Paris. Editions Universitaires. 1959. In-12 broché. 127 pages. E.O. Envoi autographe de l'auteur au Pr. Pierre Jourda *. Très propre.
Reference : 6252
* Pierre Jourda (1898-1978) fut un éminent professeur de lettres, doyen de la Faculté des lettres de l'Université de Montpellier de 1936 à 1969. Seiziémiste de formation, il fut aussi un spécialiste reconnu de Stendhal, donnant plusieurs éditions critiques de ses uvres, participant à un grand nombre de colloques, produisant une impressionnante quantité d'articles. La ville de Montpellier garde vif le souvenir du Professeur Pierre Jourda ; dans le quartier des Beaux-Arts, une rue porte son nom. La relation d'amitié entre ces deux beylistes de premier ordre que furent Henri Martineau et Pierre Jourda, dura de 1928 à 1958, année de la mort de Martineau. Dans le volume " Hommage à Henri Martineau " qui constitue le dernier numéro de la revue " Le Divan ", Pierre Jourda évoque leur première rencontre - et ses nombreuses suites - dans la librairie du Divan, qui longtemps exista à l'angle des rues Bonaparte et de l'Abbaye (Paris VIe). DEMANDEZ NOTRE CATALOGUE "STENDHAL ET LES EDITIONS DU DIVAN".
Librairie du Scalaire
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Reliure toile de l'éditeur sous jaquette et rhodoide, 28X21 cm, 1968, 177 pages, nombreuses et belles photos en noir de Loic Jahan, collection albums littéraires de la France éditions Hachette. Bon exemplaire.
Le Divan, Paris, 1931. In-12, broché, 106 pp.
Edition originale. Un des 200 exemplaires sur pur fil Lafuma, numérotés de 1 à 200 [ex. n° 87] après 6 exemplaires sur Vélin de Rives rose hors commerce. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
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broché - 16 x 24 - pages 105 à 207 - 32 ème année - N°126 - revue trimestrielle 15 janvier 1990 - revue publiée avec le concours du centre national des lettres " BEAUREGARD" 3, montée Maurice GIGNOUX 38000 GRENOBLE.
Exemplaire conservé dans sa pleine reliure de l’époque signée de Doll, condition des plus rares. Paris, Delaunay et Pelicier, 1817. In-8 de 366 pp., (1) f. d’errata. Plein veau havane, filet noir encadrant les plats, dos lisse avec pièce de titre de maroquin olive, tranches marbrées, charnières légèrement frottées. Reliure de l’époque signée de Doll. 201 x 126 mm.
Édition originale, très rare. C'est dans cet ouvrage qu'apparaît pour la première fois, imprimé sur la page de titre, le pseudonyme "M. de Stendhal". Vicaire, I, 452; Fléty, p. 60. «Rare». Clouzot, 256. «Ouvrage rare et important». Carteret, II, 346. Fruit des divers voyages de l'auteur en Italie, ce livre est le premier ouvrage signé du nom de Stendhal, pseudonyme auquel il devait conférer tant d'éclat (Martineau).Pour la première fois, H. Beyle utilisait le pseudonyme à consonance germanique à l'abri duquel il pouvait, en « hussard de la liberté » multiplier les critiques sur les fâcheuses conséquences du Congrès de Vienne pour le destin de l'Italie (Stendhal et l'Europe, catalogue de l'exposition à la Bibliothèque nationale, 1983, n°162).La préface n'a pas été reproduite dans les éditions postérieures. «Œuvve que Stendhal publia en 1817 ; l’auteur, ‘officier de cavalerie’, ‘qui a cessé de se considérer comme Français depuis 1814’, y prend le pseudonyme sous lequel il devait devenir célèbre. Le récit s’attache à l’itinéraire fictif d’un voyage que l’auteur aurait fait en 1816 et 1817, de Milan à Bologne, Florence, Rome, Naples, et par la suite de Rome à Florence, Bologne, Ancône, Padoue, Venise et Milan. En réalité, Beyle vit Padoue et Venise en 1813 et en 1815… L’Italie de ce temps permettait au jeune auteur de croire qu’il allait au-devant du bonheur : le magnifique développement des arts, la légèreté et tout à la fois le caractère absolu des sentiments, haine ou amour, les habitudes d’une société galante et pleine de vie le rendent intensément attentif au présent et curieux de cette civilisation séculaire. Rome, Naples et Florence lui semblent être les trois villes de l’esprit, pour la liberté des entretiens, l’activité des peintres et des musiciens, et la beauté des femmes. En proie aux transports d’un hédonisme raffiné, Stendhal passe avec ravissement d’un lieu à un autre, des lacs lombards aux rives de l’Arno, et au Vésuve, ne celant point son dédain pour les ‘âmes sèches’ qui ne comprennent pas la beauté de la création artistique et l’agréable vie d’une société qui n’a de compte à rendre qu’à elle-même et qui aspire aux plus hautes destinées. Et c’est dans son éloge de Milan que le livre atteint à une parfaite originalité, sur le plan littéraire. Plus tard, Stendhal devait compléter ce brillant aperçu sur l’Italie au XIXe siècle par ses ‘Promenades dans Rome’ ». Dictionnaire des Œuvres, V, 823. Précieux exemplaire de cette rare édition originale de Stendhal conservé dans sa pleine reliure de l’époque signée de Doll, condition des plus rares. Provenance: Auguste Lambiotte (n° 96 de la 4e vente Lambiotte de décembre 1977).
broché - 16 x 24 - pages 1 à 104 - 32 ème année - N°125 - revue trimestrielle 15 octobre 1989 - revue publiée avec le concours du centre national des lettres " BEAUREGARD" 3, montée Maurice GIGNOUX 38000 GRENOBLE.