Marseille. Cahiers du Sud. 1954. In-8° broché. Frontispice photographique. 127 pages. E.O. 1/300 sur bouffant.
Reference : 3063
Très bon état.
Librairie du Scalaire
M. Marc Malfant
10, rue des Farges
69005 Lyon
France
06.10.17.78.84
Expédition après réception du réglement par chèque bancaire (ou virement pour l'étranger). <br />
Tours, Imprimerie Tourangelle, 1910-1912. 605 g 17 fascicules in-16 brochés de 32 pp. chacun. Nombreuses illustrations. Couvertures illustrées par Lochard.. Amusante et peu courante petite revue contenant des articles concernant la quincaillerie. ""Le Foret est un outil pénétrant"". Détail des numéros : Le Foret. Revue mensuelle. N. 2 (février 1910). Le Foret. Revue mensuelle. N. 3 (mars 1910). Le Foret. Revue mensuelle. N. 4 (avril 1910). Le Foret. Revue mensuelle. N. 5 (mai 1910). Le Foret. Revue mensuelle. N. 6 (juin 1910). Le Foret. Revue mensuelle. N. 7 (juillet 1910). Le Foret. Revue mensuelle. N. 8 (août 1910). Le Foret. Revue mensuelle. N. 9 (septembre 1910). Le Foret. Revue mensuelle. N. 10 (octobre 1910). Le Foret. Revue mensuelle. N. 11 (novembre 1910). Le Foret. Revue mensuelle. N. 18 (juin 1911). Le Foret. Revue mensuelle. N. 20 (août 1911). Le Foret. Revue mensuelle. N. 21 (septembre 1911). Le Foret. Revue mensuelle. N. 22 (octobre 1911). Le Foret. Revue mensuelle. N. 23 (novembre 1911). Le Foret. Revue mensuelle. N. 24 (décembre 1911). Le Foret. Revue mensuelle. N. 25 (janvier 1912). . (Catégories : Humour, Quincaillerie, )
Istra. 1976. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 179 pages - quelques planches en noir et blanc - nombreuses cartes et quelques dessins en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Une terre pétrie d'histoire l'Outre Forêt - la notion géographique d'Outre Forêt - l'Outre Forêt un passé archéologiqe peu connu - les Sires de Fleckenstein, seigneurs de l'Outre Forêt - notes sur l'ancien chapitre rural de Wissembourg - le protestantisme en Outre Forêt jusqu'en 1648 - anabaptistes et communautés rurales en Outre Forêt - l'évolution de la population de l'Outre Foret au XVIIIe siècle - Georges Chrétien Rosentritt, directeur de la saline de Soultz et de la houillère de Lobsann 1789-1815 - l'industrialisation de l'outre forêt au XIXe siecle essai de représentation cartographique - la société de Dietrich indésirée à Haguenau en 1855 - Wentzel imagier de Wissembourg - la population de l'outre forêt et le drame de 1870 - sources minérales en outre forêt - Joseph Kautzmann mineur paysan - le costume traditionnel des personnes âgées à Merckwiller - les caractéristiques des parlers de l'alsace bavaroise - s'Unterland l'Outre Forêt etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Catalogue de l'exposition au Musée de Saint-Antoine l'Abbaye du 04 juillet au 11 novembre 2021.
Reference : 23922
ISBN : 9789461616814
<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">Aborder la représentation de la forêt en s'interrogeant sur le pouvoir d'attraction de celle-ci au Moyen Âge et au-delà, revient en filigrane à évoquer l'histoire originelle de Saint-Antoine et celle de son saint protecteur, Antoine le Grand, figure archétypale de l'anachorète. « Désert de l'Occident », la forêt se singularise par une relation intime avec l'ermite reclus ou le saint repenti. Elle constitue cet espace, cet entre-deux monde, l'un sauvage, l'autre civilisé, elle est cette forêt hagiographique qui sublime, parfois à l'excès, la retraite de l'ermite. C'est par ailleurs au coeur de la forêt qu'évoluent de preux chevaliers, des amants pourchassés, des fées des eaux, puis des bois. La littérature donne à voir une forêt fantastique. Au-delà des encyclopédies et autres traités de vénerie, lesquels offrent un large panel illustré de la faune et de la flore, la littérature arthurienne, les romans épiques et courtois, s'inscrivent dans la tradition narrative d'une forêt menaçante et maléfique, ou au contraire merveilleuse et enchantée, laquelle renvoie invariablement à la tradition celtique. La forêt y apparaît alors comme le lieu de l'errance, de la réclusion, de la fuite, de l'exclusion, de la transformation. Elle est aussi le lieu de l'initiation - souvent par l'entremise d'un ermite - de l'apprentissage et préfigure un monde onirique. Mais la forêt est aussi le sanctuaire d'une faune prolixe qui s'épanche en un bestiaire souvent enchanté laissant libre cours à l'animalité, la forêt sauvage. L'animal occupe en effet une place de choix dans les romans, lais ou chansons de geste. Souvent associé à une représentation symbolique du monde, il met en évidence une vision fantasmagorique au centre de laquelle les métaphores sont légion. Qu'il soit réel ou imaginaire, sa seule évocation incarne souvent un univers fabuleux. Par ailleurs, il demeure dans les récits hagiographiques un auxiliaire du saint qu'il accompagne (saint Eustache ou saint Hubert et le cerf, saint Antoine et le porc sauvage, saint Gilles et la biche...) ou qu'il combat, parfois. Les bestiaires sont aussi bien un genre littéraire qu'une encyclopédie qui se veut avant tout descriptive du monde animal, entre récit et symbolisme, où l'on retrouve réunis le lion, la licorne, le loup, l'ours, la belette et bien d'autres encore. En donnant à voir la face cachée et sombre de la forêt, antre des bêtes et des hommes sauvages, thème particulièrement prisé à la fin du Moyen Âge, les artistes du xixe siècle et à l'aube du siècle suivant dans un même élan romanesque livrent une représentation résurgente de la forêt mythique du Moyen Âge puisant son origine outre-Manche. Ainsi Walter Scott alimente l'imaginaire en mettant en scène un Moyen Âge chevaleresque incarné par Ivanhoé sur fond d'épopée historique. Gustave Doré, à travers les figures de Lancelot, de Viviane et de Merlin, puise dans les récits arthuriens visant à glorifier des figures héroïques, transcendées par la reconstitution méticuleuse, tant du cadre que des événements décrits. La forêt devient le miroir d'un Moyen Âge rêvé, elle est cette forêt mythique, s'imposant par ailleurs en double sémantique de l'architecture gothique, des voûtes élancées vers le ciel de chapiteaux floraux dont la redécouverte est pour longtemps associée au temps des cathédrales magnifié par Victor Hugo. À bien des égards, la forêt dans la pluralité de son incarnation est bien celle d'un Moyen Âge enchanté.</span> Gent, 2021 Snoeck 144 p., broché à rabats. 22 x 26
Neuf
1983 Association pour le développement de l'université de Savoie 174p. très bon état.
Table : la foret en Savoie, approche écologique (P. Gensac) - la forêt de Savoie, réceptacle de plantes en survie (R. Fritsch) - les forêts de Savoie depuis le XVIIIe (A. Palluel Guillard) - données quantitatives et structures actuelles des peuplement forestiers en Savoie (M. Camel) - gestion de la forêt publique (MA. Collas) - gestion de la forêt privée (MF. Horteur) - rôle de protection de la forêt (JP Feuvrier) - la place de la forêt dans l'aménagement du territoire (JP Morelon) - forêt et diversité biologique (JP. Courtin) - point de vue d'un aménageur de stations (R. Godino) - les alpages dans leur rapport avec la forêt (L. Chavoutier) - la forêt et la pollution industrielle (A. Daurat, A. Lemoine) - évolution de la forêt dans lmes Alpes du nord depuis 10 000 ans (A. Bocquet) - les sources d'archives pour l'histoire des forêts (P. Paillard) - forêt du Thyl (B. Juillard) - la forêt dans l'économie traditionnelle montagnarde (B. A. Meilleur) - la filière bois (PG. Dumas) - la forêt et l'industrie (J. Vulliermet) - cartonneries de La Rochette Hermitage (J. Michallet) - quelques remarques sur la symbolique de l'arbre (J. Burgos) - ...
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Paris, Maison Andriveau-Goujon, H. Barrère, [1878]. En 15 sections montées sur toile et repliées, formant une carte de 535 x 550 mm, montée dans une reliure éditeur de percaline verte avec titre en lettres dorées sur le premier plat et au dos ; étiquette au dos de la carte de l'éditeur parisien Eugène Andriveau-Goujon.
Rare carte de la forêt de Fontainebleau, dressée par Charles Colinet, continuateur de Claude-François Denecourt, et publiée par la Maison Andriveau-Goujon, Henry Barrère, à Paris. Sur les côtés figure les indications sur les promenades à pied que l'on peut faire en forêt en suivant les sentiers Denecourt-Colinet, ainsi que les sites et curiosités remarquables. La légende indique les routes nationales et départementales, les chemins, les routes forestières empierrées ou pavées, les chemins de fer et stations, les sentiers Denecourt-Colinet, les limites de la réserve artistique et les limites de la forêt. Les villes principales, les sentiers Denecourt-Colinet, et les limites de la forêt sont signalés en rouge. L'orographie (représentation du relief montagneux) de la forêt a été dessinée d'après le plan en relief de Paul Domet, sous-inspecteur des Forêts. Ancien militaire, Claude-François Denecourt (1788-1875) contribua grandement à faire connaître la forêt de Fontainebleau, dont il composa les premiers guides touristiques. Considéré comme le bienfaiteur de la forêt, il traça les sentiers, marqua les itinéraires des promeneurs et créa même des grottes artificielles, des tunnels et des passages souterrains. Le sylvain de Fontainebleau, comme le nommait Théophile Gautier, consacra quarante années de sa vie et une bonne partie de ses revenus à l’entretien de cette forêt. Il publia sa dernière carte en 1870. À sa mort en 1875, Charles Colinet, conducteur principal des Ponts et Chaussées, continua à entretenir et étendre le réseau de sentiers dans la forêt de Fontainebleau, sentiers qui portent aujourd'hui le nom de ""Denecourt-Colinet"". Il poursuivit la publication de la carte de la forêt de Fontainebleau, en y apportant des changements, notamment dans le tracé du polygone du champ de tir de l'école d'artillerie. Et tandis que la carte de Denecourt s'arrêtait à Chartrettes et à Achères, Colinet prolongea son édition jusqu'au château de Sainte-Assise et au Vaudoué. Bel exemplaire dans sa reliure éditeur. Journal L'Abeille de Fontainebleau. Feuille d'annonces légales de l'arrondissement, paraissant le vendredi, numéro 43 du 25 octobre 1878, article de A. Chennevière en page 2.