Stock 1934 316 pages 19x12. 1934. Broché. 316 pages.
Reference : 132564
aspect sali. intérieur frais
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
Londres, 1814 in-4, 2 pp. sur double feuille, tranches dorées.
Lettre datée d'Harly street le 27 novembre 1814, du prince de Lieven ambassadeur de Russie à Londres, à son homologue français, concernant une invitation du Grand Duc NicolasPièce importante sur les efforts de rapprochement effectués entre la Restauration et la Russie."(...) Ce n'est qu'hier soir qu'il a été décidé que le Prince régent verrait ce matin la frégatte russe à Woolwich, et ce n'est que peu avant minuit que le grand Duc Nicolas me connût le soin de vous inviter à y venir ; il était trop tard pour que ce message put encore vous parvenir (...) Je n'ai cependant pas voulu vous laisser ignorer (...) le désir qu'avait S.A.S de vous recevoir à bord du navire russe (...)."Originaire de Livonie, le prince de Lieven (1770-1839) avait participé aux différentes campagnes de l'Empire Russe (Suède, Caucase) quand il fut appelé au service du Tsar. Il accompagna Alexandre à la bataille d'Austerlitz et à la signature de la paix de Tilsit. Lieutenant général en 1807, il fut nommé en décembre 1809 ambassadeur en Prusse. Alors que Napoléon préparait sa campagne contre la Russie, le prince de Lieven fut ensuite nommé ambassadeur à Londres, poste qu'il occupera jusqu'en 1834.Le salon de sa femme, née von Bekendorf, dans la capitale londonienne, fut éminemment réputé. Lieu où se côtoyer de grands personnages parmi lesquels on comptait Metternich, Wellington, le prince de Dino, Mme de Staël, le duc d'Orléans, il était le rendez-vous des hommes les plus avisés au point d'avoir joué un rôle politique important dans les transactions outre-manche.À l'occasion de la visite du Grand Duc, le prince de Lieven s'adresse ici au nouvel ambassadeur français Claude Louis, comte de La Châtre-Nançay. Émigré dès 1791, il avait participé comme propriétaire et colonel du régiment Loyal Emigrant, à toutes les campagnes des émigrés avant de devenir, en 1807, le représentant de Louis XVIII auprès du roi d'Angleterre. Rentré en France en 1814, il fut fait lieutenant général et officiellement nommé ambassadeur à Londres. L'année suivante il est fait duc. Il était en outre ministre d’Etat, membre du Conseil privé et premier gentilhomme de la chambre, chevalier des ordres et Grand d'Espagne. Il mourut au château de Meudon le 13 juillet 1824. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[MARLENE DIETRICH] PHOTOGRAPHE "ASSOCIATED PRESS PHOTO", 21 rue de Berri, Paris 8ème
Reference : 23830
(1951)
WASHINGTON 1951 une photographie originale albuminée en noir, DE MARLENE DIETRICH, RECEVANT A WASHINGTON LA LEGION D'HONNEUR DES MAINS DE MR HENRI BONNET AMBASSADEUR DE FRANCE - 8 OCTOBRE 1951 - , format : 18,2 x 12 cm , cachet en noir de l "ASSOCIATED PRESS PHOTO", 21 rue de Berri, Paris 8ème, au dos
L'Actice de cinéma Marlène DIETRICH a été faite chevalier de la légion d'Honneur, le 8 octobre, a Washington....Mr Henri BONNET, Ambassadeur de France lui a remis la médaille et le diplome, au cours d'une cérémonie a l'ambassade de france...Superbe Photographie ........en trés bon état (very good condition). en trés bon état
Paul CAMBON (1843-1924) - Diplomate français, ambassadeur de France à Madrid de 1886 à 1890, frère de Jules Cambon.
Reference : 8337
1 L.A.S. (175 x 113) 2 pages, à entête de l'Ambassade de France à Madrid, datée du 7 juillet 87, adressée à "Mon cher collègue ". Très bon état.
Demande qu'il lui envoie " le livre bleu distribué à la Chambre des députés italienne en 1886 sous le titre suivant : " Memoria sull'ordinamento politico-amministrativo e sulle condizioni economiche di Massua ".". Le bandeau "BOUQUINERIE AURORE" visible sur le scan n'est bien-sûr pas présent sur le document original, il n'a été placé ici que pour garder le caractère unique du document.
A Amsterdam, chez Pierre Mortier, 1695, dernière édition revue, corrigée & augmentée avec figures. 2 volumes reliés, plein maroquin, dos à nerfs, pièces de titre et filets dorés, 11 cm x 16 cm, 22 pages non paginées (épître et préface)+ 571 pages+ 68 pages non paginées de table des matières+ 175 pages, frontispice sur chaque volume, 5 gravures dépliantes hors-texte dans le premier volume dont la Place Saint-Marc et la Solemnité du Bucentaure. Texte de Amelot de la Houssaie. Manques aux dos sinon bon état intérieur. Edition à la composition complexe, bien complète de ses trois parties, qui peuvent cependant se rencontrer séparées.1. La première [volume I] renferme le texte propre d'Amelot, qui avait connu une première sortie en 1676, et avait valu à son auteur un petit séjour pédagogique à la Bastille, obtenu à la demande de l'ambassadeur de la Sérénissime, Giustiniani. - 2. La deuxième (première partie du volume II) regroupe essentiellement des pièces et des mémoires sur le long conflit que la République eut avec le pape Paul V au début du XVIIe siècle, et dans lequel s'illustra Paolo Sarpi (un de ses titres est d'ailleurs ici repris en abrégé, la Relation du différend du pape Paul V & de la République de Venise). - 3. La troisième forme la seconde suite, composée de mélanges, dont le principal est l'Examen de la liberté originaire de Venise, la thèse d'Amelot étant que, lorsque Venise était apparue sur la scène politique européenne, elle était soumise à la juridiction de l'Empereur (cf Fabrice Tessèdre)
Grasset, 1946 3 vol. in-8°, 461, 368 et 453 pp, brochés, bon état
Tome I (1870-1898) : L'établissement de la République, le protectorat tunisien, la régence en Espagne, la Turquie d'Abd Ul Hamid ; Tome II (1898-1911) : La tension franco-anglaise, l'Entente cordiale, les querelles allemandes, le coup d'Agadir ; Tome III (1912-1924) : Les guerres balkaniques, la Grande Guerre, l'organisation de la paix. — "... Le troisième tome concerne la période allant de 1912 à 1924, c'est-à-dire l'époque de la guerre mondiale d'alors avec ses préludes et ses conséquences. Le diplomate, de son poste d'observation britannique, et muni des antennes que lui procurent ses relations, surtout avec son frère M. Jules Cambon, ambassadeur à Berlin, juge hommes et choses avec un discernement supérieur. Il dénonce à mainte reprise l'inutilité ou la nocivité des palabres, l'incompétence brouillonne de tel ou tel homme politique, le « gâchis » de la Conférence d'où devait sortir, en 1919, une paix d'avance compromise. Ce sont leçons de politique internationale données, sous forme familière ou. familiale, par un maître de la grande école." (Henri du Passage, Etudes)