‎Palou Anthony‎
‎Camille‎

‎Bartillat 2000 141 pages 12 5cmx20cmx1 2cm. 2000. Broché. 141 pages. Un dimanche de mars vers neuf heures alors qu'il prenait son petit déjeuner - thé triscottes et confiture - le téléphone sonna. Personne ne l'appelait un dimanche à cette heure-là. Ses copains de fac dormaient le week-end jusqu'à midi ou cuvaient jusqu'à trois heures leurs 8/6 Bavaria du samedi soir. Marc entre deux gorgées de thé de Chine trop fort décrocha. C'était Camille. Elle lui proposait de déjeuner avec lui au resto U. Nantes les années 1980 l'accomplissement silencieux de destins tragiques‎

Reference : 127454


‎intérieur frais couverture assez salie bords haut 4e plat abimé‎

€4.00 (€4.00 )
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Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz

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‎CRON (François Camille).‎

Reference : 40879

(1989)

‎Souvenirs amers. Mémoires de François Camille Cron (1836-1902) déporté de la Commune en Nouvelle-Calédonie, suivis des pièces de son procès devant le IVe Conseil de Guerre à Versailles. ‎

‎Paris, Mercure de France, 1989. In-8 broché de 421-(6) pp. ‎


‎Texte établi et annoté par Philippe Venault et Philippe Blon. Le Quillec, 1238. ‎

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Phone number : 33 01 46 33 57 22

EUR20.00 (€20.00 )

‎PARIS Reine Marie‎

Reference : 19657

(1986)

‎Camille Claudel. 1864-1943.‎

‎ Edition Gallimard, 1986. 383 pages. Fort volume in/8, reliure toile éditeur sous jaquette illustrée, nombreuses planches en noir et en couleurs. Préface par Jean Grosjean, postface par Bernard Howells.‎


‎Le présent ouvrage es le fruit de plusieurs années de recherches dont la clarté de style et l'enthousiasme envers le personnage ne cède en rien à la vérité historique, l'auteur étant elle-même petite-fille de Paul Claudel, elle a eu accès à l'ensemble des archives familiales qui lui ont fourni quelques clés du destin passionnant et mystérieux de Camille Claudel. Son travail est augmenté d'une étude de F. Lhermitte et J. F. Allilaire psychiatres, et d'une postface de B. Howells, maître de conférence au King's College de Londres. ‎

Phone number : 04 78 30 94 84

EUR20.00 (€20.00 )

Reference : 7990

(1826)

‎Discours de Camille Jordan, précédés de son éloge par M. Ballanche, d'une lettre de M. le baron Degerando sur sa vie privée ; suivis de fragments inédits et des discours qui ont été prononcés sur sa tombe par MM. Royer-Collard et de Saint-Aulaire ; et ornés de son portrait et d'un fac-similé de son écriture.‎

‎Paris, Jules Renouard, 1826. In-8 de (4)-LX-367-(1) pp., demi-veau prune, dos à nerfs orné de filets dorés (reliure de l'époque). ‎


‎Édition originale. Elu député du Rhône au Conseil des Cinq-Cents, Jordan Camille (1771-1821) s'engagea en faveur de la liberté du culte et l'abrogation des lois de déportations des prêtres insermentés.1 portrait frontispice. Quelques rousseurs. ‎

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Phone number : 33 01 46 33 57 22

EUR150.00 (€150.00 )

‎BRYEN Camille‎

Reference : 23527

(1934)

‎LES QUADRUPEDES DE LA CHASSE, par Camille Bryen ; avec un collage de l'auteur‎

‎Paris Editions du Grenier 1934 in-12 broché un volume, broché marron (paperback) in-douze Editeur (16,5 x 12,7 cm), dos muet, 1ère de couverture imprimée en noir, toutes tranches non-rognées, orné d'un collage de l'Auteur contrecollé en frontispice, Couverture un peu usagée, intérieur en bon état, 45 pages, 1934 Paris, Editions du Grenier Editeur,‎


‎Camille Bryen, pseudonyme de Camille Briand, né à Nantes le 17 septembre 1907 et mort à Paris le 8 mai 1977 est un poète, peintre et graveur français. Dans les années 1925-1927, Camille Briand fait partie de la bohème nantaise, utilisant le pseudonyme d'« Aristide », sans doute par allusion à son illustre homonyme, lui aussi d'origine nantaise. Il apparaît notamment en couverture de la Revue nantaise d'avril 1927, portraituré par Henri Bouyer, avec le commentaire : "Type nantais, le Bohème Aristide". Camille Bryen s'installe peu après à Paris. Attiré par les surréalistes, il publie en 1927 un premier recueil de poèmes, Opopanax puis, en 1932, Expériences, mêlant poèmes, dessins et collages. Il présente en 1934 sa première exposition personnelle...........Note : ÉDITION ORIGINALE tirée à 500 ex. sur vélin numérotés de 56 à 555 (N°350), outre 55 ex. sur papier alfax-navarre + 5 ex. H.C. sur japon....... Bel exemplaire.....RARE......en bon état (good condition). bon état ‎

Phone number : 06 81 28 61 70

EUR120.00 (€120.00 )

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

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