Paris, Éditions Prisma, Photo-Guide Prisma, 1950. Broché, 12 cm x 15,5 cm, 48 pages, photos et schémas-guide noir & blanc in et hors-texte. Texte de M. Deribéré. Bon état
Reference : 22925
Librairie Sedon
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1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...
Maspero, 1982, in-8°, 268 pp, biblio, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
"Coup d'oeil sur le travail féminin en usine en France durant l'entre-deux-guerres : tel est l'objet de la présente étude dont le titre cependant s'avère plus général que le contenu même de l'ouvrage ; il s'agit en effet de la présentation commentée d'un seul type de source — source présentée et exploitée certes avec bonheur — : vingt-neuf rapports de stages effectués en usines comme ouvrières anonymes par vingt-sept élèves «surintendantes d'usine», issue de l'Ecole des surintendantes d'usine. Une triple limite est ainsi fixée quant au contenu : tout d'abord, il s'agit d'un regard de spectateur non impliqué — le stage en question dure quinze jours à un mois — ; spectatrice, l'élève surintendante d'usine déploie en outre une vision du monde ouvrier liée à celle héritée de son milieu social et à celle acquise en cours de formation ; enfin, la stagiaire ne connaît pas la contrainte financière qui motive souvent le travail féminin en usine. Ainsi se mêlent deux composantes dans ces témoignages présentés : si les témoins sont ainsi capables de jeter un regard critique sur le travail en usine, les élèves surintendantes restent cependant prisonnières d'une perception bourgeoise du monde ouvrier et des réalités vécues par celui-ci. Le contenu de l'analyse est subdivisé en trois parties : l'usine, la femme, la surintendante. Un chapitre final intitulé «Le cas des grands magasins» présente le rapport rédigé à ce sujet en 1937 par Berty Albrecht, militante et publiciste. Deux grands thèmes sont ainsi abordés : la surintendance d'usine et le travail féminin en grand milieu du travail..." (Françoise Peemans, Revue belge de philologie et d'histoire, 1986)
S.l., s.e., s.d. (vers 1928); in-4, br. 1 lot de documents schéma, plan, imprimé, manuel divers de l'usine - formats divers - joint : les travaux pour l'aménagement de l'usine hydro-électriqe de Kemps sur le rhin 1ere partie organisation des chantiers et terrassements(1930) 4 pages + plan - joint actes de concession a la société energie electrique du rhin des travaux d'aménagement de la chute de Kemps sur le rhin Mulhouse imprimerie Bader 1928 96 pages - joint l'équipement électrique de l'usine de Kembs edition RGE paris 1933 30 pages.
1 lot de documents schéma, plan, imprimé, manuel divers de l'usine - formats divers - joint : les travaux pour l'aménagement de l'usine hydro-électriqe de Kemps sur le rhin 1ere partie organisation des chantiers et terrassements(1930) 4 pages + plan - joint actes de concession a la société energie electrique du rhin des travaux d'aménagement de la chute de Kemps sur le rhin Mulhouse imprimerie Bader 1928 96 pages - joint l'équipement électrique de l'usine de Kembs edition RGE paris 1933 30 pages.
[LE POIRE-SUR-VIE] USINE DE CONSERVES GENDREAU - Photographe Inconnu
Reference : 23803
(1903)
LE POIRE-SUR-VIE 1903 une photographie originale albuminée en noir, USINE DE CONSERVES GENDREAU - LE POIRE-SUR-VIE - INTERIEUR DE L'USINE ('PHOTO TRES ANIMEE)1903, format : 12,2 x 16,7 cm pour la photo, 24,5 x 19,6 cm avec l'encadrement carton rigide d'époque l'entourant,
Superbe Photographie ........en trés bon état (very good condition). en trés bon état
[Revue Industrielle.] - JOSSE, M. H. ; FONTAINE, Hippolyte
Reference : 49088
(1883)
1 vol. in-folio reliure demi-percaline bordeaux, Revue Industrielle, 1883, 520 pp.. Rappel du titre complet : Revue Industrielle. Année 1883 [ Année 1883 Complète ] Contient notamment les 25 planches doubles suivantes : Bateaux torpilleurs par Thornycroft ; Machine à briques à deux hélices par Boulet Lacroix ; Compresseur d'air par Burton et Fils ; Transbordement des wagons pour traverser le Saint-Laurent ; Machine à aléser et à fraiser par Ch. Donnay ; Contrpoleur automatique pour chemins de fer, système H. Morris ; Exploitation de la Roussière aux ardoisières de la Rivière ; Installation d'un Sirène à vapeur pour signaux de la brume ; Machine Compound avec distribution à soupapes ; Pont roulant américain construit par la "Yale Lock Company" ; Indications relatives aux demandes de brevets d'invention ; Eclairage à l'électricité du pont suspendu entre NEw-York et Brooklyn ; Soulèvement et déplacement de bâtiments en maçonnerie ; Usine élévatoire et réservoir de Villejuif ; Installation de compresseurs d'air avec moteur hydraulique au tunnel de Wizzanova ; Viaduc métallique construit sur le Val-Saint-Léger ; Foyers fumivores appliqués au chauffage des générateurs de vapeur ; Pompes élévatoires de l'usine d'Ivry, construites par Farcot ; Haveuse atmosphérique par Chénot ; Machine Gramme de 3500 ampères pour l'affinage du cuivre ; Machine à agglomérer à double compression, système Couffinhal ; Locomotive à huit roues couplées du chemin de fer du Saint-Gothard ; Scie circulaire avec appareils préventifs, système Fromm ; Treuil à un seul arbre, système Dujour et Bianchi
Bel exemplaire. Rare exemplaire bien complet des 52 numéros de l'année 1883. On y trouve notamment les 25 planches doubles suivantes : Bateaux torpilleurs par Thornycroft ; Machine à briques à deux hélices par Boulet Lacroix ; Compresseur d'air par Burton et Fils ; Transbordement des wagons pour traverser le Saint-Laurent ; Machine à aléser et à fraiser par Ch. Donnay ; Contrpoleur automatique pour chemins de fer, système H. Morris ; Exploitation de la Roussière aux ardoisières de la Rivière ; Installation d'un Sirène à vapeur pour signaux de la brume ; Machine Compound avec distribution à soupapes ; Pont roulant américain construit par la "Yale Lock Company" ; Indications relatives aux demandes de brevets d'invention ; Eclairage à l'électricité du pont suspendu entre NEw-York et Brooklyn ; Soulèvement et déplacement de bâtiments en maçonnerie ; Usine élévatoire et réservoir de Villejuif ; Installation de compresseurs d'air avec moteur hydraulique au tunnel de Wizzanova ; Viaduc métallique construit sur le Val-Saint-Léger ; Foyers fumivores appliqués au chauffage des générateurs de vapeur ; Pompes élévatoires de l'usine d'Ivry, construites par Farcot ; Haveuse atmosphérique par Chénot ; Machine Gramme de 3500 ampères pour l'affinage du cuivre ; Machine à agglomérer à double compression, système Couffinhal ; Locomotive à huit roues couplées du chemin de fer du Saint-Gothard ; Scie circulaire avec appareils préventifs, système Fromm ; Treuil à un seul arbre, système Dujour et Bianchi