EOS Paris 1926 E.O. Un des 70 exemplaires sur Madagascar, celui-ci n°111, quatrième papier après 1 Japon ancien, 30 Japon impérial et 50 Hollande. Frontispice de Vassily PHOTIADES Broché in-8, dos légèrement éclairci et tache sur le premier plat, intérieur frais, très bel état général
Reference : FOS-1416
Librairie Eric Fosse
M. Eric Fosse
01 40 54 79 75
Paris, Editions EOS, 1926. Un vol. au format pt in-8 (204 x 148 mm) de 156 pp., , reliure postérieure (Ben Houssine) demi chagrin rouge, dos à deux faux nerfs encadrant la pièce de titre dorée, gravure frontispice de Photiades, 157 pages, non rogné, superbe ensemble sous tous rapports.
Exemplaire SUR Vergé d'Arches Numéroté N° 578 / 901; Bon Etat Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 20 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Votre Libraire vous accompagne dans toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse.
Paris, librairie Gallimard / éditions de la Nouvelle Revue Française 1927. Edition originale. Bel exemplaire broché, in-8, 220 pages + table.
Paris, Editions EOS, 1926. 15 x 21, 159 pp., reliure large dos cuir à 4 nerfs, couverture conservée 3 pièces, très bon état.
"Edition originale peu courante de cet ouvrage, dans une reliure demi-cuir en très bon état; seul petit bémol : le relieur a placé les 2 pièces de titre du dos à l'envers."
Paris Gallimard 10 février 1927 in-4 tellière demi-chagrin rouge à nerfs, couvertures et dos conservés, tête dorée 220p. Bon état général. Légères épidermures à la reliure, petits frottements aux coins et coupes.
Couverture souple rouge rempliée. Ouvrage illustré d'un frontispice dessiné et gravé sur bois par Vassily Photiades. Gardes légèrement et partiellement ombrées, rares piqûres.
Paris. Eos 1926 164 pp. In-16 soleil. Broché. Très bel exemplaire. 1 volume. ÉDITION ORIGINALE. Un des 750 exemplaires numérotés sur vergé d'Arches. Exemplaire d'auteur hors commerce.Bel exemplaire enrichi d'un affectueux et précieux envoi autographe signé de Joseph KESSEL à Henri BÉRAUD : « A toi, mon cher Henri, sans phrases et fraternellement ».