2014 Citadelles et Mazenod collection "phares" 2014, superbe état: comme neuf , autant la jaquette que le coffret ,
Reference : 7422
"Comment François Millet est-il devenu Jean-François Millet, et non pas Cabanel, ou bien Gérôme, ou même Courbet, avec qui il partage une enfance provinciale, rurale, des apprentissages tardifs, et quelques choix picturaux ? Des premiers portraits aux commandes publiques, des années de misère à la reconnaissance internationale, voici le portrait d'un artiste hors-norme, d'un homme cultivé et curieux, qui met à mal cette image du "peintre paysan" à laquelle il a été trop souvent réduit.Mal compris, en France tout du moins, Millet l'est pour plusieurs raisons dont la première est certainement due au fait que la plus grande part de son oeuvre en est absente. Le musée d'Orsay conserve un fonds certes considérable, puisqu'il possède L'Angélus, Des glaneuses et des centaines de dessins, et l'on trouve de beaux tableaux dans les musées français, mais l'oeuvre se trouve davantage visible en Europe et surtout aux Etats-Unis où elle fut très tôt achetée par de grands collectionneurs.Après avoir analysé les limites de la légende rurale apposée à sa peinture dans les années 1970, Chantal Georgel se penche sur l'homme pour mieux saisir l'oeuvre. De l'examen de ses souvenirs, de ses lectures et de ses goûts se dégagent les fondements d'une sensibilité, le cadre mental et intellectuel où s'est déployé le rêve de l'artiste. Des croquis aux tableaux achevés, souvent repris, voire répliqués, sa création est ici abordée dans son entier, suivant au plus près la genèse et le processus de production, nous invitant à découvrir en mots et en images l'univers poétique de l'une des figures artistiques majeures du XIXe siècle."
Antiquités Duvert Martial
Martial Duvert
Place du Champs de Mars
26400 Crest
France
06 12 23 97 16
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Au bureau de la revue. 1917. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Papier jauni. Paginé de 98 à 112 - quelques illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Sommaire : Le naufrage par Marcel Millet - Attitude par André Delemer - A la jeunesse mutilée par Lucien Christophe - L'étape par Marcel Millet - En lisant par Mercel Millet - Les revues par A.D. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
[Charles Meryon] - Phagan, Patricia ed.:
Reference : 049775
(1993)
ISBN : 0915977109
Phagan, Patricia ed.:: Charles Meryon and Jean-François Millet. Etchings of Urban and Rural 19th-Century France. Exhibition: Athens (GA), Georgia Museum of Art, 1993. 142pp with 36 monochrome plates. Wrappers. 28x21.5cms. Fully illustrated catalogue of 36 etchings created mostly in or near Paris during the 1850s (16 by Meryon, 20 by Millet) from the collection of S. William Pelletier. The reproductions are accompanied by details such as: date, inscription on plate, inscriptions and marks on sheet, watermark, platemark, sheet, description, provenance, exhibitions, and literature where appropriate. Catalogue supported by two essays: 'Reflections on a Gilded City. The Paris of Napoleon II, Meryon, and Millet' (by William U. Eiland) and 'Charles Meryon and Jean-François Millet. Two French Printmakers of the Second Empire' (by S.William Pelletier). With select bibliography.
Fully illustrated catalogue of 36 etchings created mostly in or near Paris during the 1850s (16 by Meryon, 20 by Millet) from the collection of S. William Pelletier. The reproductions are accompanied by details such as: date, inscription on plate, inscriptions and marks on sheet, watermark, platemark, sheet, description, provenance, exhibitions, and literature where appropriate. Catalogue supported by two essays: 'Reflections on a Gilded City. The Paris of Napoleon II, Meryon, and Millet' (by William U. Eiland) and 'Charles Meryon and Jean-François Millet. Two French Printmakers of the Second Empire' (by S.William Pelletier). With select bibliography
Au bureau de la revue. 1917. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Agrafes rouillées, Papier jauni. Paginé de 62 à 80.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Sommaire : Attente, par André Delemer - Le retour, par Marcel Millet - Aimer la vie par Charles Carrau - En vivant, feuillets épars, par A.D. - En lisant...Les poèmes, par Marcel Millet. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Au bureau de la revue. 1917. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Agrafes rouillées, Papier jauni. Paginé de 82 à 96 - quelques illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Sommaire : Printemps de guerre, par André Delemer - Les inquiets par Marcel Millet - Le joug, par Henriette Sauret-Arnyvelde - L'île étalait au loin... par Marcel Millet - En lisant... Les poèmes ; Les proses, par M.M. - Les revues par André Delemer. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
BELLE ET LONGUE LETTRE DANS LAQUELLE JEAN-FRANCOIS MILLET EXPRIME À SON AMI ET COLLECTIONNEUR ALFRED SENSIER SON MÉCONTENTEMENT AU SUJET DE DESSINS DE JEUNESSE MIS AUX ENCHÈRES PROVENANT DE LA SUCCESSION DU PEINTRE THÉODORE ROUSSEAU : …Je vous assure que cest pour moi une grande désolation de penser que ce tas de croquis qui me sont bien plus attribués quils ne sont de moi effectivement, mais dont je suis cependant responsable, ait la mauvaise chance dêtre mis en vente publique. Les intentions de ce pauvre Rousseau ne se trouveront guère remplies puisquil voulait justement quand il les a achetés avec vous, les retirer de la circulation. Si vous le pouvez, faites entendre a ceux que cela regarde quil ny a aucun intérêt réel pour la succession a mettre ces croquis en vente publique. Cest donc et seulement un grand tort qui peut mêtre fait gratuitement (…). Encore un coup, mon cher Sensier, faites bien remarquer aux héritiers quil en est de ces croquis, même de ceux qui sont le plus de moi, comme si on retrouvait les cahiers décriture de quelquun dont la profession est devenue dêtre écrivain, et quon les veuille faire passer pour des œuvres... La succession gagnera beaucoup plus aux retouches que je compte faire aux vrais dessins de moi et particulièrement au grand pastel qui se trouve dans la chambre à coucher [sagit-il du pastel « La Mer vue des hauteurs de Landemer » ?]. Je veux pour mon propre intérêt quil se puisse présenter dignement au public. Cette marine est de nature a prendre beaucoup dimportance. Doù il résulte quen travaillant pour moi, je travaillerai pour la succession... Je vous demande bien pardon de vous en dire si long à ce propos mais je voulais vous dire ce que vous savez comme moi du reste, combien cette chose sans profit pour la succession, pourrait être dommageable pour moi. Je tâche de rassembler les notes que vous me demandez...Il ajoute au sujet de la veuve Rousseau : ...Les Fouché trouvent Mme Rousseau bien incommode…La mauvaise humeur de Millet et son insistance à la manifester auprès dAlfred Sensier semblent compréhensibles : alors au sommet de sa gloire (en 1867 lexposition qui lui est consacrée à Paris est un triomphe ; lannée daprès, en 1868 il est fait Chevalier de la Légion dhonneur) le peintre ne désirait pas que les amateurs et le grand public puissent découvrir, à travers une vente aux enchères, des dessins de jeunesse demeurés jusquà présent dans le secret dune collection particulière. Alfred Sensier (1815-1877), est un nom familier des spécialistes des peintres de lÉcole de Barbizon dont il fut le biographe patenté. Fils dun notaire bibliophile, il se passionne très tôt pour lart et collectionne les autographes. Il rencontre le peintre paysagiste Théodore Rousseau en 1846, dont il sera, à sa mort (en 1867), lexécuteur testamentaire, puis le biographe.Par son intermédiaire, Sensier côtoie les autres peintres de lÉcole de Barbizon : Jules Dupré, Constant Troyon, Narcisse Diaz de la Peña, Charles Jacque, mais cest surtout avec lauteur de « LAngélus », J.-Fr. Millet, quil se lie dune amitié sincère et durable.Alfred Sensier eut laudace et le courage à lépoque, de constituer une importante collection de tableaux des maîtres de Barbizon dans son modeste appartement de la rue Chaptal à Paris.