Editions Ipomée, 1983, 25 x 33, 44 pages sous reliure éditeur toilée illustrée. Contreplats et pages de gardes décorés en couleurs par Martine Salzmann. Images en couleurs de Frédéric Clément.
Reference : ENFANTINA87451212
Reliure défraîchie.
Le Plaisir du Texte
M. Fabrice Sivignon
1 rue Violi
69001 Lyon
France
04 78 58 44 04
Règlement par chèque, mandat, virement bancaire ou Paypal. Prix en euros, auxquels il convient d'ajouter le coût du port. Les livres voyagent aux frais et risques de l'acheteur. Expédition dès réception du règlement.
Édition originale avec envoi autographe de Rouget de Lisle « au citoyen Bennezek ». Bel exemplaire, des bibliothèques Pixérecourt et docteur Lucien Graux. A Paris, de l'Imprimerie de P. Didot l’aïné, 1796. In-8 de (2) ff., 157 pp., 5 pages de partitions gravées, 1 gravure hors texte.Veau blond raciné, petite guirlande dorée en encadrement, dos lisse finement orné, pièce de titre de maroquin rouge, tranches jaspées. Reliure de ['époque. 190 x 109 mm.
Edition originale du premier livre de Rouget de Lisle présentant les couplets de la Marseillaise. Elle fut composée tant pour les paroles que pour la musique, dans la nuit du 24 au 25 avril 1792, à Strasbourg, chez le maire de la grande cité alsacienne, Dietrich, par Claude Joseph Rouget de Lisle (1760-1836), simple capitaine du génie, originaire du Jura. Entonné le 22 juin de la même année, à Marseille, par un étudiant en médecine de Montpellier, François Mireur, lors du banquet qui réunissait les volontaires du bataillon marseillais qui se préparait à partir pour la défense du pays, ceux-ci, enthousiasmés, l'adoptèrent comme chant de ralliement. De ville en ville, partout où ils passaient, les Marseillais le chantèrent, avec passion. La Marseillaise paraît ici pour la première fois dans un volume entièrement dû à Rouget de Lisle et portant son nom. Elle y est en six stances, telle qu’il la composa. Titre : « Le Chant des Combats, vulgairement L’Hymne des Marseillois. Aux Mânes de Sylvain Bailly, premier maire de Paris ». « Le 30 juillet 1792, les 516 hommes composant ce bataillon de Fédérés entrèrent dans Paris : guidés par Santerre « ils débouchèrent sur la place de la Bastille, tambours battant, drapeau tricolore déployé, à une allure martiale, chantant l'hymne, encore inconnu à Paris, de l'armée du Rhin » (Ph. Sagnac, la Révolution, 1789-1792, « Histoire de France contemporaine », de Lavisse). « Les larmes, dit encore le Père Duchesne d'Hébert, coulaient de tous les yeux ; l'air retentissait des cris de : Vive la Nation / Vive la liberté ! » Dès lors, l'hymne reçut le nom de Chanson des Marseillais, puis, par abréviation, de Marseillaise. Chanté le 10 août de la même année, toujours par les bataillons marseillais, lorsqu'ils envahirent les Tuileries, adopté par les soldats de la République, par ces « Volontaires de 92 » ; il est présent sur les champs de bataille. Le 17 octobre, la convention décida d'en faire l'Hymne de la République. Décrété chant national le 26 messidor an III (14 juillet 1795), ce titre lui sera confirmé ; au début de la IIIe République, à la suite d'un débat à la Chambre des Députés, le 14 février 1879. Chant de la patrie envahie, la Marseillaise dit l'amour du foyer, la douceur des campagnes menacées par l'ennemi du dehors ; elle en appelle à la juste vengeance, au courage, à l'héroïsme ; elle proclame la mort plutôt que la honte. Jaillissant spontanément des cœurs, elle fut un signe de ralliement dans la victoire comme dans la défaite. » « Chant révolutionnaire, sorti des entrailles d'un peuple souverain, amoureux de la liberté et de la fraternité, elle sonne l'heure du combat contre toutes les formes de la tyrannie, contre tous les visages de l'oppression. A ce titre, elle fut chantée dans toute l'Europe par les troupes révolutionnaires à l'assaut de la monarchie et de l'ancien régime, en ce sens, elle est, comme l'a dit Michelet, « un chant éternel ajouté à la voix des nations. » Ce recueil contient en outre en prose Adélaïde de Monville, avec une jolie figure gravée par Gaucher d’après Lebarbier, en premier tirage. A la fin : « Chant de l’Hymne à l’Espérance. Gravé par Richomme », soit ce titre et 5 pages de paroles et musiques gravées. Précieux exemplaire imprimé sur beau papier vélin, conservé dans sa reliure de l’époque, l'un des rares contenant un envoi autographié signé de Rouget de Lisle sur le titre « J. Rouget de Lisle au citoyen Bennezek ». Des bibliothèques Guilbert de Pixérecourt (Crozet, 1838, n°705 du catalogue) et du docteur Lucien Graux avec ex-libris (n°155 du catalogue de la vente du 18 juin 1958).
1983 LE PREMIER CHANT.Images Frédéric Clément.Ipomée , 1983 , in folio ( 32 x 24 ) reliure toile grise éditeur .Mise en page de qualité.Bel ouvrage en très bon état.
PARIS. 1 DECEMBRE 1810. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 225 à 280.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Fragment du premier chant du poeme de la Franciade, La parthénéide, poeme de M. J. Baggesen, traduit de l'allemand, le fils perverti par son père traduit de l'anglais de Thomas Haleroff, Salon de peinture (second article de M. Victorin-Fabre), chronique de paris, spectacles Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
AU BUREAU DE LA REVUE. 16 DECEMBRE 1910. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 577 à 784.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Tancrède de Visan.. Le Romantisme allemand et leSymbolisme français..Francis Jammes. Les Gêorgiques chrétiennes, premier chant..Charles Baudelaire. Pages de Carnet, publiées parM. Féli Gautier..Legrand-Chabrier. Pèlerinage de NoëlAndré Rouveyre.. Visages : LV. Marthe Brandès.Georges Izambard. Arthur Rimbaud rhétoricien (Ré-ponse à M. Paterne Berrichon) .Gabriel Soulages. La Terrible question Pommiè,(I-XI) roman.REVUE DE LA QUINZAINERemy de Gourmont Epilogues : Les Femmes à l Aca-démie. L’homme à la bouche decarpe.Pierre Quillard.Les PoèmesRachilde.. Les RomansJean de Gourmont..» Littérature..Edmond Barthélémy .. Histoire.Henri Mazel.. Science sociale.A. van Gennep. Ethnographie, Folklore.Charles-Henry Hirsch.. Les Revues.R. deBury. Les Journaux.André Fontainas. Les ThéâtresJean Marnold. Musique.Charles Morice.. Art moderneHenri Albert. Lettres allemandesE. Séménoff..Lettres russes..H. Messet. Lettres néerlandaises» Jacques Daurelle. La CuriositéMercvre. Publications récentes.Echos Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Librairie Victor Lecoffre. 1858. In-12. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 30 pages, puis 26 pages. Texte en grec ancien. 1er plat se détachant.. . . . Classification Dewey : 480-Langues helléniques. Grec
Avec arguments et notes en français. Classification Dewey : 480-Langues helléniques. Grec