Reader's digest 1967 300 pages in4. 1967. Relié jaquette. 300 pages.
Reference : 165096
Bon Etat haut 1er plat jaquette déchiré sur 3 cm
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
Istra. 1976. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 179 pages - quelques planches en noir et blanc - nombreuses cartes et quelques dessins en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Une terre pétrie d'histoire l'Outre Forêt - la notion géographique d'Outre Forêt - l'Outre Forêt un passé archéologiqe peu connu - les Sires de Fleckenstein, seigneurs de l'Outre Forêt - notes sur l'ancien chapitre rural de Wissembourg - le protestantisme en Outre Forêt jusqu'en 1648 - anabaptistes et communautés rurales en Outre Forêt - l'évolution de la population de l'Outre Foret au XVIIIe siècle - Georges Chrétien Rosentritt, directeur de la saline de Soultz et de la houillère de Lobsann 1789-1815 - l'industrialisation de l'outre forêt au XIXe siecle essai de représentation cartographique - la société de Dietrich indésirée à Haguenau en 1855 - Wentzel imagier de Wissembourg - la population de l'outre forêt et le drame de 1870 - sources minérales en outre forêt - Joseph Kautzmann mineur paysan - le costume traditionnel des personnes âgées à Merckwiller - les caractéristiques des parlers de l'alsace bavaroise - s'Unterland l'Outre Forêt etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Catalogue de l'exposition au Musée de Saint-Antoine l'Abbaye du 04 juillet au 11 novembre 2021.
Reference : 23922
ISBN : 9789461616814
<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">Aborder la représentation de la forêt en s'interrogeant sur le pouvoir d'attraction de celle-ci au Moyen Âge et au-delà, revient en filigrane à évoquer l'histoire originelle de Saint-Antoine et celle de son saint protecteur, Antoine le Grand, figure archétypale de l'anachorète. « Désert de l'Occident », la forêt se singularise par une relation intime avec l'ermite reclus ou le saint repenti. Elle constitue cet espace, cet entre-deux monde, l'un sauvage, l'autre civilisé, elle est cette forêt hagiographique qui sublime, parfois à l'excès, la retraite de l'ermite. C'est par ailleurs au coeur de la forêt qu'évoluent de preux chevaliers, des amants pourchassés, des fées des eaux, puis des bois. La littérature donne à voir une forêt fantastique. Au-delà des encyclopédies et autres traités de vénerie, lesquels offrent un large panel illustré de la faune et de la flore, la littérature arthurienne, les romans épiques et courtois, s'inscrivent dans la tradition narrative d'une forêt menaçante et maléfique, ou au contraire merveilleuse et enchantée, laquelle renvoie invariablement à la tradition celtique. La forêt y apparaît alors comme le lieu de l'errance, de la réclusion, de la fuite, de l'exclusion, de la transformation. Elle est aussi le lieu de l'initiation - souvent par l'entremise d'un ermite - de l'apprentissage et préfigure un monde onirique. Mais la forêt est aussi le sanctuaire d'une faune prolixe qui s'épanche en un bestiaire souvent enchanté laissant libre cours à l'animalité, la forêt sauvage. L'animal occupe en effet une place de choix dans les romans, lais ou chansons de geste. Souvent associé à une représentation symbolique du monde, il met en évidence une vision fantasmagorique au centre de laquelle les métaphores sont légion. Qu'il soit réel ou imaginaire, sa seule évocation incarne souvent un univers fabuleux. Par ailleurs, il demeure dans les récits hagiographiques un auxiliaire du saint qu'il accompagne (saint Eustache ou saint Hubert et le cerf, saint Antoine et le porc sauvage, saint Gilles et la biche...) ou qu'il combat, parfois. Les bestiaires sont aussi bien un genre littéraire qu'une encyclopédie qui se veut avant tout descriptive du monde animal, entre récit et symbolisme, où l'on retrouve réunis le lion, la licorne, le loup, l'ours, la belette et bien d'autres encore. En donnant à voir la face cachée et sombre de la forêt, antre des bêtes et des hommes sauvages, thème particulièrement prisé à la fin du Moyen Âge, les artistes du xixe siècle et à l'aube du siècle suivant dans un même élan romanesque livrent une représentation résurgente de la forêt mythique du Moyen Âge puisant son origine outre-Manche. Ainsi Walter Scott alimente l'imaginaire en mettant en scène un Moyen Âge chevaleresque incarné par Ivanhoé sur fond d'épopée historique. Gustave Doré, à travers les figures de Lancelot, de Viviane et de Merlin, puise dans les récits arthuriens visant à glorifier des figures héroïques, transcendées par la reconstitution méticuleuse, tant du cadre que des événements décrits. La forêt devient le miroir d'un Moyen Âge rêvé, elle est cette forêt mythique, s'imposant par ailleurs en double sémantique de l'architecture gothique, des voûtes élancées vers le ciel de chapiteaux floraux dont la redécouverte est pour longtemps associée au temps des cathédrales magnifié par Victor Hugo. À bien des égards, la forêt dans la pluralité de son incarnation est bien celle d'un Moyen Âge enchanté.</span> Gent, 2021 Snoeck 144 p., broché à rabats. 22 x 26
Neuf
1983 Association pour le développement de l'université de Savoie 174p. très bon état.
Table : la foret en Savoie, approche écologique (P. Gensac) - la forêt de Savoie, réceptacle de plantes en survie (R. Fritsch) - les forêts de Savoie depuis le XVIIIe (A. Palluel Guillard) - données quantitatives et structures actuelles des peuplement forestiers en Savoie (M. Camel) - gestion de la forêt publique (MA. Collas) - gestion de la forêt privée (MF. Horteur) - rôle de protection de la forêt (JP Feuvrier) - la place de la forêt dans l'aménagement du territoire (JP Morelon) - forêt et diversité biologique (JP. Courtin) - point de vue d'un aménageur de stations (R. Godino) - les alpages dans leur rapport avec la forêt (L. Chavoutier) - la forêt et la pollution industrielle (A. Daurat, A. Lemoine) - évolution de la forêt dans lmes Alpes du nord depuis 10 000 ans (A. Bocquet) - les sources d'archives pour l'histoire des forêts (P. Paillard) - forêt du Thyl (B. Juillard) - la forêt dans l'économie traditionnelle montagnarde (B. A. Meilleur) - la filière bois (PG. Dumas) - la forêt et l'industrie (J. Vulliermet) - cartonneries de La Rochette Hermitage (J. Michallet) - quelques remarques sur la symbolique de l'arbre (J. Burgos) - ...
Phone number : 04 76 97 79 28
Paris, Maison Andriveau-Goujon, H. Barrère, [1878]. En 15 sections montées sur toile et repliées, formant une carte de 535 x 550 mm, montée dans une reliure éditeur de percaline verte avec titre en lettres dorées sur le premier plat et au dos ; étiquette au dos de la carte de l'éditeur parisien Eugène Andriveau-Goujon.
Rare carte de la forêt de Fontainebleau, dressée par Charles Colinet, continuateur de Claude-François Denecourt, et publiée par la Maison Andriveau-Goujon, Henry Barrère, à Paris. Sur les côtés figure les indications sur les promenades à pied que l'on peut faire en forêt en suivant les sentiers Denecourt-Colinet, ainsi que les sites et curiosités remarquables. La légende indique les routes nationales et départementales, les chemins, les routes forestières empierrées ou pavées, les chemins de fer et stations, les sentiers Denecourt-Colinet, les limites de la réserve artistique et les limites de la forêt. Les villes principales, les sentiers Denecourt-Colinet, et les limites de la forêt sont signalés en rouge. L'orographie (représentation du relief montagneux) de la forêt a été dessinée d'après le plan en relief de Paul Domet, sous-inspecteur des Forêts. Ancien militaire, Claude-François Denecourt (1788-1875) contribua grandement à faire connaître la forêt de Fontainebleau, dont il composa les premiers guides touristiques. Considéré comme le bienfaiteur de la forêt, il traça les sentiers, marqua les itinéraires des promeneurs et créa même des grottes artificielles, des tunnels et des passages souterrains. Le sylvain de Fontainebleau, comme le nommait Théophile Gautier, consacra quarante années de sa vie et une bonne partie de ses revenus à l’entretien de cette forêt. Il publia sa dernière carte en 1870. À sa mort en 1875, Charles Colinet, conducteur principal des Ponts et Chaussées, continua à entretenir et étendre le réseau de sentiers dans la forêt de Fontainebleau, sentiers qui portent aujourd'hui le nom de ""Denecourt-Colinet"". Il poursuivit la publication de la carte de la forêt de Fontainebleau, en y apportant des changements, notamment dans le tracé du polygone du champ de tir de l'école d'artillerie. Et tandis que la carte de Denecourt s'arrêtait à Chartrettes et à Achères, Colinet prolongea son édition jusqu'au château de Sainte-Assise et au Vaudoué. Bel exemplaire dans sa reliure éditeur. Journal L'Abeille de Fontainebleau. Feuille d'annonces légales de l'arrondissement, paraissant le vendredi, numéro 43 du 25 octobre 1878, article de A. Chennevière en page 2.
Compiègne, Dubois, [circa 1845]. En 18 sections montées sur toile et repliées, formant une carte de 532 x 687 mm.
Jolie carte de la forêt domaniale de Compiègne, dressée et dessinée par Charles Perint, architecte de la ville et de l'Arrondissement de Compiègne, et auteur de la Carte de l'Arrondissement de Compiègne, publiée en 1842. Elle a été lithographiée et finement aquarellée à l'époque par les frères Avril, et publiée vers 1840. Il existe une autre édition datée de 1846. Elle est ornée de trois vues du Palais de Compiègne, du château de Pierrefonds et de l'ancien monastère de Saint-Pïerre. Dans les marges figurent la liste des 278 carrefours de la forêt, la liste des villages, hameaux et principales habitations enclavés dans la forêt, devenus pour la plupart des habitations de gardes chefs au XIXe, et un bref descriptif du percement de la forêt. L'échelle et la légende des couleurs et symboles utilisés, sont ornées des bois d'un cerf. Les propriétés du Domaine de la Couronne sont aquarellées en rose, les propriétés particulières en jaune. L'octogone est aquarellé en rouge, les rivières et pièces d'eau en bleu. La carte figure également les routes royales, les routes macadamisées, les routes et chemins, et les lignes de chemins de fer. La Forêt de Compiègne, qui se nommait, avant 1546, Forêt de Cuise, était l'un des terrains de chasse favoris des rois. Son percement débuta sous le règne de Louis XIV, qui fit tracer le grand octogone et 54 routes de chasses. Il fut poursuivi et achevé par Louis XV et Louis XVI. En 1811, l'empereur Napoléon fit ouvrir, pour sa jeune épouse Marie-Louise, la grande et majestueuse allée des Beaux Monts. En 1839, la forêt comptait 338 routes et 278 carrefours, pour une superficie de 14,636 hectares et 45 ares. Bel exemplaire aquarellé à l'époque. L'Iconographe, Journal des imprimeurs lithographes et des marchands d'estampes, 1846, p. 5, 45 (édition datée de 1846).