Ferenczi 1949 192 pages in8. 1949. broché. 192 pages.
Reference : 112101
bas du dos un peu abimé pages jaunies
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
Paris, se vend au théâtre de l'Ambigu-Comique, 1802 71 pages. (20,5x12,5 Cm). Dérelié. La pièce de théâtre La Femme à deux maris est un mélodrame écrit par René-Charles Guilbert de Pixerécourt, un auteur célèbre pour ses mélodrames populaires au début du XIXe siècle. Elle a été présentée pour la première fois le 27 fructidor an X du calendrier républicain français, ce qui correspond au 14 septembre 1802 dans le calendrier grégorien. Bien que peu de détails précis sur l'intrigue soient disponibles, le titre La Femme à deux maris suggère une situation dramatique impliquant un conflit conjugal ou un cas d’identité et de fidélité, un thème fréquent chez Pixerécourt. Les mélodrames de Pixerécourt, y compris La Femme à deux maris, ont rencontré un grand succès en raison de leur capacité à émouvoir et à captiver le public avec des situations extrêmes et morales.
Ferenczi. 1949. In-8. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos abîmé, Intérieur frais. 192 pages. Premier plat désolidarisé. Dos et 2ème plat manquants.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
IMP. DE M. HAYEZ. 1824. In-18. Relié demi-cuir. Bon état, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 265 pages. Titre, filets et tomaison dorés sur demi-basané bleu nuit. Coupes des plats frottées.. . . . Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle
Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle
Paris, Charpentier, 1839. 2 volumes In-12 en demi-basane rouge au dos lisse orné de filets dorés. 1 f. blanc, 2 ff, 317 pp, 1f. de table, 1 f. blanc. 1 f. blanc, 2 ff, 332 pp, 1 f. de table, 1 f. blanc. 1ère édition in-12. Dos passés, petits frottements aux coins, rousseurs et papier bruni en marge.
"Texte remanié de plus en plus recherché et à fort juste titre". Cf Clouzot page 22.