‎Destutt de tracy‎
‎Commentaire sur l'esprit des lois de Montesquieu‎

‎Élémens d'Idéologie. [Suivi de:] Commentaire sur l'Esprit des lois de Montesquieu.‎

‎Paris, Madame Levi, 1825-1828. I. Idéologie, 1827. XXXVI-327-(2) pp. ; II. Grammaire, 1825. XII-310-(2) pp. 2 tableaux repliés ; III. Tome premier de la Logique, 1825. 472 pp. ; IV. Tome deuxième de la Logique, 1825. 399 pp. 1 tableau replié ; V. Traité de la volonté et de ses effets, 1826. VI-XII-(2)-401 pp. VI. Commentaire sur l'esprit des lois de Montesquieu, 1828. XV-437 pp.6 volumes petit in-12, demi-veau fauve, dos orné à nerfs, pièces de titre et de tomaison en maroquin vert, tranches marbrées (reliure de l'époque). ‎

‎Édition complète des cinq parties à l'adresse de Madame Lévi Quai des Augustins à Paris, publiée une dizaine d'années après l'achèvement de la publication, suivie à la même adresse de Commentaire sur l'Esprit des lois de Montesquieu. Destutt de Tracy (1754-1836) fut le fondateur de l'école dite des "Idéologues" et le créateur du mot "Idéologie" qui définit dès lors une discipline et une doctrine commune à un certain nombre de penseurs. Les Éléments d'Idéologie dont les parties furent publiées séparément entre 1801 et 1815, devaient servir de manuel destiné aux enseignants des écoles centrales crées par la Convention. « Le Commentaire sur L'Esprit des Lois fut le principal ouvrage de l'auteur écrit en 1806 à la demande du président des États-Unis Jefferson, et publié en 1811 aux États-Unis puis à Liège avant d'être édité à Paris chez Desoer en 1819. Constituant, idéologue, emprisonné durant la Terreur, sénateur de l'Empire, pair de France sous la Restauration, académicien, Tracy incarne aux cotés de son ami Lafayette le prototype du libéralisme nobiliaire féru du modèle américain dont il a été, une génération avant Tocqueville, l'un des promoteurs essentiels en affirmant sa supériorité sur le gouvernement anglais, véritable paradis constitutionnel pour la majorité des libéraux français des années 1815-48. L'analyse et la réfutation du maître ouvrage de Montesquieu, bréviaire de tous les libéraux, lui permet de s'en distinguer nettement en indiquant sa préférence purement théorique, pour le gouvernement républicain tel qu'il est pratiqué outre atlantique. Il admet, en effet, à l'instar de Constant et Guizot, que la monarchie constitutionnelle reste la forme de gouvernement la mieux adaptée à l'état présent de la France car l'instauration de la démocratie présuppose une généralisation de l'éducation qui est encore loin d'être accomplie. » (Benoît Yvert, Politique libérale, 26). Rousseurs passim sinon bel exemplaire en reliure d'époque.Bourquelot III, p. 251, 7. ‎

‎COMMENTAIRE SUR L'ESPRIT DES LOIS DE MONTESQUIEU - SUIVI D'OBSERVATION INEDITES DE CONDORCET SUR LE 29° LIVRE DU MEME OUVRAGE‎

‎DELAUNAY. 1819. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 476 pages.. . . . Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle‎

‎L'esprit des lois de Montesquieu, des lois en général, des lois qui dérivent directement de la nature du gouvernement, de principes des trois gouvernemens, que les lois de l'éducation doivent être relatives au principe du gouvernement. Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle‎

‎Commentaire sur l'esprit des lois de Montesquieu, suivi d'observations inédites de Condorcet sur le vingt-neuvième livre du même ouvrage et d'un mémoire sur cette question: Quels sont les moyens de fonder la morale d'un peuple, écrit et publié par l'auteur du commentaire de l'esprit des lois en 1798 (an VI)‎

‎ 1819 Paris, chez Théodor Desoer, juillet 1819, volume in-8 relié demi basane rouge, XV-480 pages, dos à 4 nerfs orné de liserets et fleurons dorés, titre doré, très bon état‎

‎COMMENTAIRE SUR L’ESPRIT DES LOIS DE MONTESQUIEU; PAR M. LE CTE DESTUTT DE TRACY, PAIR DE FRANCE, MEMBRE DE L'INSTITUT DE FRANCE ET DE LA SOCIETE PHILOSOPHIQUE DE PHILADELPHIE; SUIVI D’OBSERVATIONS INEDITES DE CONDORCET, SUR LE VINGT-NEUVIEME LIVRE DU MEME OUVRAGE, ET D’UN MEMOIRE SUR CETTE QUESTION: QUELS SONT LES MOYENS DE FONDER LA MORALE D’UN PEUPLE ? ECRIT ET PUBLIE PAR L’AUTEUR DU COMMENTAIRE DE L’ESPRIT DES LOIS EN 1798 (AN VI).‎

‎A PARIS. CHEZ THEODORE DESOER, LIBRAIRE. JUILLET 1819. IN-8 BROCHE (14 X 21,5 X 4 CENTIMETRES ENVIRON) DE XV + (1 BL) ET 480 PAGES, SOUS COUVERTURE MUETTE D’ORIGINE. BON EXEMPLAIRE, «DANS SON JUS», TEL QUE PARU.‎

‎Commentaire sur l'Esprit des Lois de Montesquieu‎

‎Théodore Desoer Paris 1819 In-8 ( 215x130 mm ) de XV et 480 pages, pleine basane brune marbrée, dos lisse orné de fers, filets et guirlandes dorés, titre doré sur pièce de basane verte, tranches marbrées.Suivi d'Observations inédites de CONDORCET, sur le vingt-neuvième Livre du même ouvrage et d'un Mémoire sur cette question : Quels sont les moyens de fonder la Morale d'un peuple ? Ecrit et publié par l'auteur du Commentaire de l'Esprit des Lois en 1798 ( an VI )‎