‎Strindberg Auguste‎
‎L'abbaye‎

‎abbaye de Marchiennes milieu VIIe - d but XIIIe si cle. Du monast re familial l'abbaye b n dictine d'hommes : histoire et chartes‎

‎, Brepols, 2022 Hardback, 485 pages, Size:156 x 234 mm, Illustrations:15 tables b/w., 2 tables col., 1 maps b/w, Language: French. ISBN 9782503594729.‎

‎Summary L'abbaye de Marchiennes, l'un des quatre monast res b n dictins install s sur les bords de la Scarpe, aux confins de la Flandre et du Hainaut, est l'origine un monast re familial avec une double communaut d'hommes et de femmes, fond vers 630/640 par saint Amand et confi Rictrude, veuve de l'aristocrate franc Adalbald. partir de 1024/25, apr s l'expulsion des moniales, Marchiennes sort v ritablement de l'obscurit . Essor et volution peuvent tre reconstitu s gr ce une production crite substantielle et vari e (r cits narratifs et hagiographiques, n crologe, coutumier, biblioth que, chartes et cartulaires) laquelle se joint un souci pr coce de conservation. La pr sente dition de 124 chartes (72% d'originaux), quatre annexes et le recours d'autres sources servent d'appui une introduction historique. Celle-ci permet de pr senter les temps obscurs puis la vitalit de la communaut : affermissement du temporel (donations, r cup rations, confirmations la ques et eccl siastiques), d veloppement d'un vaste r seau social (comtes de Flandre, de Hainaut, aristocratie, v ques d'Arras, Cambrai, Th rouanne, Tournai), rayonnement intellectuel et spirituel (r seau de confraternit s, scriptorium actif). Au-del des donations, des contestations et des confirmations pr cieuses pour l'histoire rurale et sociale, quelques chartes livrent de discr tes mais suggestives informations sur la vie de la communaut . Ce dynamisme n'est pas isol et prend toute sa dimension en le reliant celui des autres monast res b n dictins voisins, la toute puissante Anchin, la v n rable Saint-Amand et, dans une mesure moindre, Hasnon. L'abbaye de Marchiennes participe pleinement la forte emprise monastique de la vall e de la Scarpe, v ritable boulevard des moines. TABLE OF CONTENTS Avant-propos Liste des sigles et titres abr ges Bibliographie PREMI RE PARTIE : L'ABBAYE DE MARCHIENNES DES ORIGINES (MILIEU VIIE) AU D BUT XIIIE SI CLE Le temps du monast re double (VIIe- d but XIe si cle) La fondation du monast re : le d licat d cryptage des sources La mainmise carolingienne sur le monast re Un obscur Xe si cle D'une r forme l'autre (XIe- premi re moiti du XIIe si cle) La r forme de Richard de Saint-Vanne et ses effets Marchiennes (1024) L'abbaye menac e de disparition : l'abbatiat de Fulcard (1103-1115) L'intervention de l'abbaye d'Anchin dans la r forme marchiennoise du XIIe si cle. Le temps de l' panouissement (seconde moiti du XIIe si cle) La communaut monastique : composition et organisation Stabilisation et valuation du temporel de l'abbaye Les manifestations du dynamisme Conclusion DEUXI ME PARTIE : LES CHARTES DE L'ABBAYE DE MARCHIENNES Pr sentation du chartrier de l'abbaye de Marchiennes Classement chronologiqueClassement par type de document Classement par auteur Les cartulaires de Marchiennes dition des chartes Annexes Liste abbatiale Le lignage seigneurial des Landas Les cours de l'abbaye de Marchiennes au XIIe si cle Cons crations d'autels et reliques l'abbaye de Marchiennes Index des chartes Liste des tableaux et graphiques‎

‎"DOM TOUSTAIN DOM TASSIN HISTOIRE DE L'ABBAÏE [ABBAYE] SAINT VANDRILLE Abbaye de Saint-Wandrille: 1936, broché, fort in 8°, depuis l'an 1604 jusqu'en 1734, 433 pp., non coupées, couverture défraîchie, un plan de l'abbaye. ""L'abbaye Saint-Wandrille, anciennement abbaye de Fontenelle, est une abbaye bénédictine de la congrégation de Solesmes située sur la commune de Rives-en-Seine, ancienne commune de Saint-Wandrille-Rançon, dans le département de la Seine-Maritime, en Normandie. Fondée en 649, l'abbaye a connu une longue histoire marquée par trois grandes périodes de saccages et de destructions : celles liées aux incursions des Vikings, puis celles engendrées par les guerres de religion, et enfin celles consécutives à la Révolution française. C'est encore aujourd'hui une abbaye de moines bénédictins.""."‎

‎La bénédictine de l'ancienne abbaye de Fécamp. 80 illustrations d’après nature. ‎

‎Rouan, Le Cerf et Fils, 1905, gr. in-folio, 4 ff. (dont le frontispice-portrait de ‘A. Le Grand Ainé. Fondateur de ‘La Bénédictine’, titre avec blason en couleur des armoiries de l’Abbaye) + 48 p. avec 80 magnifiques ill., dont 24 hors texte (vues d’ensemble et détails de l’abbaye, du musée et de la distillerie), exemplaire n. 644 offert à ‘Monsieur Marius Reinewald Soldat du Service des G.V.C. attaché au Bureau du Capitaine (ms.)’. Par la Société de la ‘Bénédictine’ à Fécamp. Sur la même page une note ms. ajoute: ‘Souvenir amical de ton Capitaine, Bréauté-Beuzeville le 19 Novembre 1914. Pierre Defraud’. reliure en percaline verte d’éditeur, décor polychrome rouge, vert, blanc et or de Jules Adeline, représentant l’abbaye de Fécamp avec blason et gerbe d’herbes, tranche sup. rouge. Bel exemplaire.‎

‎Bel exemplaire de cette somptueuse plaquette à la gloire de la bénédictine de l'abbaye de Fécamp. Nombreuses illustrations photographiques en noir dans le texte et hors texte. Ce très intéressant et magnifique ouvrage sur la liqueur ‘Bénédictine’ contient les chapitres suivants: L’abbaye de Fécamp / Le musée de la Bénédictine / La distillerie de la Bénédictine.La fabuleuse histoire de la Bénédictine commence à la Renaissance lorsqu'un moine vénitien, Dom Bernardo Vincelli, crée à l'Abbaye de Fécamp un élixir à base de 27 plantes et épices originaires des 4 coins du monde.Très apprécié à la cour du roi François 1er, l'élixir devenu célèbre est produit par les moines bénédictins jusqu'à la fin du XVIIIe siècle. Mais, vers 1789, dans la tourmente de la Révolution française, la recette manque d'être perdue à jamais… Le manuscrit du XVIème siècle contenant la formule de l'élixir est acheté par un notable de Fécamp en 1791. Ignorant le secret qu'il contient, il le range dans sa bibliothèque et l'oublie… En 1863, Alexandre Le Grand, lointain descendant de ce dernier, tombe par hasard sur le grimoire et y découvre la recette secrète. Aussitôt, il décide de la déchiffrer afin d'élaborer cette mystérieuse liqueur. A force d'acharnement, il réussit à la recréer; il la modernise et la baptise "Bénédictine". La liqueur devient rapidement très populaire : en 1873, la production atteint près de 150 000 bouteilles. Compte tenu de son succès, Alexandre Le Grand décide de créer la société Bénédictine SA, en juin 1876, au capital de 2 200 000 francs. En 1882, Alexandre Le Grand choisit de faire construire à Fécamp un lieu unique pour abriter la distillerie : un Palais-Musée. C'est dans cet endroit extraordinaire que l'on élabore encore aujourd'hui la fameuse liqueur. (benedictine.fr).Les images et les planches h.-t. montrent, par exemple, de très belles prises photographiques de l’architecture du château (l’abbaye), les intérieurs du musée, des bouteilles, des alambics, le laboratoire, des ouvriers et des ouvrières (des enfants également) au travail dans la salle d’étiquetage et dans la scierie mécanique pour la fabrication des caisses. Image disp.‎

‎Chanoines r guliers et soci t s m ridionales. L'abbaye de Saint-Ruf et ses prieur s dans le sud-est de la France (XIe-XIVe si cle)‎

‎, Brepols, 2019 Hardback, 1060 pages, Size:178 x 254 mm, Language: French. ISBN 9782503552859.‎

‎Summary C'est surtout partir de l'abbaye de Saint-Ruf d'Avignon qu'est diffus , dans le Midi de la France et la Catalogne la fin du XIe si cle, le mod le des chanoines r guliers, soit la vie commune du clerg sans propri t personnelle, l'exemple des Ap tres J rusalem. Des coutumiers, des chartriers et des cartulaires permettent d' crire l'histoire du r seau des prieur s de l'abbaye de Saint-Ruf au coeur de sa zone d'influence, de part et d'autre du Rh ne, jusqu' Lyon. A l' chelon sup rieur, son influence repose sur le soutien des v ques soucieux de la pastorale et du service des glises de leur dioc se, et sur le soutien de certaines grandes maisons princi res. A l' chelon local, les fonctions paroissiales et m morielles des prieur s nourrissent un enracinement spirituel, conomique et social. La coh sion de la congr gation est sauvegard e par un chapitre g n ral qui r glemente son fonctionnement conomique, facilitant probablement un tournant rentier dans la gestion des offices et des prieur s la fin du XIIIe si cle. La permanence de liens entre prieur s et lites locales est confirm e par l'exploitation d'un fichier de 300 chanoines environ. TABLE OF CONTENTS Introduction PREMIERE PARTIE : Saint-Ruf et le Midi de la France : un p le de la r forme canoniale et son influence (XIe-milieu du XIIe si cle) Chapitre premier. Saint-Ruf, la naissance et l'expansion d'un foyer de la r forme canoniale (1039-vers 1158) I - Une exp rience religieuse dans l' glise d'Avignon II - La constitution du r seau des prieur s de Saint-Ruf III - L'influence de Saint-Ruf sur les autres congr gations canoniales Chapitre II. Saint-Ruf et les fondements normatifs de la r forme canoniale : dossiers d'autorit s, dossier augustinien, coutumes I - Les fondements de l'observance et de la spiritualit de Saint-Ruf II - Des promoteurs de l'ordo antiquus III - Les coutumes de Saint-Ruf Chapitre III. Organiser une congr gation canoniale I - L'abb , le monast re et les prieur s jusqu'au milieu du XIIe si cle d'apr s les coutumiers II - Le r le du pape et des v ques dans l'organisation institutionnelle de Saint-Ruf III - Le gouvernement de la congr gation au milieu du XIIe si cle : une r organisation limit e DEUXIEME PARTIE : Implantations canoniales et soci t s m ridionales (d but du XIIe-d but du XIIIe si cle) Chapitre premier. D'Avignon Valence, les destin es d'un chef d'ordre I - Le chef d'ordre et la culture canoniale II - Le transfert Valence dans l'histoire de Saint-Ruf et du Valentinois III - L'installation de Saint-Ruf Valence Chapitre II. Des clercs au service de l'Eglise I - Pastorale et cura animarum Saint-Ruf II - Ev ques et chanoines r guliers Chapitre III. L'inscription des prieur s dans leur environnement social et spatial I - Le soutien aristocratique et ses limites II - Les prieur s et leurs espaces III - Relations spirituelles, relations conomiques TROISIEME PARTIE : Enracinement et p rennisation d'un r seau canonial (XIIIe si cle - milieu du XIVe si cle) Chapitre premier. Un r seau canonial l'heure de la centralisation pontificale I - La papaut et l'abbaye de Saint-Ruf du d but du XIIIe si cle au milieu du XIVe si cle II - Les hommes et la m canique institutionnelle Chapitre II. Economie d'une congr gation canoniale I - Des prescriptions de la R gle l'organisation d'une conomie conventuelle II - Gouvernement et rapports conomiques dans la congr gation Chapitre III. Les ressources de l'abbaye et des prieur s I - Les ressources du chef d'ordre II - L'in gal dynamisme conomique des prieur s III - Les chanoines de Saint-Ruf et l' conomie paroissiale Chapitre IV. Un poids local plus discret ? I - Saint-Ruf et les mutations de l'encadrement religieux II - L' environnement social de l'abbaye et de ses prieur s aux XIIIe et XIVe si cles Conclusion Annexes Le coutumier du chapitre g n ral de Saint-Ruf I - Pr sentation II - Edition Actes in dits du chartrier de l'abbaye de l'Epervi re Regeste n 1 : l'abbaye de l'Epervi re, Valence I - Liste des abb s et des principaux officiers II - Regeste Regeste n 2 : le prieur de La Plati re, Lyon I - Liste des prieurs, des sacristes et des cur s de La Plati re II - Regeste Les lieux de culte d tenus par Saint-Ruf dans le sud-est de la France I - Le statut des lieux de culte au d but du XIIIe si cle II - Les prieur s apparus au XIIIe si cle et dans la premi re moiti du XIVe si cle Les chanoines de Saint-Ruf : l ments pour une prosopographie (1250-1362) I - Abb s (par ordre chronologique) II - Chanoines connus par leur patronyme Sources et bibliographie Index Table des cartes, figures et tableaux‎

‎Les Cahiers Haut-marnais :Morimond et son Empire - Journées d'art et d'histoire 1992.Morimond européenne : de l'Ebre à l'Elbe, par M. PARISSE.Parole et communication dans l'Apologie à Guillaume de saint Bernard, par P. DAUTREY.Morimond et la conversio des femmes au XIIe siècle, par B. CHAUVIN.. Belfays, abbaye cistercienne féminine dans l'orbite de Morimond (vers 1140?-1393).. Chezoy, abbaye féminine intégrée par Morimond à Belfays (vers 1165).. Beaucharmoy, communauté féminine inconnue dans le sillage de Morimond (1180?-1185?).Les travaux de ferronnerie exécutés au début du XVIIIe siècle par le franc-comtois Nicolas Chapuis à l'abbaye de Morimond, par le Dr H. RONOT.Les revenus de l'abbaye de Morimond vers 1760, par G. VIARD.Le site de l'abbaye de Morimond : état des connaissances historiques et archéologiques, par O. WEETS.Kaisheim, Maulbronn et Salem : trois abbayes-filles de l'abbaye de Morimond, par I. EBERL.La filiation de Morimond en Italie et l'activité du scriptorium de l'abbaye de Morimondo, par F. VILLA.Une abbaye de la filiation de Morimond dans la lagune vénitienne : Saint-Thomas-des-Bourguignons (San Tommaso dei Borgognoni), par G. VOLTOLINA.‎

‎ 1624 broché - 16 x24 - page 1 à 215 - 1er et 2e semestres 1994 - N° 196-199‎