Tallandier 1931 290 pages in8. 1931. Broché. 290 pages.
Reference : 132094
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Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
Paris, Imprimerie nationale, 1791 in-8, 12 pp., dérelié.
Député de Rouen à la Constituante, Thouret fut rapporteur de la Constitution de 1791 devant le roi. Son travail législatif fut considérable (suppression des ordres religieux, abolition de tous les droits et privilèges du clergé, il fit décréter la division de la France en départements, etc.). Dans cette brochure, Thouret réaffirme que la Régence appartient au parent du roi le plus proche en degré après avoir prêté le serment civique. Tant que le Régent n'est pas entré dans l'exercice de ses fonctions, la sanction des lois demeure suspendue. Thouret se déclare contre la disposition de la Régence par le Corps législatif. Il lui serait trop facile de s'emparer du double pouvoir. Or, la liberté publique n'est garantie que par le contrepoids de l'indépendance du roi.Non cité par Martin & Walter. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris Henri Plon 1865 ( E. O. ) 2 tomes en 2 vol. in - 8 ( 23 x 14,5 cm ) Fx.t. , t. , 528 pp. + fx. t. , t; , 559 pp. . Avec Introduction ; Préface de l' auteur du Journal, Pièces justificatives in fine de chaque vol. , Appendice , Additions, Index alphabétique in fine du vol. II. . Demi-chagrin rouge . Dos à faux nerfs , caissons dorés , nom de l' auteur , titre et tomaison dorés . Plats percaline rouge avec triples encadrements à froid . Toutes tranches dorées . Gardes papier moiré . ( Reliure d' éditeur ) . Bon état . Qqs frottés aux mors . Qqs rousseurs .
Lorsque l' archiviste et historien Emile Campardon ( 1837 -1915 ) qui dirigeait la section judiciaire des Archives nationales s' intéressa au Journal de la Régence , il trouva des cartons contenant des papiers personnels de Jean BUVAT , notamment ses Mémoires , seule source le concernant . Dans son Introduction , E. Campardon établit donc une biographie de Jean Buvat tiré de ses Mémoires . Jean Buvat ( 1660 -1729 ) travailla à la Bibliothèque du Roi de 1697 à sa mort , d' abord comme copiste de Melchisédech Thévenot , puis comme écrivain chargé de transcrire sur des registres les fiches de classement de Clément de Toul . Dans ses Mémoires , Buvat parle ainsi de son Journal de la Régence : « Cest, dit-il, un mélange de faits historiques rapportés avec exactitude à mesure quils sont arrivés, dont la lecture ne peut que désennuyer, les rappeler aux contemporains et augmenter la curiosité de ceux qui leur succéderont. On se flatte quil ne manquera pas de procurer un prompt débit et un profit considérable à celui qui voudra en entreprendre limpression, moyennant une somme de quatre mille livres que le collecteur demande, payable à Paris par les mains dun banquier français, et quitte de tout change. On pourrait y faire des réflexions politiques sur les principaux événements, ce dont le collecteur a cru devoir se dispenser, et ajouter ce quon verrait y manquer, pour rendre cet ouvrage plus accompli : ce qui ne serait pas difficile à une personne instruite des affaires du temps et en pays de liberté. » (Campardon, Introduction , p. 13). Et à la fin de sa Préface du Journal ( p 35 ) , il ajoute : " Comme ce journal est à proprement parler une simple collection de faits et de pièces pour une histoire plus étendue et plus circonstanciée on s' est dispensé de faire aucune réflexion sur les divers événements qui se sont vus pendant la Régence , afin de laisser aux personnes habiles la liberté d' en faire de la manière qu' elles jugeront à propos . " Le Journal commence en août 1715 quelques jours avant la mort de Louis XIV et se termine en janvier 1724 , près d' un an après la majorité officielle de Louis XV et un mois après la mort du Régent.
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A Strasbourg, chez J.G. Treuttel, Libraire, et se trouve à Paris, chez Onfroy Libraire, rue St. Victor N° 11, 1791, 13 volumes in-8 de 210x130 mm environ, Mémoires du Règne de Louis XIV : Tome I. xxviii-220 pages, - Tome 2. 194 pages, - Tome 3. 192 pages, - Tome 4. 282 pages, - Tome 5. 258 pages (les cahiers L et M sont mélangés, sans manque), - Tome 6. 262 pages, - Mémoires de la Régence : Tome 7. 1. 252 pages, - Tome 8. 2. 260 pages, - Histoire des Hommes illustres : 9. I. 5ff. ( faux-titre, titre, table)-240 pages, - Tome 10. II. 4ff. (faux-titre, titre, table)-205 pages, - Tome 11. III. 4 ff. (faux-titre, titre, table)-207 pages, - Tome 12. IV. 4ff. (faux-titre, titre, table)-231 pages, - Tome 13 Traité de Politique : 4ff. (faux-titre, titre, table)-273 pages, demi basane havane, dos à 5 nerfs portant titres et tomaisons dorés, gardes marbrées, tranches finement mouchetées.Des rousseurs et pages brunies, quelques mouillures par endroits, petits défauts de marge sans atteinte au texte, frottements sur le cartonnage, cuir avec taches et galeries et petits trous de ver, un double du cahier N du tome 3 des Hommes illustres est relié par erreur entre les p. 190 et 191, les cahiers L et M sont mélangés (tome 5). Contient un tableau dépliant, sans le frontispice.
Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, est né à Paris le 16 janvier 1675 et mort le 2 mars 1755. Duc et pair de France, courtisan et mémorialiste, « espion sagace et fantasque de Versailles et des coulisses du pouvoir », c'est un témoin essentiel de la fin du règne de Louis XIV et de la Régence. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
P., Henri Plon, 1865, 2 vol. in-8°, 528 et 559 pp, index, reliures demi-chagrin lie-de-vin, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés (rel. de l'époque), qqs rares rousseurs, bon état
Edition originale de cette importante source pour l'histoire de la Régence, publiée avec une introduction et des notes par Emile Campardon. Ecrivain à la bibliothèque du roi, J. Buvat consigne les affaires politiques, les intrigues de la cour, les relations entre les nobles et les hommes de pouvoir, et des anecdotes relatives à l'actualité de l'époque. — "Longtemps, le Journal de la Régence a été distingué des autres chroniques contemporaines du fait du statut social de son auteur. Ce dernier, simple copiste à la Bibliothèque du Roi, se démarque en effet de ses collègues mémorialistes Barbier et Marais, tous deux avocats au Parlement. Cependant, la spécificité de son ouvrage tient surtout à la nature de son contenu qui ne correspond guère à la définition littéraire du journal. En effet, contrairement aux productions de Marais et de Barbier, le Journal de la Régence n'est pas un écrit intime, destiné tout au plus à un cercle restreint de familiers. Conçu comme un produit éditorial, il fut présenté par Buvat lui-même tantôt comme un « mélange », tantôt comme une « collection » visant à « rapporter tout ce qui s'est passé de plus considérable chaque jour ou à peu près ». S'interdisant toute appréciation personnelle sur les événements, ce dernier ne revendiqua d'ailleurs pas la qualité d'écrivain, mais celle, plus modeste, de « collecteur ». C'est ce rôle de second plan que s'attribue Buvat qui le distingue des autres chroniqueurs qui, eux, écrivirent au jour le jour pour exprimer et fixer les réflexions que leur inspiraient les « affaires du temps »..." (Patrice Peveri, Crime, histoire et sociétés, 1997)
Paris, Chez Baudouin, (1791) in-8, 16 pp., dérelié.
Le Comité de constitution s'interroge sur les raisons qui empêcheraient la régence de se tenir : le roi mineur ne dispose pas de parent le plus proche en ligne directe, maladie du Régent. D'autre part, le Comité pense que le pouvoir exécutif du régent doit être le même que celui laissé au roi. Ce serait plus simple et plus prudent.Martin &Walter, IV, 32626. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT