131 – (BRASILLACH Robert) MASSIS Henri : Débats. Plon Paris 1934. E.O. L’un des 50 ex. sur Pur fil, seul grand papier. Envoi à Robert Brasillach. Broché in-8, témoins conservés, dos jauni avec petits manques sinon bel état
Reference : 11457
Librairie Eric Fosse
M. Eric Fosse
01 40 54 79 75
Editions Ivoire-Clair, 2012. In-8 broché 21 x 15 cm, 154 pages ///Depuis ses débuts, la franc-maçonnerie suscite polémiques et controverses. Ses adversaires ne sont pas les seuls à s'exprimer ; dans ses propres rangs, des voix discordantes s'élèvent souvent. Les questions les plus litigieuses portent sur ses principes fondateurs, son organisation, ses secrets, les motivations de ses membres et avant tout de ses dirigeants. Sans omettre de rappeler comment les premières loges se sont formées en Grande Bretagne, avant de diffuser sur le continent européen et le reste du monde, André Kervella propose une mise au point sur la situation actuelle. /// Très bon état, comme neuf.
R110428466. Bureau de la revue. Non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte. Texte en colonnes.. . . . Classification Dewey : 920-Biographie générale et généalogie
Sommaire : Bertin l'ainé (1766-1841) - La famille Bertin, Le journal des débats de 1789 à 1800, Bertin l'ainée, Ses débutsde journaliste, L'éclair, Bertin achète les débats, Les Bertin et le journal des débats sous le consulat et l'empire, Le journal de l'empire Classification Dewey : 920-Biographie générale et généalogie
1818 Albi, Baurens et Rodière, an 1818, volume in-8 relié demi basane brune, XII-316 pages, reliure frottée modeste, page de titre salie, ouvrage en bon état et complet.
Outre 3 notices de pièces diverses présentant l'affaire et l'introduction, le corps de l'ouvrage se compose de 44 comptes rendus de séances du tribunal du 5 fevrier au 4 mai 1818. Laffaire Fualdès est une affaire judiciaire qui défraye la chronique de 1817 à 1818 dans la France de la Restauration. Laffaire Fualdès frappa si fort ses contemporains que lon en trouve de nombreuses mentions dans les ouvrages des plus grands auteurs des xixe et xxe siècles , Balzac, Flaubert, Hugo, A. France, Courteline ou Giono,
2 lettres autographes signées, à en-tête de l’Ecole Française de Rome , à savoir: 1 L.A.S. datée du 21 avril 1903: Mon cher ami, C’est aujourd’hui la Natale di Roma. Cet anniversaire m’a rappelé celui que vous vouliez célébrer dans les Débats, avec ma collaboration. J’en suis navré, mais ayant été submergé tous ces jours-ci, je n’ai pas eu un moment, même pour vous dire non. Maintenant que cette moutarde arriverait longtemps après dîner, je vous offre mes remords, qui sont encore cuisants. Joignons-y, comme fiche de consolation, la pensée que le jubilé de l’Ecole était un faux jubilé, inventé par la bienveillante traîtrise du ministère pour frapper les esprits du bloc et leur amener un plus grand nombre de décorations. Les chronologistes les plus expérimentés s’accordent à dire que l’Ecole a été fondée en mars 1873. On leur ferait de la peine en ne comptant depuis lors que 25 ans. Mais préparez tout de même une jolie tartine; vous la placerez dans vingt ans. Les Débats sont éternels. Si nous n’y sommes plus, ils y seront encore. Ici je vous embrasse avec autant d’effusion qu’il en a débordé, ces jours-ci dans les banquets ministériels»; [ On joint: ] 1 L.A.S. datée du 10 janvier 1910: [ … ] Non, je n’ai pas l’intention de m’occuper de la littérature de Dufourcq, car j’en pense trop de mal et ce n’est pas le moment de le dire à ce brave garçon, que j’aime bien et qui traverse en ce moment un gros ennui professionnel. Quant à Mgr Mignot, oh! mon ami, ne me demandez pas de parler des lires d’évêques. Les évêque me font trop d’effet. De plus celui-là, que j’aime non moins tendrement que Dufourcq se trouve dans une situation très particulière. N’insistons pas. Maintenant, tous mes vœux. Quand je verrai surgir du buisson quelque gibier à ma convenance et à ma portée, je le fusillerai très volontiers à votre intention. Pernot me donnera des conseils. Que n’est-il ici! Que ne suis-je aussi dans le bureau de papa Hébrard pour arrêter au vol les maladroits articles de Tardieu. L’affaire allait bien. Ce animal va la faire manquer. Silence et patience. Mille bonne amitiés».
Ces deux lettres, remarquables de verve, furent adressées par le très fameux chanoine et historien catholique Louis Duchesne (1843-1922) à André Chaumeix, du Journal des Débats. Son œuvre majeure, l’Histoire ancienne de l’Eglise, sera mise à l’index en 1912. Mgr Duchesne fut le Directeur de l’Ecole Française de Rome au Palais Farnèse, de 1895 à sa mort en 1922.
- 4 pages. 24 x 35 cm.
Quotidien. Journal des Debats Politiques et Litteraires, 8 octobre 1822.