éditions ouvrières 1952 Un volume in-12, 153 pp.-table. Reliure en demi-toile bleue à coins, auteur, titre et filets dorés sur le dos, couverture conservée.
Reference : 4594
Aparté
M. Guilhem MATHIEU
13, rue de la Foire
34120 Pézenas
France
33 04 67 98 03 04
Les frais d' expédition sont à la charge de l'acheteur. Envoi de l'ouvrage après réception du règlement. Règlement à effectuer en euro. Les livres proposés n'existent qu'en un seul exemplaire. En cas de retour le délai est de 14 jours à compter de la date de réception de l'ouvrage. Les ouvrages commandés, non payés dans les 10 jours seront remis en circulation.
ATELIER 1989 13 8x2 8x21 2cm. 1989. Broché.
Très bon état - légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état- expédié soigneusement depuis la France
1973 1973. Histoire du Mouvement ouvrier français Tome 3 - Jean Bron/ 1973
Bon état
1979 1979. Histoire du Mouvement ouvrier français Tome 2 - Jean Bron/ 1979
Bon état
1974 1974. Histoire du Mouvement ouvrier français Tome 1 - Jean Bron/ 1974
Bon état
P., Editions Ouvrières, 1964-1997, 44 vol. gr. in-8°, plus de 400 pp chacun, reliures pleine toile brune de l'éditeur, jaquettes illustrées conservées (déchirure réparée à une jaquette), très bon état. Rare complet des 44 volumes (Le Quillec, 2965). Compte-tenu du poids important de l'ensemble, nous serons amenés à demander des frais d'expédition plus importants en cas d'envoi
Le Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français, plus communément appelé "Le Maitron", du nom de son fondateur, et parfois désigné par le sigle DBMOF, est une œuvre monumentale se composant de 44 volumes publiés entre 1964 et 1997 sous la direction de Jean Maitron (décédé en 1987) puis de Claude Pennetier. Les 43 premiers volumes comportent 103 000 notices biographiques réunies par 455 auteurs. Il se divisent en quatre périodes historiques : I. 1789-1864 : De la Révolution française à la fondation de la première Internationale ; II. 1864-1871 : De la fondation de la première Internationale à la Commune ; III. 1871-1914 : De la Commune à la Grande Guerre ; IV. 1914-1939 : De la Première à la Seconde Guerre mondiale. En 1997, la collection s'enrichit d'un volume complémentaire regroupant 226 notices (tome 44) : Compléments aux tomes 1 à 43 (Editions de l'Atelier, 1997, 437 pp). — "Par un appel lancé en juillet 1958 dans une revue qu'il avait fondée – L'Actualité de l'Histoire – Jean Maitron proposait aux historiens de collaborer, sous sa direction, à la réalisation d'un Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français qui, de la Révolution française à 1939, devait "comprendre" ceux qui avaient "milité", à un moment ou à un autre de leur trajectoire personnelle, dans "le" mouvement ouvrier. Quatre périodes ont été définies : de la Révolution française à la fondation de la 1ère Internationale (3 vol.) ; la 1ère Internationale et la Commune (6 vol.) ; de la Commune à la Grande Guerre (6 vol.) ; de la première à la seconde guerre mondiale (28 volumes). Claude Pennetier – co-directeur de la dernière série – évalue à 260 les auteurs des notices, parmi lesquels on compte certains des meilleurs spécialistes de l'histoire sociale et politique, de Maurice Agulhon à Michèle Perrot, de Madeleine Rébérioux à Pierre Broué, d'Yves Lequin à Nicole Racine, de Maurice Moissonnier à Jacques Girault, pour n'en citer que quelques uns. Le premier volume publié le fût en 1964 et, à ses débuts, beaucoup de collaborateurs du Dictionnaire, en particulier les correspondants locaux, sont des érudits passionnés d'histoire sociale, instituteurs souvent. (...) . Que le Dictionnaire ait pu associer tant d'historiens aux options idéologiques différentes et/ou opposées, aux statuts multiples, qu'il ait acueilli, en les biographiant, communistes et socialistes, anarchistes et trotskistes, syndicalistes chrétiens et coopérateurs "renégats" et "apostats", résulte d'un accord intéressé entre les auteurs et d'une garantie "morale" et scientifique, qu'offrait précisément Jean Maitron. Accord tout d'abord sur l'éloge à rendre aux militants, mais accord aussi et surtout sur la nécessité de faire droit à cette histoire au sein de l'Université, et par conséquent de visibiliser ce champ historique. Colette Chambelland souligne l'isolement intellectuel de ceux qui souhaitent s'adonner à ce projet : dans la Sorbonne de 1948, rappelle-t-elle, "il fallait fréquenter de relatifs marginaux comme Edouard Dolléans, Georges Duveau, Georges Bourgin, Jean Stoezel et curieusement le médiéviste Charles- Edmond Perrin pour rencontrer des professeurs à qui les noms de Pelloutier, de Pouget ou de Sorel, évoquent quelque chose"." (Bernard Pudal, Politix, 1989)