Bartillat 2000 141 pages 12 5cmx20cmx1 2cm. 2000. Broché. 141 pages. Un dimanche de mars vers neuf heures alors qu'il prenait son petit déjeuner - thé triscottes et confiture - le téléphone sonna. Personne ne l'appelait un dimanche à cette heure-là. Ses copains de fac dormaient le week-end jusqu'à midi ou cuvaient jusqu'à trois heures leurs 8/6 Bavaria du samedi soir. Marc entre deux gorgées de thé de Chine trop fort décrocha. C'était Camille. Elle lui proposait de déjeuner avec lui au resto U. Nantes les années 1980 l'accomplissement silencieux de destins tragiques
Reference : 127454
intérieur frais couverture assez salie bords haut 4e plat abimé
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
Pavane Records CD 1998 "1 CD ""Camille Saint-Saëns - Works for Cello and Piano"" interprété par Luc Tooten (violoncelle) et Benjamin Rawitz (piano) ; cet album comprend : Sonate n°1 opus 32 - Allegro appassionato op. 43 - Le Cygne / The Swan - Sonate n°2 opus 123 ; traces d'étiquette et quelques marques de frottement sur le boîtier, quelques petites traces sur le CD, par ailleurs bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
Imprimerie commerciale de Bretagne Dos agrafé 1935 In-8, (13.5x22 cm), dos agrafé, non paginé (une trentaine de pages), les bardes et poètes nationaux de la Bretagne armoricaine ; le hymnes nationaux des peuples celtiques ; la chanson des siècles bretons ; la tragédie bretonne des quatre fils Aymon; jaquette légèrement jaunie, assez bon état Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris, Ebrard, 1836. 1836 1 vol in-12° ( 220 x 142 mm) de: [2] ff (titre, faux titre), IV pp (préface), 248 pp, 1 portrait frontispice gravé et 1 grande planche dépliante "Tableau de fac-simile des principaux personnages de la révolution de 1789". ( quelques taches ou traces de mouillures). Brochage éditeur, couverture imprimée de papier jaune. (défauts d'usage, salissures).
Très rare publication réunissant une correspondance inédite du célèbre journaliste et révolutionnaire Camille Desmoulins. Camille Desmoulins (1760 1794) est un homme de lettres, un avocat, un journaliste et un révolutionnaire français. Figure majeure de la Révolution française, ami de Maximilien de Robespierre, il fut surnommé le « Cicéron bègue » par François-René de Chateaubriand car reconnu pour son art oratoire, il était atteint de troubles de l'élocution. Emporté par la tourmente révolutionnaire, Il meurt guillotiné le 5 avril 1794. Dans sa préface, M. Matton, qui réuni et édite ces lettres, écrit (P. 29) « Camille Desmoulins n'était pas, comme on l'a dit et répété tant de fois, un furieux démagogue; à la vérité, le plaisir que lui causait notre régénération politique l'avait rendu enthousiaste; mais que cet enthousiasme est louable! c'est celui d'un bon Français, qui, loin d'un lâche et sordide égoïsme, ne vit que du bonheur de ses concitoyens. La république était le seul mobile de toutes ses actions, c'était un centre auquel il rapportait tout ; il avait une telle horreur pour les contre-révolutionnaires et les traitres, qu'il les aurait volontiers dénoncés à toute la terre ; mais il n'a jamais demandé la mort de personne. Lorsqu'il vit des échafauds se dresser sur toute la France, il voulut rétablir l'ordre, rendre à la Convention son indépendance, arrêter l'action du tribunal révolutionnaire, vider les prisons des suspects qui les remplissaient, et organiser un comité de clémence et de justice, persuadé que c'était le seul moyen de rendre la paix à son pays et dabattre pour toujours la tyrannie odieuse et sanguinaire qui le désolait » Dans cette correspondance figure des lettres à sa famille, son père, sa femme Lucile Duplessis ainsi quaux principaux acteurs politique de lépoque : Mirabeau, Marat, Robespierre, Danton, Saint Just, Cambon, de Guffroy Beau portrait de Camille Desmoulins face au titre gravé daprès un original de Beze fait à la Conciergerie en 1794. Planche dépliante reproduisant lécriture et les signatures des correspondants. Précieux exemplaire conservé dans son état dorigine et à toutes marges. 1 vol in-12° (220 x 142 mm) of: [2] ff (title, half-title), IV pp (preface), 248 pp, 1 engraved frontispiece portrait and 1 large folding plate "Facsimile table of the main figures of the revolution of 1789". (some stains or traces of dampness). Publisher's cover printed with yellow paper. (usage defects, soiling). A very rare publication bringing together unpublished correspondence from the famous journalist and revolutionary Camille Desmoulins. Camille Desmoulins (17601794) was a French man of letters, lawyer, journalist, and revolutionary. A major figure in the French Revolution and a friend of Maximilien de Robespierre, he was nicknamed the "Stuttering Cicero" by François-René de Chateaubriand because, renowned for his oratory, he suffered from a speech impediment. Swept up in the revolutionary turmoil, he was guillotined on April 5, 1794. In his preface, M. Matton, who collected and edited these letters, writes (p. 29): "Camille Desmoulins was not, as has been said and repeated so many times, a furious demagogue; in truth, the pleasure our political regeneration gave him had made him enthusiastic; but how laudable this enthusiasm is!" it is that of a good Frenchman, who, far from a cowardly and sordid egoism, lives only for the happiness of his fellow citizens. The republic was the sole motive of all his actions, it was a center to which he attributed everything; he had such a horror for counter-revolutionaries and traitors, that he would have willingly denounced them to the whole earth; but he never asked for anyone's death. When he saw scaffolds being erected all over France, he wanted to restore order, restore the Convention's independence, halt the work of the Revolutionary Tribunal, empty the prisons of the suspects who filled them, and organize a committee of clemency and justice, convinced that this was the only way to restore peace to his country and to forever overthrow the odious and bloody tyranny that was devastating it..." This correspondence includes letters to his family, his father, his wife Lucile Duplessis, as well as to the main political figures of the time: Mirabeau, Marat, Robespierre, Danton, Saint-Just, Cambon, de Guffroy, etc. A beautiful portrait of Camille Desmoulins facing the title page, engraved after an original by Beze made at the Conciergerie in 1794. A folding plate reproducing the handwriting and signatures of the correspondents. A precious copy preserved in its original condition and with all margins.
Paris Editions du Grenier 1934 in-12 broché un volume, broché marron (paperback) in-douze Editeur (16,5 x 12,7 cm), dos muet, 1ère de couverture imprimée en noir, toutes tranches non-rognées, orné d'un collage de l'Auteur contrecollé en frontispice, Couverture un peu usagée, intérieur en bon état, 45 pages, 1934 Paris, Editions du Grenier Editeur,
Camille Bryen, pseudonyme de Camille Briand, né à Nantes le 17 septembre 1907 et mort à Paris le 8 mai 1977 est un poète, peintre et graveur français. Dans les années 1925-1927, Camille Briand fait partie de la bohème nantaise, utilisant le pseudonyme d'« Aristide », sans doute par allusion à son illustre homonyme, lui aussi d'origine nantaise. Il apparaît notamment en couverture de la Revue nantaise d'avril 1927, portraituré par Henri Bouyer, avec le commentaire : "Type nantais, le Bohème Aristide". Camille Bryen s'installe peu après à Paris. Attiré par les surréalistes, il publie en 1927 un premier recueil de poèmes, Opopanax puis, en 1932, Expériences, mêlant poèmes, dessins et collages. Il présente en 1934 sa première exposition personnelle...........Note : ÉDITION ORIGINALE tirée à 500 ex. sur vélin numérotés de 56 à 555 (N°350), outre 55 ex. sur papier alfax-navarre + 5 ex. H.C. sur japon....... Bel exemplaire.....RARE......en bon état (good condition). bon état
1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...