Editions Nouvelle Aurore. 1975. Plaquette in-8° agrafée. 23 pages. E.O.
Reference : 8354
Très propre.
Librairie du Scalaire
M. Marc Malfant
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France
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Une plaquette de 23 pages, format 135 x 210 mm, brochée, publiée en 1975, Editions Nouvelle Aurore, bon état
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1899 Lyon, Mougin-Rusand, 1899, plaquette grand in 8° brochée, 45 pages ; couverture imprimée.
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Bruxelles, et se trouve à Paris [Paris], Desprez, 1759 in-12, [2] ff. n. ch. (titre, avertissement des libraires), pp. 197-324, demi-chagrin cerise, dos à nerfs orné de filets à froid et de fleurons dorés, coins en toile verte, tranches mouchetées (reliure du XIXe siècle). Coiffes légèrement frottées, coins abîmés.
Très rare. La première édition de cette oraison funèbre extravagante prononcée en 1615 fut donnée en 1616 à l'adresse d'Avignon. Crillon était mort le 2 décembre 1615 et fut effectivement inhumé dans la cathédrale Notre-Dame-des-Doms à Avignon. Cette pièce est considérée à juste titre comme un exemple parfait d'éloquence amphigourique, dans un genre qui commençait à décliner au début du XVIIe siècle, mais qui avait eu ses heures de gloire au XVIe, spécialement dans le sud de l'Europe.Le curieux chiffrage s'explique parce que cette pièce pré-imprimée devait être insérée dans le volume II de la Vie de Louis-Balbe Berton de Crillon (Paris, 1757) de Marguerite de Lussan, avec une numérotation correspondant à ce volume ; au dernier moment, l'auteur se décida pour d'autres pièces et cette oraison funèbre ne fut pas jointe.Backer & Sommervogel I, 1307. Cioranescu, XVII, 11 269 (pour l'originale). Cf. Cioranescu, XVIII, 41 118 (pour le titre de Lussan).Ex-libris manuscrit et cachet humide de Raymond Filippi (1910-1976), célèbre avocat d'assises à la Cour d'appel d'Aix, et maire d'Istres de 1959 à 1965. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Ratisbonne, , 1798. In-4 de (4)-160-220-159-(1) pp., demi-cuir de Russie vert à coins, dos lisse orné (reliure de l'époque).
Édition originale tirée à petit nombre ; absent des bibliothèques françaises. Deuxième mémoire du baron autrichien Pfaffenhoffen, le "persécuteur" de Charles X.Établi en Angleterre, il prêta d'importantes sommes d'argent aux princes en exil, futurs Louis XIII et Charles X, et aida à la formation de l'armée de Condé et des régiments pour le roi d'Angleterre. Les dettes contractées par le gouvernement anglais et par les Bourbons ne furent jamais acquittées et le comte de Pfaffenoffen fit de nombreux procès pour recouvrer son argent. Avec beaucoup d'opiniâtreté, il poursuivit Charles X jusque dans son deuxième exil en Angleterre et en Bohême. Terrible sort pour un roi : un huissier et une révolution.L'ouvrage est divisé en trois parties : exposé des faits, le texte est en français avec la traduction en allemand en regard ; 227 pièces justivicatives dont deux tableaux dépliants : Arbres généalogique de la maison de Pfaff de Pfaffenhoffen.Provenance : bibliothèque E. A. Naville, avec ex-libris armorié gravé. Des rousseurs.