"1793. Londres chez Edwards s. d. (1793) - Relié (reliure d'époque) plein maroquin filets dorés sur les plats le dos à nerfs roulette intérieure tranches dorées 21 5 cm x 27 5 cm 313+ 77 pages sur vélin - Texte de C. Antoine Hamilton 1 frontispice et 77 portraits hors texte dessinés par Harding et Voet et gravés par Bartolozzi Birrel Barker Claessens Clamp Gardiner Harding jeune Knight Legoux Nugent Osborne Parker Sheneker Schiavonetti Silvester Tomkins et Vandenburg ex-libris aux armes de Sir Hew Hamilton Dalrymple - Bien complet des « Notes et éclaircissements » qui manquent souvent un manque sur la reliure à l'angle droit épidermures quelques rousseurs sur la page de faux-titre sinon très bon état intérieur - Sir Hew Hamilton Dalrymple était député du Wigtownshire (Ecosse) pour le Unionist Party"
Reference : 16114
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Paulin, Paris. 1847. In-18. Relié demi-cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos fané, Quelques rousseurs. 366 pages. Dos parcheminé. Pièce de titre orange sur le dos, avec titre et filets dorés. Etiquette de code sur la couverture. Quelques tampons de bibliothèque.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Par A. Hamilton. Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
[Delort] - Grammont, Philibert Comte de - Hamilton, Antoine.
Reference : DEZ-3862
(1888)
Paris, Conquet, 1888. In-4, broché couverture rempliée, faux-titre, titre, XV, 371 pp. Tirage limité numéroté à 700 exemplaires, celui-ci étant un des 500 sur vélin du Marais portant le numéro 557. Ouvrage illustré d'un portrait de l'auteur en frontispice et de 33 eaux-fortes in et hors texte par C. Delort. Exemplaire en partie non coupé. Intérieur frais. Couverture piquée et tachée.
Philibert de Grammont ou Gramont (1621-1707). Compromis pendant La Fronde il s'exila à Londres où il se maria avec Elizabeth Hamilton. Il fournit à quatre-vingts ans à son beau-frère Antoine Hamilton le matériau de ses Mémoires. Une fois ceux-ci écrits, il vendit le manuscrit pour 1500 francs. Fontenelle, censeur de la presse, refusa de laisser paraître un ouvrage où les défauts de Grammont étaient si crûment exposés, mais Grammont, pour ne pas perdre ses 1500 francs, intervint auprès du censeur et leva l'interdiction.
Londres : Edwards, s. d. [ 1793 ] Fort in-4, 2 portraits-frontispices de l'auteur, (8)-313-77-(3) pages et 76 portraits des protagonistes. Maroquin rouge à grains longs de l'époque, dos à nerfs plats orné de filets dorés, filet doré encadrant les plats
Rousseurs éparses. Gardes renouvelées ? Belle édition, augmentée d'importantes notes. "Édition préférable aux précédentes, parce qu'elle est plus belle et parce qu'elle contient des notes meilleures et plus étendues." (Brunet III, 30).En comparaison avec l'exemplaire décrit par Cohen, le nôtre ne comprend pas la vue de Somerhill, souvent absente, mais possède en plus le titre orné d'une vignette et le portrait-frontispice de Hamilton de l'édition anglaise, parue simultanément chez Harding et Edawrds. Le titre de l'édition anglaise indique d'ailleurs : "a new translation… embellished with seventy-six portraits of the principal characters mentioned in the work", corrigeant ainsi l'erreur au titre de l'édition française.Poête et conteur, né en Irlande vers 1646, mort à Saint-Germain-en-Laye en 1720, Hamilton s'est fait une réputation dans les lettres françaises, et c'est un des écrivains dont l'esprit et le style ressemblent le plus à l'esprit et au style de Voltaire. Après la mort de Charles Ier, il fut amené en France par sa famille, qui avait suivi dans l'exil la famille royale, y commença ses études, et y prit ce tour d'esprit et cette connaissance de notre langue qui nous charment dans ses écrits. Il avait quatorze ans quand il retourna en Angleterre, lors de la restauration, et il retrouva à la Cour de Charles II les manières, les goûts, les traditions et jusqu'aux modes de la France. Quelques années plus tard, il devint le beau-frère du chevalier de Grammont, qui séduisit sa sœur à l'aide d'une promesse de mariage. Rappelé en France, le galant gentilhomme s'enfuit précipitamment, oubliant toutes ses promesses. Il fut poursuivi par les deux frères Hamilton, résolus à venger l'affront fait à leur famille, et atteint sur la Toute de Douvres. « Chevalier ! lui crie l'un d'eux, n'avez-vous rien oublié à Londres ? - Pardonnez-moi, répond-il ; j'ai oublié d'épouser votre sœur. » II s'exécuta gracieusement, retourna sur ses pas et l'épousa. Hamilton émigra de nouveau en France avec Jacques II (1688), et vécut depuis auprès de lui, au château de Saint-Germain. Dans l'intervalle, il avait fait de fréquents voyages à la cour de France, dont il était en quelque sorte un des familiers. C'est à cette triste cour de Saint-Germain qu'il écrivit, comme pour tromper son ennui, ces Mémoires de Grammont, si étincelants de gaieté, et ces Contes, qu'il composa par gageure, et qui lui assurent une place "parmi nos plus charmants écrivains." Cohen 471-472.
Londres Chez Edwards
sans date (1793), in-4 de 3 f. (fx-titre, titre et Avertissement), 313p., 77p. et 2 f. :: Notre exemplaire contient les "Notes et Eclaircissements" (77 pages) qui manque souvent, ainsi que le f. "Avertissement sur cette nouvelle édition". - Malgré l'indication au titre, il y a 79 planches hors-texte d'après HARDING et VOET : 77 portraits (dont 2 de Hamilton) et une vue de Somer Hill dans les "Mémoires" et 1 portrait (Roger Palmer) dans les "Notes" qui manque souvent lui aussi. - Tirage réalisé sur papier vélin au filigrane Whatman. :: "Edition préférable aux précédentes parce qu'elle est plus belle et parce qu'elle contient des notes meilleures et plus étendues." (Brunet) :: Cette chronique biographique galante de la cour d'Angleterre du temps de la jeunesse de l'auteur et de son héros (1660-1665) demeure un des chefs-d'oeuvre de la prose française alerte et spirituelle. "Dans l'abondance des oeuvres analogues de l'époque, les Mémoires du chevalier de Grammont (Philibert, comte de. 1621-1707) constituent un petit chef-d'oeuvre d'esprit étincelant et de charme familier; ils sont écrits dans une langue qui a perdu sa majesté oratoire, pour acquérir les qualités de vivacité et de rapidité que nous retrouvons chez les grands maîtres du XVIIIe siècle, de Montesquieu à Voltaire." (Laffont-Bompiani, Dict. des oeuvres) - BRUNET 3, 30; COHEN 472-473. Cette oeuvre est également connue sous le titre d'Histoire amoureuse de la Cour d'Angleterre. Le sous-titre de l'éd. originale de 1713 était : «...contenant particulièrement l'histoire amoureuse de la cour d'Angleterre sous le reigne de Charles II», sous-titre racoleur qui préfigure bien l'orientation du livre. :: Reliure anglaise de l'époque, maroquin rouge à grain longs, jeux de filets dorés entourant les plats, dos à 5 doubles nerfs, dentelles intérieures, tranches dorées. Coins et charnières habilement restaurés. Quelques rousseurs marginales et fantômes des portraits sur le texte. Un bon exemplaire bien complet, malgré ses altérations, dans une reliure en maroquin d'époque.
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Chez Dauthereau, Paris. 1827. In-32. Relié. Etat passable, Couv. défraîchie, Dos fané, Fortes mouillures. 235 pages pour le tome I et 281 pages pour le tome II. Pièces de titre vertes sur les dos, avec titres et tomaisons dorés (abîmées avec plusieurs manques). Plats fortement défraîchis. Rousseurs.. . . . Classification Dewey : 840.04-XVII ème siècle
Arrivée du Chevalier de Grammont au siège de Trin. Intrigues amoureuses de la cour d'Angleterre... Classification Dewey : 840.04-XVII ème siècle