G. Cres et Cie 1919
Reference : 50632
in12, belle reliure demi chagrin, dos 4 nerfs, bel etat, G. Cres & Cie, Librairie artistique Kundig, 1919, 162p, piece de theatre, illustrations n&b
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Paris, Albin Michel, 1903 1 volume in-18 (19,5 x 13 cm) de LXV-(1)-383 pages. Nombreuses illustrations en noir au trait dans le texte par Wely. Portrait photographique de Claudine (actrice Polaire) en écolière en frontispice. Reliure de l'époque demi-maroquin à coins havane, dos lisse orné doré, filets dorés sur les plats, tête dorée, non rogné (relié sur brochure). Couverture illustrée en couleurs par Wely (les deux plats et le dos conservés). Exccellent état. Très beau papier de Hollande. ÉDITION ORIGINALE. UN DES RARES EXEMPLAIRES SUR HOLLANDE, CELUI-CI PARAPHÉ PAR WILLY ET NUMÉROTÉ "N° HUIT [signé] WILLY" Les exemplaires sur grands papiers ne sont pas annoncés sur les exemplaires ordinaires. Il doit y avoir une dizaine d'exemplaires seulement sur ce papier. Le volume contient au début la plaidoirie de Maître J. Paul-Boncour pour la maîtresse du Prince Jean. L'ouvrage fut condamné. Cette première édition est la seule complète, les suivantes ayant été expurgées des passages les plus scabreux. "Willy est plus sourd encore que sa vertu n'est muette !... Du moins, cette Maîtresse du Prince Jean, a un mérite : elle ne prendra pas son lecteur en traître. Elle arrive à lui munie d'un casier judiciaire propre à le mettre en garde : dès avant son apparition, elle fut poursuivie, jugée et condamnée ; aussi, ceux qui voudront aller plus loin que la couverture du livre et en sortiront le rouge au front sauront à qui s'en prendre ; ils auront été prévenus. Je sais bien que l'éditeur, malin, a placé en tète du livre la délicieuse plaidoirie où M. Paul-Boncourt entreprit de démontrer à la justice de son pays que la Maîtresse du prince Jean n'était, mon Dieu, pas si immorale qu'on le voulait prétendre ; je sais bien qu'il l'a fait avec un luxe étonnant de verbe, d'esprit et d'aimable sophisme, et qu'il a réussi à être persuasif puisque je m'y suis laissé prendre et que j'ai lu le livre. Cette lecture m'a édifié — si j'ose dire — et je puis affirmer, en connaissance de cause que ce roman, même « épousseté », est terriblement scabreux. Je le sais d'autant mieux que j'ai lu jusqu'à la dernière page — il me faut faire mon mea culpa — car trop souvent le rire et le sourire désarmèrent ma colère ; et ainsi j'ai connu complètement les aventures de ce prince fantôme et de cette trop réelle et plantureuse Gaétane, et j'ai fréquenté le poète carottier Lauban, et Smiley, le littérateur, et aussi l'immuable Maugis, Journaliste notoire, qui ressemble à Willy comme un frère et qui en est très fier, le monstre ! J'ai vu, J'ai lu tout cela, et malgré moi j'y ai pris plaisir. Du moins, pour m'en punir et pour me réhabiliter à mes yeux. Je devais mettre en garde mes contemporains contre la séduction de la Maîtresse du prince Jean, leur affirmer que c'est un livre à ne pas lire et, puisque j'ai été victime de ma curiosité, empêcher les autres de céder à la leur, car s'ils ouvrent le livre, ils sont perdus, ils feront comme moi, ils iront jusqu'au bout." in Le Figaro du 31 juillet 1903, article signé Frédéric Charpin. TRÈS BEL EXEMPLAIRE DU TIRAGE A QUELQUES EXEMPLAIRES SUR HOLLANDE PARAPHÉ PAR L'AUTEUR RELIÉ A L’ÉPOQUE PAR CHARLES MEUNIER.
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Couverture souple. Broché. 15 x 22 cm. 136 pages.
Livre. La plupart des pages contiennent une maxime à la gloire des petits épiciers. La Maitresse de Maison, 1937.
Hector Fleischmann. Une maîtresse de Victor Hugo, d'après des documents nouveaux et avec des lettres inédites. Hector Fleischmann est un essayiste, romancier et historien belge né le 27 octobre 1882 à Saint-Nicolas (Flandre-Orientale en Belgique) et décédé le 3 février 1914 à Paris. Victor Hugo, le célèbre écrivain français du XIXe siècle, est principalement associé à deux femmes dans sa vie : Adèle Foucher, qu'il a épousée en 1822, et Juliette Drouet, sa maîtresse et muse pendant de nombreuses années. Adèle Foucher était l'épouse de Victor Hugo, et le couple a eu plusieurs enfants ensemble. Leur mariage a connu des hauts et des bas, mais ils sont restés mariés jusqu'à la fin de leur vie. Juliette Drouet était une actrice française qui a rencontré Victor Hugo en 1833 et est devenue sa maîtresse. Leur relation a duré plusieurs décennies, et Juliette Drouet était une correspondante passionnée de Victor Hugo, laissant derrière elle des milliers de lettres adressées à l'écrivain. vol broché 180x140, sous couvertures plastifiée, couverture illustrée, 294pp, parfait état, intérieur, illustrations Paris Librairie Universelle 1912 ref/c31
Portrait gravé sur bois par Paul Baudier complet vol. gd in.8, 230x150, couvertures rempliées, bel exemplaire en bel état, bien frais, 218pp Numéroté sur velin n° 247 Edition de Crès 1922 cet ouvrage est une œuvre de fiction qui explore les relations sociales et les dynamiques de pouvoir au sein de la société française de l'époque. Dans "La maîtresse servante", les Tharaud racontent l'histoire d'une jeune femme, souvent désignée comme "la maîtresse servante", qui occupe une position subalterne dans la hiérarchie sociale. Le roman examine les complexités des rapports entre les différentes classes et les luttes pour le pouvoir, notamment dans le contexte de l'après-Première Guerre mondiale. Le récit met en lumière les contrastes entre la bourgeoisie et les classes inférieures, mettant en scène des personnages issus de différents milieux sociaux et décrivant leurs interactions. Il explore également les thèmes de l'amour, de la quête d'identité et de la condition féminine à cette époque. "La maîtresse servante" est salué pour sa peinture réaliste de la société française de l'époque et sa représentation des conflits et des tensions sociales. Les frères Tharaud abordent des questions sociales et politiques importantes, tout en offrant une réflexion sur les dynamiques de pouvoir et les aspirations individuelles. Le roman est considéré comme une contribution significative à la littérature du début du XXe siècle et témoigne de l'intérêt des frères Tharaud pour les questions sociales et politiques de leur époque. c/33
Bel envoi autographe en fausse page de titre. Volume fort in-8 185x130, reliure demi-cuir, frottements sur les mors, bon état intérieur, 308pages Paris, Émile Paul, 1911 cet ouvrage est une œuvre de fiction qui explore les relations sociales et les dynamiques de pouvoir au sein de la société française de l'époque. Dans "La maîtresse servante", les Tharaud racontent l'histoire d'une jeune femme, souvent désignée comme "la maîtresse servante", qui occupe une position subalterne dans la hiérarchie sociale. Le roman examine les complexités des rapports entre les différentes classes et les luttes pour le pouvoir, notamment dans le contexte de l'après-Première Guerre mondiale. Le récit met en lumière les contrastes entre la bourgeoisie et les classes inférieures, mettant en scène des personnages issus de différents milieux sociaux et décrivant leurs interactions. Il explore également les thèmes de l'amour, de la quête d'identité et de la condition féminine à cette époque. "La maîtresse servante" est salué pour sa peinture réaliste de la société française de l'époque et sa représentation des conflits et des tensions sociales. Les frères Tharaud abordent des questions sociales et politiques importantes, tout en offrant une réflexion sur les dynamiques de pouvoir et les aspirations individuelles. Le roman est considéré comme une contribution significative à la littérature du début du XXe siècle et témoigne de l'intérêt des frères Tharaud pour les questions sociales et politiques de leur époque. ref/6