à Paris, éditeur Firmin Didot, 1829.
Reference : 529
Exemplaire relié, basane claire, format:250x150mm, dos à caissons dorés, encadrements dorés sur les plats, 1f faux-titre, 1f titre, 1f vignette, 237pages, 1f blanc, 64pages de notes et glossaire. Ouvrage peu commun, édition originale ornée de 4 vignettes, 9 lettrines et de plusieurs cul-de-lampes et rinceaux aquarellés et rehaussés en couleurs. Caractères d'imprimerie néo-gothique. Recueil de quatre contes médiévaux de Christophe Malivoir, qui s'achèvent par le Dit des Crieries et Encombrements de Paris. Jongleur, en l'an 1416, en la salle du château d'Escorailles, Christophe Malivoir y récite des chroniques amusantes et spirituelles où les moeurs des gens de l'époque ne sont pas ménagées. Ferdinand Langlé (1798-1867), historiographe du musée Dauphin, commence par composer des pièces de théâtre et s'intéresse très tôt aux vieux conteurs français. Émile Morice (1797-1836), littérateur français, après plusieurs voyages à travers l'Europe prend part à la rédaction de différents journaux. ''Il va ce Chevalier Teutonique, dont le mantel blanc chargé d'une croix noire et le cheval pie glissent entre les saules qui bordent l'Isner...'' (Le Voeu du Faisan) Exemplaire en bon état.
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Paris, Firmin Didot, 1829. 23 x 13,5 cm, [3] ff., cxxxvij pp., [1] f. bl., 64 pp. Relié demi-veau glacé rouge à coins signé de Carayon, dos lisse orné d'un décor romantique, couverture et dos conservés. Exemplaire en très bel état. Édition présentée par Ferdinand Langlé et Émile Morice. Ce recueil assez peu courant est entièrement imprimé en lettres gothiques par l'atelier de Firmin Didot, imitant les manuscrits du XVe siècle. Cet ouvrage fait partie des impressions remarquables de la maison Didot. Il contient quatre chroniques « récitées par Cristofe Malivoir le jongleur, [...] en la grande salle du chastel d'Escorailles » : Le Droit de Nopçage, Le Jugement de Dieu, La Cour de Jussienne, Le Vu du faisant. Le texte est accompagné de 64 pages de notes explicatives. L'ouvrage est illustré de lettrines, ornements et de quatre vignettes gravées d'après H. Monnier et Eugène Lami. Les lettres et les ornements sont enluminés. Ex-libris d'Henri Lenseigne contrecollé sur le contre plat. Henri Lenseigne était un grand bibliophile président de la société "Les XX", vice-président de la société "Le livre contemporain", sa bibliothèque a été vendu aux enchères en 1930 et a fait l'objet d'un catalogue rédigé par Carteret.
Paris, Firmin Didot, 1829 ; in-8 de [3] ff., cxxxvij pp., [1] f. bl., 64 pp., cartonnage beige de l'éditeur décoré d’entrelacs.
Ravissante édition présentée par Ferdinand Langlé et Émile Morice. Ce recueil peu courant est entièrement imprimé en lettres gothiques par l'atelier de Firmin Didot, imitant les manuscrits originaux du XVe siècle. Cet ouvrage fait partie des fleurons de la maison Didot (Paul Dupont, Les Didot, 1853). Il contient quatre chroniques « récitées par Cristofe Malivoir le jongleur, […] en la grande salle du chastel d'Escorailles » : Le Droit de Nopçage, Le Jugement de Dieu, La Cour de Jussienne, Le Vœu du faisant. Le texte est accompagné de 64 pages de notes explicatives. L'ouvrage est illustré de lettrines, ornements et de quatre vignettes gravées d'après H. Monnier et Eugène Lami. Les lettres et les ornements sont enluminés.- Titre imprimé en rouge et noir. Ex-libris manuscrit sur le premier contreplat Mme de Grandsa(ut?). Cartonnage un peu frotté aux charnières.- Vicaire IV, 155.