Paris, Christophe David, 1740. 1 vol. in-12, veau fauve glacé, dos à nerfs orné de fleurs de grenade dorées, pièces de titre en maroquin rouge, filet doré sur les coupes, tranches jaspées de rouge. Reliure de l'époque, coins émoussés. Bel exemplaire. (12) ff., 240 pp. Quelques cernes dans les marges.
Reference : 18178
Edition rare, la troisième publiée par Christophe David. Comme la seconde, elle porte également l'avis signalé sur les livres faussement attribués à Mme de la Vallière Clément II, p. 266. Duclos, p. 840. Tchemerzin
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LA VALLIÉRE (Louise Françoise de La Beaume Le Blanc, duchesse de)
Reference : 13997
(1754)
1754 Paris, Savoye, 1754, petit in 12 de VIII-300 pp., joli portrait gravé de la duchesse en religieuse placé en frontispice, rel. début XIXe, plein veau glacé havane, dos lisse orné de roulettes dorées romantiques à la cathédrale et de fleurons à froid, encadrements de roulette dorée sur les plats soulignés de roulette à froid, tranches jaspées bleues, bon ex.
Jolie petite édition ornés de bandeaux, lettrines et culs de lampe, illustrée de 2 figures h-t. d'après Cochin gravées par Duclos et d'un portrait- frontispice.
Paris et Liège : Everard Kints, s. d. (ca 1700 ) In-8, (1)-II-VII-(1)-122-(1) pages. Veau raciné de la fin du XVIIIe siècle, dos lisse orné.
Accroc à la coiffe supérieure, dos passé. "Ces réflexions imprimées à Paris pour la première fois, sous le nom d'une princesse pénitente, en 1680, sans la participation de cette dame, furent écrites, a-t-on-dit, après le rétablissement d'une maladie qui avait conduit la duchesse aux portes du tombeau" (Quérard IV, 632).La duchesse Louise de La Vallière (1644-1710) devint la maîtresse de Louis XIV dès son arrivée à la Cour en 1661. Cette relation, secrète puis dévoilée au grand jour, choqua de nombreux dévots dont Bossuet. Après une période de cohabitation avec la nouvelle favorite, la Montespan, elle demanda au roi de se retirer au couvent des Grandes-Carmélites et prit pour nom Louise de la Miséricorde. Saint-Simon n'hésite pas à la qualifier de "sainte" et dit d'elle : "Heureux le roi s'il n'eut eu que des maîtresses semblables à Mme de la Vallière…"
Paris, Antoine Dezallier, 1712. 1 vol. in-12, veau brun, dos à nerfs orné de caissons dorés. Reliure de l'époque, accroc à la coiffe inf., coins émoussés. (12) ff., 240 pp.
Première édition à comporter le texte corrigé par Bossuet, d'après son exemplaire de l'édition de 1688. Cette particularité était ignorée des bibliographes, en particulier de Damas Hinard qui en donna une édition en 1852. Publiée un an après la mort de la duchesse, elle est la première à porter son nom sur le titre et comprend en outre le Récit abrégé de sa vie. Bon exemplaire, avec de grandes marges (haut. : 162 mm).
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Paris Belin-Leprieur, 1843, 1 demi basane, coins émoussés. in-8, f.t., titre, VIII-439 pp., rousseurs ;
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