Année 1883 complète. Du n° 158 au n° 209. In-4°, reliure cartonnage à dos de cuir rouge. Reliure frottée et un peu défraîchie ; propre intérieurement. Dessins d'Albert Robida, Draner, Caran d'Ache, Trock, Gino, Loÿs, Job, Sorel, H. Tinant, Casa-Bianca, Bob
Reference : 8584
Paris (7, rue du Croissant). Directeur : Georges Decaux (La Librairie Illustrée). Rédacteur en chef : Albert Robida. In-4°. Cet hebdomadaire satirique illustré a paru sans interruption de janvier 1880 à décembre 1904, produisant 1305 livraisons. Albert Robida fut rédacteur en chef de la fondation du journal jusqu'en 1892.
Librairie du Scalaire
M. Marc Malfant
10, rue des Farges
69005 Lyon
France
06.10.17.78.84
Expédition après réception du réglement par chèque bancaire (ou virement pour l'étranger). <br />
May 21, 1835, Caricature, "QUI PAYE SES DETTES S'ENRICHIT" (He Who Pays His Debts Enriches Himself), Published in La Caricature, France, Choice Extremely Fine.This gorgeous uncolored Lithograph is No. 237, measures 7.25" x 11" with wide margins, matted to the overall size of 14" x 19" (print has not been laid down). Minor edge splits and slight tone; does not affect the overall appearance. This print is of the repayment of a debt that France owed to the United States that was granted throughout the Treaty of 1831.Here United States President Jackson, in his military garb and mode, glares at the French while holding an oversized sword allowing the French to count and present the money to him. His larger than life stance serves as a contradiction to the bowing Frenchman, signifying the position in the world the United States had taken. The Frenchman, presenting the money to Jackson, is actually slipping a stack of gold coins into the back coat pocket, stealing from the United States right in front of the President. In the background is a woman being fleeced by four men.Jackson was so angry at the procrastination of the French that he even went so far as to insinuate the United States might go to war to settle the matter. An early caricature that started the ways in which modern day political cartoons are represented. Repayment of Debt between governments? That can never happen today... or does history repeat itself? Live and learn!
May 21, 1835, Caricature, “QUI PAYE SES DETTES S’ENRICHIT” (He Who Pays His Debts Enriches Himself), Published in La Caricature, France, Choice Extremely Fine.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 23 octobre 1834 (Planche n°432) -Hauteur : 35.5 cm Largeur : 27 cm - Image :Hauteur : 29 cm xLargeur : 23.7 cm -Inscription - Titre en bas au centre : « Navet d’Honneur, offert au Prince Rosolin par la Caricature. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°207. », en ht à dte : « Pl. 432. »Inscription - Dans la lettre : « Au Bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith : Delaunois, r. du Bouloi, 19. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « AB. » [Auguste Bouquet, dessinateur]Description iconographique: La planche présente en pleine page un navet décoré de part et d'autre d'une croix accrochée à un ruban (à gauche on reconnaît la Légion d'honneur et à droite il s'agit peut-être de l'ordre de Léopold, créé par le roi des Belges en 1832, à la suite du siège d'Anvers auquel participe Ferdinand-Philippe d'Orléans). Sur la racine sont plantés six petits drapeaux tricolores. Selon l'explication, "La Caricature" rend ainsi hommage au "grand combat singulier du prince Rosolin contre l'un des plus beaux navets de Compiègne". La rencontre entre le duc d'Orléans, désigné ici comme le prince Rosolin, et un navet compiégnois, si elle n'est pas entrée dans les annales, a dû faire suffisamment de bruit à l'époque pour attirer l'attention ironique du journal de Philipon et du dessinateur Auguste Bouquet. Les bosses et les ombres du navet semblent dessiner un profil d'homme, dans lequel on pourrait reconnaître la charge du duc d'Orléans, cible de plusieurs autres planches. L'explication affirme d'ailleurs : "Ce portrait extrêmement ressemblant du reste, n'est qu'un faible hommage de notre admiration". Notons que le mot "navet" est employé dès le Moyen Age (v. 1278) pour exprimer "une valeur figuré de "nullité, valeur minime""et que le mot désigne au cours du XIXe siècle "un très mauvais tableau" (Dictionnaire historique de la langue française, dir. Alain Rey). Entre la nature morte, l'héraldique et le portrait, ce navet désigne le prince comme l'incarnation de la nullité vaniteuse et à travers lui stigmatise la Monarchie de Juillet comme le règne des fausses valeurs et le triomphe des héros sans héroisme.Personne / Personnage représenté: Orléans, Ferdinand-Philippe d', duc
La planche présente en pleine page un navet décoré de part et d'autre d'une croix accrochée à un ruban (à gauche on reconnaît la Légion d'honneur et à droite il s'agit peut-être de l'ordre de Léopold, créé par le roi des Belges en 1832, à la suite du siège d'Anvers auquel participe Ferdinand-Philippe d'Orléans). Sur la racine sont plantés six petits drapeaux tricolores. Selon l'explication, "La Caricature" rend ainsi hommage au "grand combat singulier du prince Rosolin contre l'un des plus beaux navets de Compiègne". La rencontre entre le duc d'Orléans, désigné ici comme le prince Rosolin, et un navet compiégnois, si elle n'est pas entrée dans les annales, a dû faire suffisamment de bruit à l'époque pour attirer l'attention ironique du journal de Philipon et du dessinateur Auguste Bouquet. Les bosses et les ombres du navet semblent dessiner un profil d'homme, dans lequel on pourrait reconnaître la charge du duc d'Orléans, cible de plusieurs autres planches. L'explication affirme d'ailleurs : "Ce portrait extrêmement ressemblant du reste, n'est qu'un faible hommage de notre admiration". Notons que le mot "navet" est employé dès le Moyen Age (v. 1278) pour exprimer "une valeur figuré de "nullité, valeur minime""et que le mot désigne au cours du XIXe siècle "un très mauvais tableau" (Dictionnaire historique de la langue française, dir. Alain Rey). Entre la nature morte, l'héraldique et le portrait, ce navet désigne le prince comme l'incarnation de la nullité vaniteuse et à travers lui stigmatise la Monarchie de Juillet comme le règne des fausses valeurs et le triomphe des héros sans héroisme.Personnage représenté: Orléans, Ferdinand-Philippe d', duc
Philipon / BALZAC H.de - [Charier H., dessinateur ?]- Desperet ou Desperret, Auguste
Reference : 25606
(1832)
1832 Paris, Aubert,Galerie Vero-Dodat,1832,IN FOLIO broche,couverture imprimée illustree,textes divers dont Eugene Morisseau,paginé par colonnes soit 4 pages+( 2 planches) gravures en lithographie sur blanc volantes et rouge au centre ,bon état,tache en marge- Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 27 septembre1832, (Planche n°202) - Titre en ht au centre : « Jeux Innocents. » ; légende en bas au centre : « Lafay… je la tiens ! – qui tenez-vous ? – eh ! parbleu ! la liberté. // (rire Général) » ; indications, en ht à gche : « La Caricature (Journal) (N°99.) », en ht à dte : « Pl. 202. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « charier. H Del » [Charier H., dessinateur ?]- Jeu de colin-maillard. La Fayette, les yeux bandés, pose la main sur le bonnet phrygien rouge de Louis-Philippe, lequel piétine un coq et garde la tête baissée. La pl. vise à déculpabiliser La Fayette en lui trouvant des circonstances atténuantes dans l’aval qu’il donna au duc d’Orléans pour devenir le roi des Français : il avait en réalité les yeux bandés et ne voyait rien. « Colin-Maillard croit mettre la main sur la liberté, il prend mieux que ça, il prend l’ordre public et la paix ; mais enfin, il se trompe, et il prouve par là qu’il ne trichait pas et qu’il avait les yeux bien bandés ». Barthe, dans sa robe de magistrat, soutient le roi prêt à tomber. Derrière, Thiers, debout sur une chaise, applaudit. Du rideau à l’arrière-plan à dte dépasse le nez de d’Argout, assistant à la scène. A gche, Guizot tient une femme, incarnation de la liberté, tandis que Soult pose une main sur sa bouche pour l’empêcher de parler. Assis au premier plan, à gche, Dupin. A l’arrière-plan, Athalin portant un plateau de flûtes.Personnages représentés:Du Motier de La Fayette, Gilbert, marquis; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Guizot, François; Thiers, Adolphe; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Barthe, Félix
Desperet ou Desperret, Auguste - Lithographie- Hauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm- Image: Hauteur: 32.8cmx Largeur: 22.5cm- Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 27 septembre1832 (Planche n°203) - Titre en bas au centre : « Ils se bruleront [brûleront] tous ! » ; indications, en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°99 », en ht à dte : « Pl. 203. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « A.D. invt et ft » [Auguste Desperet, dessinateur lithographe]:::::Un bougeoir gigantesque, composé de la figure de la liberté en caryatide (portant le bonnet phrygien), repose sur la sphère terrestre dont on voit une partie. Divers personnages virevoltant dans les airs sont repoussés par la flamme de la « LIBERTÉ ». Les personnages sont reconnaissables, certains grâce aux étiquettes les accompagnant, portant des inscriptions : sur le côté gche, Charles X en bas, déjà à terre (« ordonnance // nous // Charles X), des représentants de la « Sainte // Alliance », le roi d’Espagne Ferdinand VII avec l’ « Inquisition », le pape avec l’ « Excommunication // des Ancônantins » et l’ « Edit // Papal », le journal « FIGARO », deux représentations de Louis-Philippe autour desquelles virevolte la feuille portant l’ « Etat // de siège // de la Ville [de] Paris ». A dte, des personnages accompagnés des feuilles portant les inscriptions : des personnages ayant donné leur « Adhésion aux Décrets // de la Diète de Francfort // par les Petits Princes allemands et autres », « 22e Protocole de la // Diète de Francfort », l’empereur d’Autriche François Ier ( ?) avec le « décret // Metternich » tient le bras du roi de Hollande Guillaume Ier, auquel s’accroche Talleyrand (« Hollande // Protocole »). L’empereur russe Nicolas Ier avec les proclamations du tsar « UKASE », et enfin le « Journal // des // DÉBATS » qui laisse tomber une bourse d’argent. Ces ennemis de la liberté cherchent en vain à approcher la flamme avec des éteignoirs. Sur la carte du monde : « PARIS », « FRANCE », « MARSEILLE »« SUISSE », « Italie », SARDAIGNE », « ESPAGNE », « MEDITERRANEE », « ALGER ».bon etat, 2 planches en lithographies originales en noir et couleur couverture imprimée illustree,tres rare,cachet colpoprtage,bon etat complet,lot separable, indiqué uniquement pour prouver l'authenticité des lithographies.
Citadelles & Mazenod, Paris, 2006, Reliure éditeur cartonnée sous jaquette illustrée. Format in-4°, 1930 grammes, 303pp. Somme de caricature. Une référence. Ouvrage en excellent état magnifiquement illustré en couleurs sur l’histoire de la caricature des origines médiévales en passant par la Renaissance italienne à la caricature moderne.
1834 Aubert Paris 1834,La Caricature. Journal fondé et dirigé par Ch. Philipon. La Caricature politique,morale, littéraire et scénique.Paris. Chez Aubert, au grand Magasin de Caricatures et Nouveautés 7 Lithographiques coloriées IN FOLIO broché, feuillets doubles ,tres rare complet.La Caricature numeros 184,185,187,189,192,198,208,parus du 15 mai 1834 au 30 octobre 1834,7 numeros complets couvertures texte imprimé et 7 planches doubles sur blanc.,chaque image 52x34 cm environ,plis en marge.TRES RARE
7 planches doubles coloriées numerotés 386/387; 388/389; 392/393; 396/397; 402/403; 414/415; 434/435 ,tres rare suite complete.Jean Ignace Isidore Gérard, né le 13 septembre 1803 à Nancy et mort le 17 mars 1847 à Vanves, est un caricaturiste français, connu sous le pseudonyme de J.J. Grandville. Le dessin de Grandville est très inspiré de la caricature. Il est un novateur et donne aux animaux ou aux fleurs un supplément d'âme... Grandville meurt très jeune, marqué par la mort de sa femme et de ses trois enfants.La Grande Croisade contre la Liberté est lithographiée par Desperet en sept feuilles qui, réunies, donnent trois mètres cinquante de développement et paraissent du 15 mai au 30 octobre. Publisher:J.J.G. [i.e. J.J. Grandville (Jean Ignance Isidore Gérard) and] A.D. [i.e Auguste Desperet]. Lith: Delaunois, rue du Boyloy 19 [Paris]. Au bureau, chez Aubert, pass. Vero Dodat [Paris].the title appears above the image at top centre on all sheets, with the journal’s title appearing at top left and the plate numbers at top right, the artists’ initials appear within the image on each sheet, and with explanatory notes, the lithographer, and the publisher appear in the bottom margins;
Phone number : 33 04 94 63 34 56