Pars Chez l'Artiste 1936 In 4 en feuilles sous chemise et étui. Edition illustrée de 21 eaux-fortes en couleurs de Jean Berque. Tirage limité à 180 exemplaires numérotés signés par l'auteur.
Reference : G332
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47 PAGES-21 CM X 29,5 CM-EN COUVERTURE CARICATURE DE TRISTAN BERNARD PAR SON PETIT FILS-INTRODUCTION ET HOMMAGE, PAR JEAN VALMY-TRISTAN BERNARD 1866-1947-LA FAMILLE BERNARD-L'ELEVE ET LE JOURNALISTE TRISTAN-TRISTAN ET LE SPORT-TRISTAN HUMORISTE ET POETE-TRISTAN ACTEUR-TRISTAN AUTEURTRISTAN ET SES AMIS-TRISTAN ET LA SACD-TRISTAN ET LA GUERRE-TRISTAN ET SA FAMILLE-HOMMAGES A CHRISTIAN-TABLEAUX-AFFICHES-THEATRE DE JEAN JACQUES BERNARD-JEANJACQUES BERNARD A LA SACD-SOUVENIRS PERSONNELS DE JEAN JACQUES BERNARD-AFFICHES-TABLEAU-RAYMOND BERNARD 1891 1977-RAYMOND BERNARD COMEDIEN-FILMS DE RAYMOND BERNARD-RAYMOND BERNARD ET SES INTERPRETES-TABLEAUX-AFFICHES-AGRANDISSEMENTS PHOTOGRAPHIQUES-ETIENNE BERNARD 1893 1980-PLIURE ANGLES SUP DR ET INF DR DE LA UNE DE COUVERTURE SINON TRES BON ETAT-(7C)
SACD (SOCIETE DES AUTEURS ET COMPOSITEURS DRAMATIQUES) 1981 Soft Cover Near Fine
P., La Bibliothèque Française, 1947, in-12, 296 pp, broché, bon état
"Flora Tristan, âpôtre du socialiste et du féminisme, est peu connue du grand public. Le livre que nous présente aujourd'hui Lucien Scheler a été élaboré très soigneusement, et ses lecteurs y trouveront à la suite d'une biographie passionnante, une anthologie de Flora Tristan qui donne une idée très suffisante de cette œuvre peu répandue. Lucien Scheler a choisi fort intelligemment ses morceaux dans les Pérégrinations d'une Paria (1838), dans les Promenades dans Londres (1840) et dans Union ouvrière (1843). Le premier de ces ouvrages est essentiellement autobiographique, mais contient aussi des aperçus pittoresques et instructifs sur la vie au Pérou vers 1830, alors que Flora Tristan y était venue tenter, auprès de l'aristocratique famille de feu son père, une démarche pour récupérer la succession de celui-ci. Les Promenades dans Londres (1840) contiennent d'intelligentes considérations et une grande masse de données sur l'Angleterre politique, économique, sociale, ouvrière, morale, etc... Dès lors la vocation de Flora Tristan s'est affirmée : le spectacle de la misère qu'elle sait observer et méditer lui découvre des vérités premières qu'elle va formuler dans son petit livre Union ouvrière (1843). Déjà les saint-simoniens avaient révélé l'existence des classes sociales, dont la classe ouvrière, la plus nombreuse, la plus utile, est la plus pauvre. Flora Tristan proclame, quatre ans avant Marx, que ces classes sont en lutte et que la classe ouvrière ne s'émancipera que par ses propres efforts. Mais l'apôtre, solidariste, souhaite que les autres classes sociales collaborent à cette émancipation, laquelle ne sera d'ailleurs possible que lorsque les ouvriers seront sortis de l'abjection dans laquelle ils croupissent, la plupart sans s'en douter. Reprenant et révisant les projets des réformateurs du compagnonnage, Flora Tristan entreprend de provoquer dans les milieux ouvrier ce noble désir de progrès laborieusement gagné. Après avoir fréquenté les miteux de l'Atelier et de la Ruche Populaire à Paris, ou telles autres élites ouvrières, elle part à travers la France, suivant l'itinéraire habituel des « Compagnons » ; d'avril à septembre 1844, elle prêche de ville en ville, le « nouvel évangile », signalée, surveillée par la police et parfois même inquiétée. Elle est diversement accueillie, obtenant çà et là des résultats qui l'enthousiasment, notamment à Lyon, à Marseille, à Toulon, à Carcassonne. Chemin faisant, elle cause avec des patrons, avec des bourgeois, avec des curés et des pasteurs ; quatre évêques lui accordent audience. Après quatre mois d'un voyage épuisant, voyage de propagande et aussi voyage d'études, elle vient mourir à Bordeaux en novembre 1844... Lucien Scheler a bien conté cette belle histoire, montrant avec exactitude les influences que notre apôtre avait subies, ou tout au moins les suggestions ; notamment les leçons d'outre-Manche : Robert Owen, les Chartistes, O'Connell. Il a aussi mis en valeur la tendance internationaliste de Flora Tristan. Je ne vois d'ailleurs aucune omission dans ce petit volume qu'il faudrait largement répandre. L'excellente étude donne une idée très exacte de l'apôtre." (Jules-L. Puech, Revue d'Histoire du XIXe siècle - 1848, 1949) — "Curieuse Flora Tristan. Elle meurt en 1844 à 41 ans, après un apostolat social de dix-huit mois qui n'a frappé « l'opinion » – celle qui lisait les journaux – que de façon marginale. Si elle a été l'amie de Victor Considérant, si elle a admiré Robert Owen, elle a brisé, vite, avec le Père Enfantin et le saint-simonisme, et les socialistes de sa génération qui lui survivront l'ignorent ; non seulement Marx, qu'elle aurait pu rencontrer pourtant à Paris, mais Proudhon qui, en elle, méprise d'abord la femme..." (Madeleine Rebérioux, Annales ESC, 1974) — "Ma grand'mère était une drôle de bonne femme. Elle se nommait Flora Tristan." (Paul Gauguin)
Genève Chez L'auteur 1984 In 8 Dans le cadre prestigieux de la Cornouaille , l'histoire d'un nouveau Tristan qui , semblable à celui de la légende , est poursuivi par une fatalité à laquelle il ne peut - ni ne veut - échapper . Roman . - 148 p. , 450 gr.
Couverture souple Parfait État . 1° édition
Monaco Éditions Du Rocher 2000 Grand In 8 Résolument humaniste et antifascite , l'oeuvre de Tristan allie l'humour au " Gai savoir " , la révolte à l'exigence , pour constituer une nouvelle comédie humaine adaptée à son époque , à ses attentes et à ses angoisses . - 190 p. , 350 gr.
Couverture souple Très Bon État . 1ère Édition
Amiens, Edgar Malfère, "Bibliothèque du Hérisson", 1923 ; in-12, broché, 1979 pp. - Edition originale.