‎MONIER Félix.‎
‎LETTRES SUR LA VIE - ESSAI DE PARTICIPATION À LA CONDUITE DE L'HUMANIMALITÉ VERS LE RYTHME HOMINAL. Préface de L. Barbedette. Portrait par Pierre Larivière. Dessins de Moïsy.‎

‎Editions René Debresse. " Bibliothèque de l'Artistocratie ", dirigée par Gérard de Lacaze-Duthiers. Mai 1938. In-8° broché. 112 pages. Tirage à 400 exemplaires. Couverture un peu défraîchie.‎

Reference : 4393

‎Félix Monier (1856-1928) naquit dans la Drôme, au sein d'une famille modeste et très catholique. Brillant élève des Pères Maristes de Saint-Paul-Trois-Châteaux, il quitta leur enseignement à seize ans, quand il eut perdu la foi. Devenu adulte, on le retrouve employé aux services de la Ville de Paris, habitant Malakoff. Il devient membre de la Société Astronomique de France et s'adonne avec passion à l'observation du ciel. Sa rencontre avec Camille Flammarion le marque, mais c'est surtout la découverte du Dossier de la Révélation Humaine, de William-Alexandre Riechelber, qui exerça sur lui une influence prépondérante. Dans ses Lettres sur la vie (d'abord parues à compte d'auteur en 1921), il en diffusa les thèses. Il finit ses jours en ermite à Châtenay-Malabry, dans la méditation et la contemplation. Peu avant de mourir, il fit paraître un "Précis de Solidarité Biocosmique". Ce livre fut à l'origine de la création d'une Association Internationale Biocosmique." Tout est dans la vie et la vie est dans tout - La mort est un acte vital ; au point de vue absolu, elle n'existe pas - La lutte pour la vie est une monstruosité - Dieu n'est pas derrière nous, il est devant - De l'humanimal à l'homme conscient - Le solidarisme biocosmique - La nouvelle éducation callipédique ".‎