‎MOURAUD Tania‎
‎Encore une fois‎

‎Paris, Editions Gallimard, "Alternatives", 2024, 20 x 26, 96 pages cousues sous couverture rempliée illustrée. Iconographie couleurs. Ouvrage publié à l'occasion de l'exposition "Dans les vents de l'oubli" installée à Fluctuart, Paris, du 15 février au 28 avril 2024. "Tania Mouraud fait dialoguer sa célèbre série datée de 2005 I have a dream avec une nouvelle série intitulée Shmues. L'écriture devient alors matériau plastique qui exprime un désir de liberté et d'insoumission. La série I have a dream emprunte et réactualise la célèbre phrase de Martin Luther King. Par sa graphie hors norme, Tania Mouraud manifeste qu'il convient de batailler pour voir des mots qu'un usage médiatique a fini par rendre invisibles. En associant plusieurs langues - anglais, français, hébreu, chinois, hindi, arabe, coréen - à la singularité de son langage plastique, l'artiste rend au message antiraciste, qui doit "encore une fois" être répété, toute sa force, sa justesse et son efficacité."‎

Reference : ARTTTT9990324
ISBN : 9782073054104


‎Très bon état.‎

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Le Plaisir du Texte
M. Fabrice Sivignon
1 rue Violi
69001 Lyon
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‎BRETON André‎

Reference : 75729

(1953)

‎Lettre autographe signée inédite adressée au critique Charles Estienne : "Allons, ce n'est pas encore cette fois que dans la révolte je parviendrai à introduire la "mesure" que nous prêche aimablement M. Camus."‎

‎Paris 8 janvier 1953, 21x27cm, 1 pages et quelques lignes sur un feuillet.‎


‎Lettre autographe signée inédite d'André Breton adressée au critique Charles Estienne?; une page et quelques lignes à l'encre noire sur un papier à en-être de la galerie de l'Étoile Scellée. Deux pliures transversales inhérentes à l'envoi, un petit manque angulaire en marge haute droite. Très belle lettre rendant compte de la disparition de l'un des amis les plus chers d'André Breton et de sa brouille avec Albert Camus. Breton fait part à son ami de la disparition de l'artiste surréaliste tchèque Jind?ich Heisler?: «?Votre lettre parlait de ces jours où il semble «?qu'il y ait juste assez de feu pour vivre?»?: c'était bien loin d'être assez de feu lundi, lorsqu'elle me parvenait?: un de mes deux ou trois meilleurs amis, Heisler, pris soudain de malaise en se rendant chez moi le samedi, avait dû être hospitalisé d'urgence et je venais de recevoir le pneumatique de Bichat m'annonçant sa mort. Je suis resté longtemps hagard devant ce fait non moins impensable qu'accompli?: il n'était pas d'être plus exquis que celui-ci, mettant plus de chaleur dans ses entreprises, dont la plus constante était de tout alléger et embellir à ceux qu'il aimait.?» Les deux poètes étaient en effet très proches?: Heisler avait participé, au côté de Breton, au lancement de Néon en 1948 et l'avait soutenu lors d'un épisode dépressif, l'accompagnant avec d'autres amis à l'île de Sein. «?Le début de l'année 1953 est assombri par la mort de Jind?ich Heisler (le 4 janvier). Fidèle entre les fidèles, il «?a vécu intégralement pour le surréalisme?» selon Breton qui rend hommage à son activité d'animateur?: «?C'est ainsi qu'il fut de 1948 à 1950 l'âme de Néon et jusqu'à ses derniers instants le plus grand enfanteur de projets que son génie lui soufflait le moyen de réaliser comme par enchantement.?»?» (Henri Béhar, André Breton) Dans cette lettre empreinte de douleur, Breton fait soudainement référence à L'Homme révolté d'Albert Camus paru deux années plus tôt?: «?Allons, ce n'est pas encore cette fois que dans la révolte je parviendrai à introduire la «?mesure?» que nous prêche aimablement M. Camus.?» Les deux écrivains se rencontrent à New York à la fin mars 1946 alors que Camus est invité aux États-Unis pour une tournée de conférences comme représentant de Combat. «?Tous deux se concertent sur la meilleure façon de préserver le témoignage de certains hommes libres des distorsions idéologiques. Ils rêvent à une sorte de pacte par lequel des gens de leur trempe s'engageraient à ne s'affilier à aucun parti politique, à lutter contre la peine de mort, à ne jamais prétendre aux honneurs quels qu'ils soient.?» (ibid.) Avec d'autres intellectuels, ils fonderont en 1948 le Rassemblement démocratique révolutionnaire (RDR). Cet idylle prendra fin quelques années plus tard, à l'automne 1951, lorsque Camus publiera «?Lautréamont et la banalité?» extrait de son Homme révolté à venir. Breton, extrêmement blessé, lui répond dans un article intitulé «?Sucre jaune?» (in Arts)?: «?Cet article [...] témoigne de [l]a part [de Camus], pour la première fois, d'une position morale et intellectuelle indéfendable. [...] Il ne veut voir en Lautréamont qu'un adolescent «?coupable?» qu'il faut que lui - en sa qualité d'adulte - il morigène. Il va jusqu'à lui trouver dans la seconde partie de son uvre?: Poésies, une punition méritée. À en croire Camus, Poésies ne serait qu'un ramassis de «?banalités laborieuses?» [...] Il n'y aurait encore que demi-mal si l'indigence de ces vues ne se proposait d'élever la thèse la plus suspecte du monde, à savoir que la «?révolte absolue?» ne peut engendrer que le «?goût de l'asservissement intellectuel?». C'est là une affirmation toute gratuite, ultra-défaitiste qui doit encourir le mépris plus encore que sa fausse démonstration.?» Ainsi, deux ans plus tard, Breton tient encore rigueur du crime de lèse-majesté de Camus envers celui que Breton a érigé en père du surréalisme, mais plus encore, cette allusion à la philosophie pacifiste de Camus, témoigne de l'incompatibilité entre une pensée de la modération et une poésie de la révolution. Exceptionnelle lettre mélancolique sur la disparition des êtres et de l'esprit surréaliste dans ce monde d'après guerre, mais rédigée sur papier à en-tête de la toute nouvelle galerie d'André Breton, l'étoile scellée, qui réussira à faire renaître le phénix surréaliste. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR3,500.00 (€3,500.00 )

Reference : 400103193

(2015)

‎Barbara maure Et si on s'aimait encore une fois Nous deux 2015‎

‎ 2015 2015. 2 Barbara Maure: Et si on s'aimait encore une fois / Nous Deux 2015‎


‎Très bon état‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR2.00 (€2.00 )

‎Grandville - Forest, Eugène-Hippolyte‎

Reference : 25248

(1832)

‎Encore une fois… Madame, voulez vous ou ne voulez vous pas divorcer, vous êtes parfaitement libre (IFF 43).Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ 1832 Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 3, 9 février 1832, (Planche n°135) - Œuvre :Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 19.1cmx Largeur: 23.4cm- Titre en bas au centre : « Encore une fois… Madame, voulez vous ou ne voulez vous pas divorcer, vous êtes parfaitement libre. » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) / (N°67.) », en ht à dte : « Pl. 135. »- Dans la lettre : « Lith. de Delaporte. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « JJ. Grand / E. For. / H. Del. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, Eugène Forest, lithographe, et « H. Del. » ( ?)]Inscription - Sur le papier tenu par Louis-Philippe : « Loi Du / Divorce / 1831 / Article » ; sur les papiers posés sur la table : « Promesse / avec […] », « Allian[…] [Alliance] / Liber[…] [Liberté] », « HOTEL / DE / VILLE » (allusion au prétendu programme de l’hôtel de ville auquel se référa fréquemment l’opposition républicaine, mais dont Louis-Philippe nia l’existence); sur les journaux jonchant le sol en bas à dte : « NÉMÉSIS », « LA CARICATURE », « La Tribune », « La Révolu[…] [Révolution] / de 1830 » (journaux de l’opposition); sur les cadres accrochés au mur du fond : « VALMY », « Jemmapes » ; à gche sur le mur, étiquettes d’un calendrier avec les dates des Trois GlorieusesDescription iconographique:La table des matières donne une précision sur le titre : « Le divorce d’Harpagon et de la Liberté ». Scène de ménage entre Louis-Philippe et la figure de la France républicaine, incarnée par une femme portant un bonnet phrygien à cocarde tricolore. Le roi brandit la loi du divorce de 1831 de la main gche et une masse de la main dte. Tous les éléments présents dans cet intérieur tendent à rendre sensible le décalage entre la fidélité aux idées républicaines rappelée par le roi (pendule de l’hôtel de ville, pavé de la révolution de juillet sous verre, tel une relique, son engagement révolutionnaire dans les batailles de Jemmapes et Valmy rappelé dans les tableaux accrochés au mur), et la réalité, c’est-à-dire, son éloignement de l’idéal révolutionnaire (coq enchaîné, buste brisé de La Fayette, journaux de l’opposition jetés à terre), et traitement infligée à la République, son épouse, dont il veut divorcer. La pl. met ainsi en lumière la volonté du roi de rompre avec les principes républicains.En outre, la pl. constitue une allusion à la loi sur le rétablissement du divorce qui venait d’être votée par la Chambre des députés (janvier 1832) et rejetée par les Pairs. Sur le même thème, cf. article du numéro 47, p. 367-370.Personne / Personnage représenté:Du Motier de La Fayette, Gilbert, marquis; Louis-Philippe Ier, roi des Français‎


‎iconographie:La table des matières donne une précision sur le titre : « Le divorce d’Harpagon et de la Liberté ». Scène de ménage entre Louis-Philippe et la figure de la France républicaine, incarnée par une femme portant un bonnet phrygien à cocarde tricolore. Le roi brandit la loi du divorce de 1831 de la main gche et une masse de la main dte. Tous les éléments présents dans cet intérieur tendent à rendre sensible le décalage entre la fidélité aux idées républicaines rappelée par le roi (pendule de l’hôtel de ville, pavé de la révolution de juillet sous verre, tel une relique, son engagement révolutionnaire dans les batailles de Jemmapes et Valmy rappelé dans les tableaux accrochés au mur), et la réalité, c’est-à-dire, son éloignement de l’idéal révolutionnaire (coq enchaîné, buste brisé de La Fayette, journaux de l’opposition jetés à terre), et traitement infligée à la République, son épouse, dont il veut divorcer. La pl. met ainsi en lumière la volonté du roi de rompre avec les principes républicains.En outre, la pl. constitue une allusion à la loi sur le rétablissement du divorce qui venait d’être votée par la Chambre des députés (janvier 1832) et rejetée par les Pairs. Sur le même thème, cf. article du numéro 47, p. 367-370.Personnages représentés:Du Motier de La Fayette, Gilbert, marquis; Louis-Philippe Ier, roi des Français ‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

Phone number : 33 04 94 63 34 56

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‎CAMI Pierre Henri‎

Reference : 80572

(1952)

‎Importante lettre autographe signée adressée à Carlo Rim le remerciant de lui avoir permis de renouer en amitié avec Charlie Chaplin lors de son passage en France : "Encore une fois merci pour vos invitations aux réceptions chaplinesques. Grâce à vous, Charlie avec qui j'étais un peu en froid, depuis notre désaccord sur "Verdoux", m'a accueilli à bras ouverts."‎

‎s.l. 9 Novembre 1952, 21x27, une feuille.‎


‎Très belle lettre autographe signée de Cami adressée à son ami l'écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste Carlo Rim qui fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi d'André Salmon et Max Jacob (41 lignes à l'encre noire depuis son domicile parisien) évoquant la joie de son fraternelle amitié recouvrée avec Charlie Chaplin grâce à lui. Cami remercie Carlo Rim de lui avoir permis de retrouver les bonnes grâces de Charlie Chaplin avec qui il était brouillé après 35 ans d'amitié et il propose, dans la foulée, au cinéaste marseillais un projet de biographie de son ami Chaplin ainsi qu'un projet d'adaptation cinématographique de son dernier ouvrage paru : "Mon cher Carlo Rim, Maintenant que Chaplin est parti, je tiens à vous remercier de tout coeur pour vos amicales attentions à mon égard durant son séjour. Je vous avais demandé il y a quelques jours si votre éditeur serait interessé par mes souvenirs sur Charlot. On a beaucoup écrit sur Chaplin, je ne l'ignore pas, mais mon livre n'est pas une simple biographie, mais plutôt une étude humoristique et assez imprévue sur la double personnalité de Charlie. En somme presque un roman avec de nombreuses et sensationnelles anecdotes inédites sur ses séjours en Europe. A défaut de l'édition en volume, ne connaitriez-vous pas une revue cinématographique susceptible de faire paraître mes souvenirs romancés en feuilleton ? D'autre part, je viens de terminer un roman comique intitulé "TON TOIT EST A TOI" tout à fait rêvé comme sujet pour une adaptation cinématographique. Cela intéresserait peut-être davantage votre éditeur et vous même en qualité de cinéaste. Je serai très heureux si ce roman vous plaisait de travailler en amicale collaboration avec vous. Encore une fois merci pour vos invitations aux réceptions chaplinesques. Grâce à vous, Charlie avec qui j'étais un peu en froid, depuis notre désaccord sur "Verdoux", m'a accueilli à bras ouverts. Et nous avons pu évoquer avec émotion nos 35 ans d'amitié. Avec ma reconnaissance, croyez-moi toujours votre Camicalement dévoué Cami. Veuillez, je vous prie, transmettre à votre charmante femme mon très sympathique souvenir." - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO10086370

(1973)

‎PARIS MATCH N° 1238 - Pompidou : des neiges de Minsk au carrosse de Saba, Mon amour tu es venu, chante encore une fois Brigitte Bardot, Fallait-il censurer Le dernier tango a Paris ? par Jean Cau, Pompidou va monter au créneau par Raymond Tournoux, Golda‎

‎PARIS MATCH. 27 janvier 1973. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 94 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Pompidou : des neiges de Minsk au carrosse de Saba, Mon amour tu es venu, chante encore une fois Brigitte Bardot, Fallait-il censurer Le dernier tango a Paris ? par Jean Cau, Pompidou va monter au créneau par Raymond Tournoux, Golda Meir a Paris : bien gardée, Le dernier quart d'heure de Nixon par Raymond Cartier, Le roman des faux tableaux par Jean Marvier Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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