornés d’un riche encadrement composé de filets dorés et de roulettes dorées et à froid avec fleurons d’angle, aux armes de Marie-Caroline de Bourbon-Sicile, Duchesse de Berry (1798-1870) au centre des plats, (Olivier 2554 fer n° 2), dos à nerfs abondamment ornés de motifs dorés et à froid, roulette dorée sur les coupes, grecque intérieure dorée, tranches dorées. Reliures armoriées de l’époque signées de Simier, relieur du roi. 223 x 140 mm.
Edition originale collective de la traduction des Œuvres de Cicéron en français. C’est la première citée par Brunet (II, 49-50) qu’il décrit ainsi : « Cette édition, fort remarquable sous tous les rapports, mérite bien le succès qu’elle a obtenu. Le texte présente une nouvelle recension, pour laquelle l’éditeur s’est aidé des variantes d’un grand nombre de manuscrits, et des secours que la philologie lui a offerts si abondamment. Des notes latines, placées au-dessous du texte, rendent compte des motifs qui ont fait adopter de préférence telle ou telle leçon. Les traductions des ouvrages de rhétorique, presque toutes nouvelles, sont dues à M. J.- V. Le Clerc, Liez, Gaillard et Burnouf. Celles des discours ont pour auteurs MM. Burnouf, Gueroult, Naudet, Binet, Goubaux et l’abbé Auger : le travail de ce dernier a été revu par l’éditeur, qui a également revu toutes les anciennes traductions recueillies dans sa collection. Pour les lettres familières et les lettres à Atticus, on a conservé les traductions de Prévost et de Mongault ; mais celle des lettres à Quintus, à Brutus, etc., est de M. Le Clerc. Dans les ouvrages philosophiques on retrouve les traductions de Regnier Desmarais, de d’Olivet et du prés. Bouhier, ainsi qu’une partie de celles de Morabin, et les Académiques par de Castillon. M. Le Clerc a traduit les traités de la Divination et du Destin ; les Lois sont de M. Ch. de Rémusat, et le traité des Devoirs est de la traduction de Gallon-la Bastide. Tous les fragments nouvellement recueillis, et qui sont ici réunis pour la première fois, ont pour traducteur M. Le Clerc lui-même. En outre, ce savant éditeur a enrichi son édition d’un discours préliminaire, d’une Vie de Cicéron, traduite de Plutarque, et accompagnée de suppléments extraits en partie de Middleton. Dans le 30ème volume se trouvent plusieurs index, composés d’après ceux d’Ernesti. Enfin M. Le Clerc a joint partout, aux ouvrages de Cicéron, des introductions historiques, philologiques ou littéraires, et des notes critiques et explicatives d'un grand intérêt. Nous ne devons pas oublier, non plus, de citer la Notice bibliographique sur les éditions et sur les traductions françaises des Œuvres de Cicéron, par C. Breghot du Lut et A. Péricaud ; c'est un morceau curieux, placé à la fin du premier volume. » « Cicéron (106-43 avant J.-C) est sans conteste une des grandes figures de la Rome antique, et l'influence de son esprit et de son œuvre, qui a contribué à propager à travers les siècles la culture de l’Antiquité, est restée toujours vivante. » Concetto Marchesi. « [Cicéron] par la supériorité de son intelligence, la magnificence de ses actes, de sa position, de sa vie et de sa réputation, par le fait qu’il a non seulement apporté, mais formé et perfectionné la langue mais aussi la littérature, l’éloquence et la philosophie latines, en les amenant de la Grèce, par le fait également qu’il était, sans discussion, le premier, le plus grand auteur latin, dans tous les genres, dominait à tel point les autres que la langue latine écrite eut la réputation d’être entièrement incluse dans ses œuvres, et que celles-ci firent office d’Académie et Dictionnaire… ». Leopardi. Magnifique exemplaire royal appartenant au tirage restreint de luxe sur grand papier vélin revêtu d’éblouissantes reliures en plein maroquin rouge de l’époque décorées frappées des armes de la Duchesse de Berry, signées par trois fois, sur les tomes 1-2 et 30, Simier relieur du roi. Marie-Caroline-Ferdinande-Louise de Bourbon-Sicile, fille de Ferdinand Ier, roi des DeuxSiciles, et de Marie-Clémentine, archiduchesse d’Autriche, née à Naples le 5 novembre 1798, épousa le 17 juin 1816, Charles-Ferdinand d’Artois, duc de Berry, second fils du futur Charles x, qui fut assassiné le 13 février 1820. La duchesse de Berry, veuve à 22 ans, se consacra à l’éducation de ses deux enfants, Louise-Marie-Thérèse d’Artois et Henri-Charles-Ferdinand-Marie-Dieudonné, duc de Bordeaux, né posthume ; très courageuse, elle essaya en 1832 de fomenter en Vendée un soulèvement légitimiste qui échoua ; trahie le 7 novembre de la même année, elle fut enfermée dans la citadelle de Blaye où elle mit au monde une fille qu’elle avait eue du comte Hector Lucchesi-Palli, qu’elle avait épousé secrètement en 1831 ; remise en liberté en juin 1833, elle fut tenue à l’écart par la famille royale et se vit enlever la direction de l’éducation de son fils. Elle vécut à Venise et mourut le 17 avril 1870 au château de Brunsee en Styrie. Cette princesse, aux goûts artistiques très développés, avait d’abord constitué dans son château de Rosny, près Mantes, une luxueuse bibliothèque remarquable tant par le choix des éditions et la richesse des reliures que par l’importance des manuscrits qu’elle renfermait, puis après ses multiples déboires, elle s’était constituée un cabinet choisi de lecture des principaux romans contemporains qu’elle affectionnait particulièrement dans sa retraite autrichienne de Brunsee : Balzac, Dumas, Sue, etc. Ces volumes destinés à être lus étaient alors revêtus d’une reliure en demi-veau, classés dans les rayonnages de la bibliothèque de Brunsee et enrichis de l’ex-libris « Brunsee - A l’index – Ouvrage n° - Volume n° - Armoire – Rayon – Place. » Les tranches de ces volumes sont d’une couleur jaune tout à fait charmante. Provenance : des bibliothèques de la Duchesse de Berry (armes frappées au centre des plats) - Baron Northwick (ex-libris héraldique gravé portant la devise « par ternis supar ». Vente de la collection du baron Northwick, Northwick Park, Christie's 26 mai 1965).
L’exemplaire de présent imprimé sur grand papier vélin aux armes de la Duchesse de Berry, illustré de nombreuses planches dépliantes A Paris, chez Deterville, libraire et éditeur, rue Hautefeuille, n° 8, 1821-1823. 16 volumes in-8 ornés de 67 planches dépliantes. Plein maroquin vert à grain long, armoiries dorées au centre des plats, roulette dorée et à froid sur les plats, fleurons et fleurs de lys d’angle, dos à nerfs passés richement ornés à l’or et à froid, coupes décorées, roulette dorée intérieure, tranches dorées. Reliures armoriées de l’époque signée de Simier, relieur du roi. 206 x 124 mm.
L’exemplaire de présent imprimé sur grand papier vélin aux armes de la Duchesse de Berry, illustré de nombreuses planches dépliantes. Le titre de « Cours » que Rozier donna à son ouvrage, annonçait qu’il serait distribué méthodiquement. Ce fut un dictionnaire, dont plusieurs articles formaient, il est vrai, des traités complets divisés en sections et en chapitres ; malgré cela, il arrive souvent que le sujet n’est pas épuisé ; l’auteur y revient dans de nouveaux articles ; c’est ainsi qu’après cent onze pages employées à traiter des abeilles, on retrouve encore deux sections sous le titre d’Alvéoles. Il parait que Rozier avait préparé d’avance la plupart de ces traités : quelques-uns lui appartenaient quant au fond ; il en avait tiré beaucoup d’autres des auteurs précédents, seulement par la rédaction il les avait adaptés à son plan ; c’est ainsi qu’il avait fait passer le traité des arbres fruitiers de Duhamel ou plutôt de le Berriais, dans son « Cours ». Il en fit de même des ouvrages de Roger Schabol ; d’autres articles lui furent fournis par ses collaborateurs, parmi lesquels on se contentera de citer Parmentier. C’est donc dans l’art avec lequel Rozier a mis en œuvre les travaux de ses prédécesseurs, que consiste son principal mérite ; il ne parle que très rarement de cet Olivier de Serres qu’il estimait tant. On peut, à l’article Agriculture prendre une idée de ce qu’il voulait faire. Cet article est précédé par un tableau synoptique qui présente tout l’ensemble de son travail. Dans cet article, outre plusieurs idées ingénieuses, on trouve une division de la France agricole partagée en zones caractérisées par leurs principales productions, comme l’olivier, le maïs, la vigne et le blé. Les planches sont exécutées avec soin. Cet ouvrage acquit, dès son apparition, une grande vogue. On ne pouvait disconvenir qu’il ne l’emportât, d’un côté au moins, sur tous les traités généraux publiés jusqu’alors. C’est qu’il s’élevait réellement au niveau des connaissances acquises ; et comme l’agriculture n’est autre chose que l’application de toutes les sciences naturelles, il en est résulté que ce cours est une Encyclopédie rurale, aussi complète qu’il était possible de la faire. Quant à la rédaction, elle fait honneur à l’auteur. Dans ses grands articles, on remarque l’art avec lequel il expose son sujet, l’ordre et la clarté qu’il met dans ses discussions. Son style paraît toujours d’accord avec l’objet qu’il traite : il est en général coulant et facile. Précieux exemplaire de Présent relié en maroquin vert de l’époque aux armes et pièces d’armes de la Duchesse de Berry.
Merveilleux exemplaire admirablement relié en maroquin vert de la célèbre correspondance de Françoise d’Aubigné (1635-1719). 1757 : 6 volumes in-12. 1758 : 9 volumes in-12. Ensemble 15 volumes in-12, plein maroquin vert, roulette dorée encadrant les plats, armoiries dorées au centre, dos à nerfs, coupes décorées, doublures et gardes de tabis rose, tranches dorées. Reliure armoriée attribuable à Simier, relieur du roi.160 x 92 mm.
Merveilleux exemplaire admirablement relié en maroquin vert de la célèbre correspondance de Françoise d’Aubigné (1635-1719), petite-fille du poète huguenot Théodore Agrippa d’Aubigné, qui épousa l’écrivain Paul Scarron et devint ensuite marquise de Maintenon par la faveur de Louis XIV. Si les Lettres de Madame de Sévigné jouissent à juste titre d’une plus grande renommée à cause de leur verve colorée, celles écrites par la fondatrice du Collège de Saint-Cyr, et dont la publication n’eut lieu qu’en 1752, l’emportent sur les premières par la clarté et la rigueur du raisonnement. Une jeunesse malheureuse (Françoise d’Aubigné naquit dans la prison où son père était détenu), les luttes spirituelles endurées lors de sa conversion au catholicisme, son mariage avec Scarron un éternel malade qui devait la laisser bientôt veuve, trempèrent le caractère de cette femme courageuse. Elle devait trouver sa véritable vocation dans les tâches d’éducation, auxquelles elle se voua passionnément ainsi qu’en témoigne son ouvrage intitulé Esprit de l’Institut des filles de Saint-Louis. Après son mariage secret avec Louis XIV, qui devait lui permettre de jouer un rôle important dans l’histoire de la Monarchie, elle fut chargée de l’éducation des fils que le Roi avait eus de la marquise de Montespan et put ainsi mettre ses dons en pratique. Ses Lettres révèlent une perpétuelle aspiration au bien et une élévation spirituelle remarquable pour l’époque. Parmi les plus belles, on peut citer l’épître adressée à la fameuse courtisane Ninon de Lenclos (1616-1706), ainsi que celle concernant la Consolation Divine, destinée au propre frère de la Marquise. Non moins dignes d’admiration la lettre à Madame de Maison-Fort, religieuse de Saint-Cyr, sur la vanité du monde et la confiance qu’il convient de mettre en la vertu, et surtout la lettre fameuse composée en 1700 à l’intention de la duchesse de Bourgogne lors de son mariage». Toute cette correspondance constitue un précieux document sur l’éducation des jeunes filles et un témoignage sincère relatif à la vie spirituelle de Madame de Maintenon dans l’ambiance pompeuse de la cour du Roi soleil. Précieux et bel exemplaire relié en maroquin vert aux armes de la duchesse de Berry. Marie-Caroline-Ferdinande-Louise de Bourbon-Sicile, fille de Ferdinand Ier, roi des Deux-Siciles, et de Marie-Clémentine, archiduchesse d’Autriche, née à Naples le 5 novembre 1798, épousa le 17 juin 1816, Charles-Ferdinand d’Artois, duc de Berry, second fils du futur Charles X, qui fut assassiné le 13 février 1820. La duchesse de Berry, veuve à 22 ans, se consacra à l’éducation de ses deux enfants, Louise-Marie-Thérèse d’Artois et Henri-Charles-Ferdinand-Marie-Dieudonné, duc de Bordeaux, né posthume; très courageuse, elle essaya en 1832 de fomenter en Vendée un soulèvement légitimiste qui échoua; trahie le 7 novembre de la même année, elle fut enfermée dans la citadelle de Blaye où elle mit au monde une fille qu’elle avait eue du comte Hector Lucchesi-Palli, qu’elle avait épousé secrètement en 1831; remise en liberté en juin 1833, elle fut tenue à l’écart par la famille royale et se vit enlever la direction de l’éducation de son fils. Elle vécut à Venise et mourut le 17 avril 1870 au château de Brunsee en Styrie. Cette princesse, aux goûts artistiques très développés, avait d’abord constitué dans son château de Rosny, près Mantes, une luxueuse bibliothèque remarquable tant par le choix des éditions et la richesse des reliures que par l’importance des manuscrits qu’elle renfermait.
[S.A.R. MADAME DUCHESSE DE BERRY] V. BONHIOL (COMMERCANT NANTAIS - ENTREPRISE DE PLOMBS DE CHASSE LAMINÉS : V. BONHIOL ET CIE NANTES)
Reference : 24646
(1870)
Paris 1870 -in-8 demi chagrin un Manuscrit ORIGINAL relié, reliure demi-chagrin violet in-octavo (binding half shagreen in-octavo), RELIURE D'ÉPOQUE, dos à nerfs (spine with raised bands)(dos insolé), décoré "or" et à froid (gilt and blind stamping decoration), titre frappé "or", entre-nerfs à fleurons fleur de Lys "or", filet à froid de part et d'autre des nerfs, papier marbré marron foncé, marron clair et rouge aux plats, tête lisse dorée (gilt top edge), gouttière et tranche de queue non-rognées, Ex-Libris gravé en noir par Dan Lailler sur papier blanc collé au dos du 1er plat : aux armes de RICHELOT [de la Bibliothèque de René RICHELOT (1895-1969), un des derniers Grands Bibliophiles Bretons, ancien président de la Société archéologique d'Ille et Vilaine ], extrait découpé du catalogue de la Librairie Durand-Noël collé au dessus de l'Ex-Libris aprés l'achat de celui-ci, Texte Autographe Manuscrit à l'encre brune par V. BONHIOL (tampon de V. Bonhiol, Paris en bleu en bas du titre + Préface signée V.B.), Manuscrit orné d'une photographie albuminée en noir : Portrait de Mme la Duchesse de Berry en frontispice + 2 Photographies albuminées en noir "Portrait de Mme la Duchesse de Berry" différentes en hors-texte (dont une à la fin de sa vie) + 2 dessins originaux à la plume en noir à l'encre de chine ( dessin du Chateau de la Pénissière + dessin avec Femmes en costume d'époque lisant l'affiche "ETAT DE SIEGE" devant l'entrée du Château des Ducs de Nantes) + une grande planche hors-texte dépliante : "Intérieur et plan de la mansarde ou S.A.R. la Duchesse de Berry à été arrêtée"d'aprés un dessin de PLOUAYS DE CHANTELOU, lithographié en noir par Charpentier à Nantes + un Fac-Similé de lettre Autographe de Marie-Caroline Duchesse de Berry à Mr Meyer consul de Naples à Bordeaux, fait à Paris en Aout 1870,
Marie Caroline Ferdinande Louise de Bourbon, princesse des Deux-Siciles, plus connue sous son titre de Duchesse de BERRY, fut l'épouse de Charles-Ferdinand d'Artois, duc de Berry, second fils du roi Charles X de France, assassiné en 1820 et la mère du comte de Chambord, prétendant légitimiste au trône de France sous le nom de « Henri V ». Au nom de son fils, elle tenta en vain de prendre le pouvoir en France en 1832 en qualité de « régente ». Elle est à l'origine des dernières Insurrections Vendéennes et Chouannes qui secouent le nord-ouest de la France en mai et juin 1832 ........... Joli Manuscrit inédit, d'une belle écriture en petite ronde fine, presque calligraphié, fourmillant de détails dramatiques et de touchantes anecdotes, d'autant plus importants que son auteur fut un Acteur dans le Mouvement Vendéen. Victor BONHIOL (Industriel Nantais) était un légitimiste. On connait de lui un autre manuscrit : " [MANUSCRIT]. La Presse. Revue critique et complète des journaux parus en 1848. Suivie de la nomenclature des journaux qui ont été publiés jusqu'au coup d'état (2 Dbre 1851) tant à Paris que dans les départements, d'une table alphabétique des noms de tous ceux qui ont écrit dans les journaux de Paris (1848). Août 1868. Le tampon de V. Bonhiol, Paris sur le titre et le chiffre V.B. sur le plat, laissent à penser que ce nom est celui de l'auteur de ce manuscrit car ce V. Bonhiol composa lui même en 1872 un manuscrit sur les Journaux de la Commune, rencontré dans un catalogue de la librairie Picard. "........ EXEMPLAIRE UNIQUE ........ de la Bibliothèque de René RICHELOT (1895-1969), un des derniers Grands Bibliophiles Bretons, ancien président de la Société archéologique d'Ille et Vilaine ..... livre acquis le 31 Janvier 1976, à la vente de la bibliothèque de René RICHELOT à Rennes, expert : DURAND-NOËL...... cet ouvrage a figuré à l'exposition "Madame, Duchesse de Berry" au Musée DOBREE à Nantes(15 Décembre 1963- 15 Février 1964) sous le N°280 cf catalogue page 46 ........ en trés bon état (very good condition). en trés bon état
[S.A.R. MADAME DUCHESSE DE BERRY] Achille GUIBOURG - Auguste Gaudichot-Masson, dit Michel MASSON - Baron FORTUNÉ DE CHOLET
Reference : 24647
Nantes - Paris Imprimerie C. Merson - dentu - L.-F. Hivert 1832 - 1833 -in-8 demi-basane 3 oeuvres d'auteurs différents sur le sujet de la Duchesse de BERRY reliés en un volume, reliure demi-basane (half binding sheepskin) violet in-octavo (21,2 x 13,5 cm), dos long (spine without raised band), décoré "or" et à froid (gilt and blind stamping decoration), titre frappé "or" (gilt title) avec un filet "or" de part et d'autre du titre, 4 filets "or" en place des nerfs avec un filet à froid fumé et un filet perlé à froid de part et d'autre, filet "or" et filet perlé "or" en tête et en pied, papier marbré marron, crème et vert aux plats(cover with marbled paper), trés légère épidermure au dos, toutes tranches lisses (all smooth edges), la 1ERE OEUVRE : "Relation fidèle et détaillée de l'arrestation de S. A. R. Madame, duchesse de Berry"(Note : Par M. Achille Guibourg, d'après de Manne) est ornée d'une grande planche hors-texte dépliante : "Intérieur et plan de la mansarde ou S.A.R. la Duchesse de Berry à été arrêtée"d'aprés un dessin de PLOUAYS DE CHANTELOU, lithographié en noir par Charpentier à Nantes, 40 pages, Novembre 1832 Nantes Imprimerie C. Merson Editeur -EDITION ORIGINALE - La 2EME OEUVRE : "QUATRES EPOQUES DE LA VIE DE S.A.R. MADAME DUCHESSE DE BERRY, suivies des protestations et adresses de toutes les villes de france en faveur de son altesse royale". 2e édition, par Michel Masson, sans illustrations (no illustration), 128 pages, 1833 Paris Chez dentu Libraire Editeur + 3EME OEUVRE : "MADAME, NANTES, BLAYE, PARIS.", par le Baron Fortuné de Cholet, orné de 2 lithographies hors-texte en noir : "vue du Château de Nantes, la cachette et l'Hôtel DU GUINY" + "Vue de la Citadelle de Blaye" par DE LIGNY + un plan hors-texte en noir du logement de son altesse royale à la Citadelle de Blaye, IV + 376 pages, 1833 Paris : L.-F. Hivert - Dentu Editeurs - EDITION ORIGINALE-
livre acquis le 31 Janvier 1976, à la vente de la bibliothèque de René RICHELOT (un des derniers Grands Bibliophiles Bretons, ancien président de la Société archéologique d'Ille et Vilaine) à Rennes, expert : DURAND-NOËL, N° 418 au Catalogue.......RARE...en bon état malgré le léger défaut signalé (very good condition in spite of the light defect indicated). bon état