Le Seuil 1999 92 pages 11x19x1cm. 1999. Broché. 92 pages.
Reference : 100051238
ISBN : 2020375044
proche du neuf
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
Paris. Editions du Seuil. 1985. In-8. Br. Dédicace d'un des auteurs. BE.
Editions Inter-Nationales.1949.In-8 br.225 p.Photos.Dédicace de l'Auteur.Etat moyen.Couv. et certaines pages brunies.Qques rousseurs.
Paris, Seuil, 1985. Coll. "Le Don des Langues". In-8 broché, 265 p. Correspondance rassemblée, présentée et annotée par Gilles Manceron. Portraits des 2 auteurs en frontispice. Très bon état.
JC Lattès, 1980, in-8°, 424 pp, traduit de l'anglais, notes, broché, bon état
"La plus incroyable affaire d'espionnage des temps modernes – McLean, Burgess, Philby, Blunt : 50 ans de manipulations des services secrets britanniques par le KGB – Le livre qui a révélé l'espion de la Reine." — "En mars 1934, les agents du Komintern recrutent un jeune homosexuel à l'intelligence brillante, adulé par ses condisciples : Guy Burgess. C'est dans un des plus prestigieux sanctuaires de l'élite intellectuelle britannique qu'ils sont allés le chercher : l'université de Cambridge. Ainsi débute l'affaire d'espionnage la plus importante du siècle. Un climat de trahison, du journaliste et biographe anglais Andrew Boyle, est le récit minutieux, remarquablement documenté, de cet épisode secret de la guerre froide. Véritable enquête policière, la première édition de l'ouvrage a obligé le gouvernement conservateur de Margaret Thatcher à démasquer officiellement le plus ancien complice de Guy Burgess, Sir Anthony Blunt, membre de l'entourage de la famille royale et critique d'art réputé : après la défection de Philby au début des années 60, il avait préféré passer aux aveux plutôt que de s'exiler en URSS, et les services secrets anglais lui accordèrent l'immunité pour éviter le scandale. Mais Andrew Boyle est mieux qu'un nouveau Sherlock Holmes : c'est tout le climat d'une époque qu'il fait transparaître, celui du fragile Occident démocratique des années trente, confronté aux deux monstres issus de la première guerre mondiale et de la grande crise : le fascisme et le stalinisme..." (Alexis Lecaye, Le Monde, 11 juillet 1980) — La conspiration de Cambridge ou la trahison de quatre mousquetaires, purs produits de l'enseignement haut de gamme britannique: Philby, Mac Lean, Burgess et Blunt. L'ouvrage est dense, il révéle la trahison de Blunt, longtemps gardée secrète. Comment ce dernier, fils de pasteur anobli, conseiller artistique de la reine, spécialiste éminent de Poussin et du baroque italien, a-t-il pu lier partie avec les services secrets de Staline et faire office de recruteur d'agents doubles au service du KGB. La grande force de cet ouvrage, c'est de nous restituer toute cette ambiance passée, ces réseaux estudiantins et mondains, joyeusement décadents et gangrénés, ce qu'Arthur Boyle dénomme un climat de trahison. (liberliger) — L'« affaire Blunt » éclate officiellement en novembre 1979, quand la presse britannique révèle que Sir Anthony Blunt (1907-1983), l'un des plus grands historiens d'art de son temps, "redécouvreur" de Poussin et inspecteur des tableaux de la collection royale, a servi les intérêts de l'Union soviétique. Les Français connaissaient les célèbres espions Burgess, MacLean et Philby, mais il manquait à ce trio un chaînon sans lequel la trahison au profit de l'Est de ces trois gentlemen issus de Cambridge aurait gardé son mystère. En 1939, Blunt est déjà une autorité en matière de peinture. Promis au plus bel avenir au sein de l'élite britannique, il va cependant devenir espion au profit de l'URSS durant les années de guerre, tandis qu'il travaillera pour le MI5 (Military Intelligence), le contre-espionnage britannique. Outre livrer des informations aux Soviétiques, il s'emploiera à couvrir d'autres agents sur lesquels pèse le soupçon. Après la victoire des Alliés, il est chargé par Georges VI de récupérer en Allemagne un dossier compromettant sur le "philonazisme" du duc de Windsor, ex-Edouard VIII, et devient inspecteur des tableaux de la collection royale puis directeur de l'illustre Institut Courtauld. La carrière prestigieuse de ce membre à part entière de l'establishment ne sera pas brisée lorsque, en 1964, il acceptera de passer aux aveux sur ses activités d'espion et celles de ses "complices" en échange d'une immunité totale. Ce sera le secret le mieux gardé d'Angleterre jusqu'en 1979, quand le journaliste Andrew Boyle révélera tout dans son livre « Un climat de trahison ».
Librairie illustrée.. 9 septembre 1906. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Déchirures. Paginé de 241 à 256. Quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages
Sommaire : La chasse aux pirates par Henry Niellé, La trahison du maure, XXV par E. Salgari, La trahison du maure, XXV par E. Salgari, La disparition des abeilles, Rotisseurs de marrons et marchands de patetes a Shanghai, La tunisie et ses splendeurs, L'appel de la foret, VIII par Jack London, Moeurs des gauchos par Christian Borel, La tour des andes, XII par H.M. de Mathuisieulx Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages