Petite Bibliotheque Payot 1970
Reference : 74564
in12, broche, 220p, couverture etat correct d'usage (un peu fatiguee aux coins un peu frottes), dos abime (jauni avec pliures et coins frottes), interieur propre, papier un peu jauni, Petite Bibliotheque Payot, 1970
Librairie Laumière
Mlle Gast
39 avenue Laumière
75019 Paris
France
01 424 545 79
Les livres commandés sont postés sous 48h après réception du règlement. A partir de 30 euros les livres sont envoyés en lettres recommandées. En boutique règlement chèque ou espèces.
A Paris, chez Bernard, 1798. In-8 de (8)-316 pp., 2 pp. du catalogue Bernard (Notice des principaux livres d'assortiment qui se trouvent chez Bernard), demi-veau blond à petits coins de vélin, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Première édition française traduite par François-René de Pommereul. « Milizia fait éloge du rôle fonctionnel des édifices. Pour lui, l’architecture est née du besoin de l’homme de se protéger contre les intempéries ; aussi blâme-t-il vigoureusement l’ornementation gratuite dont les architectes, principalement ceux du baroque et du rococo, ont paré leurs monuments, détournant ainsi leur art de sa fonction primordiale. Désormais, il s’agit de revenir à la pureté des formes classiques de l’architecture gréco-romaine, mais dans un esprit critique, sous l’égide de la philosophie et de la raison. Milizia entend relever les « erreurs » des architectes les plus célèbres. Les théoriciens dont il s’inspire (Vitruve, Alberti, Palladio, Serlio, Scamozzi) n’échappent pas à la rigueur de son jugement critique. Simplicité, harmonie, unité dans la variété, juste proportion, tels sont les critères qui déterminent la beauté de l’édific » (Encyclopédie Universelle). A la suite : Des Institutions propres à encourager et perfectionner les beaux-arts en France ; Etat des objets d'arts envoyés aux divers musées français, et conquis par les armées de la République pendant la guerre de la liberté. (83 pp.). Par le général de Pommereul. Si François-René de Pommereul a traduit plusieurs essais sur l'Art du critique italien Milizia, il a aussi exprimé ses propres conceptions ; adepte du néo-classicisme, il a préconisé l'édification de monuments publics pour familiariser la société avec l'art et il a voulu encourager la créativité des artistes principalement des graveurs : ses thèses sont exposées dans la seconde partie de l'ouvrage De l'art de voir dans les Beaux-Arts : Des institutions propres à encourager et perfectionner les Beaux-Arts en France. Pommereul a milité pour la création d'un musée public de gravure où seraient réunies les estampes des collections nationales et conservés les cuivres des graveurs ; il a voulu faciliter le commerce des épreuves de façon à soutenir la création des artistes, il est ainsi à l'origine de la Chalcographie du Louvre ou Collection des estampes (1799).
Imprimerie Laboureur et Cie. 1949. In-4. En feuillets. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 19 pages agrafées - quelques illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : L'art de voir - pour connaître nos provinces françaises - la tour de Montaigne - la Lorraine et Nancy - conseils à celles qui sont dans les nuages - les échanges scolaires internationaux - du wagon pullmann au sac à dos - les maisons et les granges dans les Alpes du Nord - l'art roman dans le Roussillon - pour la marche pour la bicyclette et le bateau - la France pays du pétrole - peinture et photographie - l'école de tourisme - histoire à travers les vieux airs de chez nous - châteaux et résidences royales sur le bord de la Loire. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
13,5x21 cm, broché, 191 pages, bon état, couverture et dos un peu tachés, tampon de l'ex-propriétaire sur page de garde, préface de Frédérick Leboyer, traduction de Colette et Daniel Roumanoff, biographie de Prajnanpad et glossaire en fin d'ouvrage, code-barre : 9782863160275
Comme pour les sciences exactes, la science spirituelle exige d'expérimenter, de trouver, de vérifier et de réaliser la vérité... Une approche très pragmatique d'un des maîtres indiens les plus modernes d'aujourd'hui. Ces lettres ont ceci de paradoxal et de merveilleux qu'elles sont universelles et personnelles tout à la fois. En ce que Yogeshvar Chattopadhyaya (son véritable nom) qui jamais ne prêche ni n'enseigne ex-cathedra, s'adresse à chacun de nous dans notre langage, nous libère de la pensée et nous oblige à voir, à nous établir sur le terrain solide du voir...
Paris, Bernard, 1798. In-8 de (8)-316 pp., 2 pp. (catalogue Bernard), veau marbré, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge, premier plat de couverture de papier dominoté conservé (reliure de l'époque).
Première édition française des essais sur l'art du critique italien et théoricien de l'architecture Francesco Milizia (1725-1798) traduits et commentés dans une seconde partie par François-René de Pommereul où celui-ci expose ses thèses sous le titre Des institutions propres à encourager et perfectionner les Beaux-Arts en France, suivi de État des objets d'arts envoyés aux divers musées français, et conquis par les armées de la République pendant la guerre de la liberté.« Milizia fait éloge du rôle fonctionnel des édifices. Pour lui, l’architecture est née du besoin de l’homme de se protéger contre les intempéries ; aussi blâme-t-il vigoureusement l’ornementation gratuite dont les architectes, principalement ceux du baroque et du rococo, ont paré leurs monuments, détournant ainsi leur art de sa fonction primordiale. Désormais, il s’agit de revenir à la pureté des formes classiques de l’architecture gréco-romaine, mais dans un esprit critique, sous l’égide de la philosophie et de la raison. Milizia entend relever les « erreurs » des architectes les plus célèbres. Les théoriciens dont il s’inspire (Vitruve, Alberti, Palladio, Serlio, Scamozzi) n’échappent pas à la rigueur de son jugement critique. Simplicité, harmonie, unité dans la variété, juste proportion, tels sont les critères qui déterminent la beauté de l’édifice » (Encyclopédie Universelle). Rare exemplaire relié à l'époque avec le très beau premier plat conservé de papier dominoté fabriqué par Letourmi à Orléans « LETOURMI - N°177 ». Quelques corrections et biffures à l'encre du temps (pages 15, 74, 211, 251) signalent probablement la main du traducteur et essayiste François René Jean de Pommereul (1745-1823) général de division de la Révolution française qui devint préfet d'Indre-et-Loire sous le Premier Empire. Adepte du néo-classicisme, il préconisa l'édification de monuments publics pour familiariser la société avec l'art et voulut encourager la créativité des artistes principalement des graveurs. Pommereul a milité pour la création d'un musée public de gravure où seraient réunies les estampes des collections nationales et conservés les cuivres des graveurs ; il a voulu faciliter le commerce des épreuves de façon à soutenir la création des artistes, il est ainsi à l'origine de la Chalcographie du Louvre ou Collection des estampes (1799). Grand bibliophile, sa bibliothèque est en partie conservée à la médiathèque de Fougères, sa ville natale.
A COMPTE D'AUTEUR. 2012. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 71 pages - quelques reproductions en couleurs hors texte.. . . . Classification Dewey : 708-Galeries, musées, collections d'art
Classification Dewey : 708-Galeries, musées, collections d'art